L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Partons marcher avec les ânes, accompagné d'un animateur nature. Changeons de rythme en adoptant le pas de l'âne. Nous vous proposons des balades avec des ânes éduqués pour la randonnée, aux alentours d’un bucolique village roman du Clunisois. Nous sommes aussi apiculteurs et nous proposons à la vente notre miel artisanal du pays. Nous développons par ailleurs l’accueil de différents publics fragilisés en utilisant l’âne et la nature en général comme support pédagogique.
Musée ouvert en 2010 qui réunit les collections archéologiques de M. Sabatier (1883 - 1947), ancien pharmacien de Saint-Bonnet-de-Joux, qui en a fait don à la commune. Ses fouilles ont eu lieu sur 3 sites principalement : Suin, Ballore et Sainte-Colombe. Les collections sont complétées par du matériel proto-historique (clés, balances, serrures, etc.). Deux vitrines sont consacrées à la minéralogie et l'histoire géologique du village. Plusieurs albums de cartes postales anciennes du canton peuvent être aussi consultés sur place.
Saint Bonnet de Joux est une petite commune rurale située au cœur du Pays Charolais-Brionnais. Riche de ses commerces, son artisanat, son patrimoine, ses balades vertes, Saint Bonnet de Joux est un bourg agréable et dynamique.
Ferronnerie d'art, création et restauration. Copie de style. Salle d'exposition. Restauration monuments historiques et création de pièces contemporaines.
L’une des plus grandes écuries privées d'Ancien Régime en France. Le domaine est dans la même famille depuis six siècles. Les écuries ont été bâties entre 1648 et 1652 par Henriette de La Guiche, filleule d’Henri IV, pour la garde princière de son époux, Louis Emmanuel de Valois, petit-fils du roi Charles IX, colonel général de la cavalerie légère. François Blondel, architecte de Louis XIV, revendique en être l’auteur.
Les façades richement ornées de ce palais équestre, rythmées par deux escaliers monumentaux, ont été préservées à la Révolution. L’architecture et l’agencement intérieurs, inspirés d’un ingénieux projet de Léonard de Vinci, en font les plus italiennes des écuries de France.
Le Parc se visite seulement avec la découverte des Ecuries.
Le site de Bray témoigne des statuts différents des moines de Cluny, dans la société médiévale. Celui de seigneurs ecclésiastiques, déjà… En effet, lorsqu’il rachète le château de Boutavent en 1237, l’abbé de Cluny dispose du droit de justice et de dime sur les terres de Bray, qui en dépendent. De plus, Cluny y bâtit la chapelle Saint-Jean-du-Bois, qui devient, pendant un temps, un ermitage. Bien que la règle clunisienne prescrive aux religieux la vie en communauté, certains se retirent parfois et s’isolent de Cluny.
Mais les moines sont pleinement ancrés dans la société. Ils administrent des terres agricoles et viticoles : le domaine de la Malaise, que crée Cluny, nous rappelle aujourd’hui cette activité essentielle. Ils desservent aussi le culte, au centre du bourg, dans l’église Saint-Quentin, datant des 11e-12e siècles. Le plan de l’église est original pour la région mais, une fois entrés, prenez attention aux sculptures des chapiteaux qui pourraient remonter au 11e siècle.
Cette église romane date du XIe siècle et fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques en 1932.