Laissez-vous guider tout au long d’un parcours qui vous conduira de notre ancien chai, qui abrite d’impressionnants pressoirs historiques du XVII et du XVIIIème siècle, jusque dans nos caves centenaires, parmi notre collection de vieux millésimes et les fûts. Au fil de cette visite, nous vous partagerons avec passion l’histoire de la Maison Jean Loron. Visite et dégustation de 5 vins. Durée : 1h à 1h30.
Les portes de nos caves centenaires s’ouvriront pour vous et vous aurez le privilège de déguster sur fût un nouveau millésime en savourant tous ses arômes. La visite se poursuivra par la dégustation de notre Pouilly-Fuissé 1er Cru et de nos cuvées issues des lieux-dits remarquables de nos domaines en Beaujolais. L’occasion d’évoquer l’art de l’élevage et de vous dévoiler toute la richesse des magnifiques terroirs issus de notre région mono-cépage. Visite/dégustation 5 vins + dégustation sur fût. Durée : 1h30 à 2h.
Une invitation à prendre le temps, au cours de laquelle vous découvrirez notre ancien chai ainsi que nos caves centenaires. Une pause gourmande sucrée salée vous sera proposée pour profiter pleinement de ce moment plaisir, confortablement installés dans le coin salon feutré de notre Boutique ou dans le parc extérieur, à l’ombre des arbres centenaires. Visite avec dégustation de 5 vins et assortiment gourmand. Durée 1h à 1h30.
Envie de vivre une expérience inédite ? Echappez-vous au cœur du vignoble lors d’une visite immersive à 360°. Munis de votre casque VR et confortablement installés, vous traverserez les vignes et les chais de nos domaines, comme si vous y étiez. De quoi donner une nouvelle dimension aux vins dégustés, grâce à la magie de la réalité virtuelle. Expérience de réalité virtuelle et dégustation de 7 vins. Durée : 1h30 à 2h.
5 personnes maximum.
La Chapelle de Guinchay, située à 12 km au Sud de Mâcon, a rejoint Mâconnais Beaujolais Agglomération en 2017, qui regroupe 39 communes et 80 388 habitants. Chef-lieu de canton d’environ 4500 habitants, elle est la 3ème commune de l’agglomération. Par cette position, elle a un rôle important à jouer au sein de ce territoire et bien au-delà puisqu’elle est limitrophe avec le Département du Rhône et de l’Ain. La commune est traversée dans sa partie Est par les grands axes européens de communication que sont la Saône, l’autoroute A6, la voie ferrée Paris-Lyon et la RD906. La gare TGV de Mâcon Loché ainsi que l’échangeur Mâcon Sud, donnant accès à l’autoroute et à la Route Centre Europe Atlantique, ne se trouvent qu’à une dizaine de kilomètres de la commune. La gare ferroviaire de Pontanevaux, située à 2km du Centre-Bourg, offre un moyen de déplacement efficace et pratique au quotidien, permettant d’accéder à la gare de Lyon Vaise en quarante minutes. La commune se situe sur un territoire à prédominance viticole, aux portes du Beaujolais et sur La Route des Vins, itinéraire de plus de 60 km à travers les villages viticoles. Sur ses côteaux mûrissent les raisins du Cru Chénas, des Beaujolais-village et Beaujolais-blanc, qui se différencient par les lieux de plantations.
Compte tenu de sa position privilégiée et de son expansion démographique constante, La Chapelle de Guinchay connaît une activité professionnelle, commerciale et artisanale importante. Des artisans qualifiés, ainsi que des entreprises performantes permettent de maintenir l’emploi. Elle dispose également d’une zone d’activités en accélération, regroupant plusieurs entreprises, de tailles et de secteurs d’activité différents. Tous les services commerciaux et de soins sont également assurés, avec également la présence d’une école et d’un collège, donnant ainsi à la commune une image dynamique.
Tous ces éléments (situation géographique, équipements, volonté de la Municipalité, dynamisme des habitants) font de La Chapelle de Guinchay une commune attractive et en plein essor.
Les chefs d’œuvre des soldats artistes racontent 1914-1918. Lorsque la guerre éclate en août 1914, les soldats français partent la fleur au fusil persuadés d'être rapidement de retour chez eux. Mais la guerre s'enlise. Au front dans les tranchées ou à l'arrière, pendant les courtes périodes de repos, les poilus commencent à fabriquer une multitude d'objets... Leur première vocation est utilitaire : le briquet indispensable pour chauffer le vin gelé, griller une gauloise, vient remplacer les allumettes trop humides, les lampes ou les bougeoirs permettent de s'éclairer, les cannes de marcher sans s'embourber. Ensuite pour tromper l'angoisse entre deux assauts, défier l'ennui, s'occuper l'esprit, les poilus se mettent à fabriquer des cadeaux qu'ils destinent à leur famille : timbales ou bracelets, cadres photos, parures de bureaux, vases... A l'occasion des commémorations du centenaire de la mobilisation d'août 1914, plus de 1000 chefs-d’œuvres de poilus sont exposés sur 420 m² : douilles sculptées, cannes, broderies, briquets, bagues, encriers, coupe papiers, lampes, avions, casques miniatures, plumiers... sans oublier les objets rapportés de captivité. Des panneaux explicatifs avec des centaines de cartes postales anciennes et documents: les front et les tranchées, les événements, la propagandes batailles... La reconstitution de scènes d'époques (un champ de bataille, abri sous terrain, fabrication d'objets dans une tranchée, l'arrière du front, la captivité en Allemagne) et des vision de vues stéréoscopiques.
En 1870 fut décidée la destruction de l’église romane qui existait là. Une église sans clocher, de style gothique (vitraux, tableaux), fut bâtie selon les plans de l’architecte Berthier. Elle fut terminée en 1878 et consacrée en 1889. Ce n’est qu’en 1928 qu’on édifia un clocher.