Cette chapelle a été construite par les religieux bénédictins de Cluny dans la dernière moitié du XIème siècle. La restauration de sa toiture en lave lui a valu l'attribution de la mention spéciale des Rubans du Patrimoine. La chapelle est désormais un lieu d'exposition.
Sylvie DEVERCHERE exerce son activité de potière depuis 1986 dans le petit village de Saint-Igny-de-Roche, à proximité de Chauffailles.
Elle produit une large gamme de poteries utilitaires et décoratives, tournées et ansées à la main, qu’elle propose à la vente dans une boutique à côté de son atelier: pichets, bols, assiettes, vases, plats à four ou de présentation, lampes, boîtes, vinaigriers, soupières...
Elle peut aussi réaliser sur commande des pièces personnalisées tels que plats de mariages, service d’assiettes, cadeaux de naissance...
Ses poteries sont le plus souvent décorées, de motifs floraux, animaliers ou abstraits, au gré de son inspiration : elle use avec liberté des engobes, ces argiles colorées appliquées au pinceau ou à la poire, délicatement gravées à la pointe, et qu’un émail transparent et brillant révèle par la magie de la cuisson.
La commune de Saint Igny de Roche est propriétaire de l'étang, celui-ci est géré par la société de pêche « la Saumonée »
Superficie : 1000 m², 1ère catégorie.
Poissons : carpe, gardon, tanche.
Equipements : toilettes, table de pique-nique.
Carte : carte fédérale nécessaire ; attention : étang réservé aux sociétaires de « la Saumonée ».
Il se trouve à proximité de la place dite « des Morts » (actuelle place du souvenir) sur laquelle était bâtie l’ancienne église, environnée d’un cimetière avec, dans le voisinage, des sources insalubres.(Le nouveau cimetière a été ouvert en 1833).
Les délibérations du Conseil nous apprennent qu’en l’an II, le bassin de la fontaine, proche de l’église, était si étroit que deux personnes ne pouvaient y puiser ensemble, qu’il est situé dans un lieu bas et très dégradé qui recevait tous les immondices des environs vu qu’il n’était ni clos, ni couvert.
La fontaine Rabot était entièrement basse tous les étés et ne fournissait de l’eau ni dans le bassin pour abreuver les animaux, ni dans celui qui sert à laver le linge. (Cette fontaine fera parler d’elle à partir des années 1776).
C’est en l’an III que la commune possède les fonds pour construire un lavoir en pierre de taille couvert d’un toit de tuiles afin de mettre les laveuses à l’abri.
En 1864, cette fontaine est de nouveau en mauvais état et l’eau s’y perd de tous côtés. Des réparations s’imposent et sont faites.
En 1878, les lavoirs manquent d’eau, mais celui dit « des Morts » offre la certitude d’en avoir toujours.
La vieille construction est démolie pour agrandir le bassin. La charpente en sera entièrement refaite en 1920.
Démonstrations publiques, spectacles.
Travail du cheval à pied, en liberté.
Pension, éducation et rééducation du cheval.
Stages d’expression et de communication.
Accueil de groupes pour des ateliers et des démonstrations.
Ateliers costumes, arts plastiques.
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