Avec « de l’imagination et du carton », Magali Lagarde fabrique non seulement des meubles, pour professionnels ou particuliers (consoles, bureaux, étagères, chevets, chambres d’enfants, mobilier professionnel…) mais aussi des objets/cadeaux pratiques et décoratifs (miroirs, boîtes à bijoux, cadres, mallettes, lampes…)
Ses créations, réalisées en carton de récupération, sont écologiques, originales, uniques, avec des finitions très soignées. Que vous soyez particulier ou professionnel, elle peut fabriquer le meuble exactement adapté à vos besoins (déco de vitrine, présentoir, comptoir…), à votre goût et aux dimensions voulues.
Cette cartonniste professionnelle propose également des stages afin de partager son savoir, et de faire découvrir une pratique artistique originale. Dans la joie et la bonne humeur, vous pourrez apprendre à réaliser vous-même un meuble en carton.
Piscine d'extérieur.
Toutes les techniques de la pêche en première catégorie sont possibles compte tenu du parcours proposé. Des lisses, des radiers où se cachent les belles mouchetés vous surprendront d'autant plus que la pêche y est aisée.
Préhistoire, Histoire, Archéologie, Géologie, Spéléologie, Environnement....Impossible de s'ennuyer lors de la balade commentée des deux grottes :
- La grotte de la Rivière souterraine : elle vous dévoilera ses merveilles géologiques avec l'eau qui sculpte inlassablement la roche et où les couleurs naturelles surprennent le regard.
- La grotte Préhistorique : témoin de l'une des occupations humaines les plus anciennes en Saône-et-Loire, elle recèle de nombreuses traces du passé et vous serez étonnés d'apprendre quels habitants y ont séjourné !
Sur réservation uniquement. Se présenter à l'accueil au minimum 15 minutes avant le départ de chaque visite. Température intérieure des grottes : 12°C (prévoir un vêtement chaud). Visites UNIQUEMENT guidées. Des visites avec audioguides sont possibles en langues étrangères : anglais, allemand et hollandais, l'audioguide est aussi disponible en français pour malentendant.
Dans le hameau de Morey, se trouve l'ancienne église paroissiale datée de la fin du XIIIe siècle. Curieusement cette église dédiée à la Nativité de la Vierge fut bâtie à 500m du bourg en hauteur. Le terrain fut donné par Guillaume de Morey et l'église bâti en 1295, année année de l'agrandissement du château des évêques où se trouvait une première église paroissiale dans l'enceinte. L'association des Amis des Vieilles Pierres de Lucenay l'Evêque évoque un ancien prieuré, sur lequel aurait été construite l'église. Au XVIIe siècle Lucenay était un lieu de pèlerinage contre la rage et l'on y venait de fort loin pour les cures miraculeuses qui s'y opéraient.Le clocher en bois avec sa flèche fut détruit par la foudre en 1811 et remplacé par un clocher à dôme s'inspirant de Saint-Pierre-de-Rome (architecte Joubert). L'église mal entretenue dans les XVIIIe - XIXe siècle, et peut-être trop petite, fut abandonnée en 1900 pour une nouvelle église bâtie face à la mairie. Depuis 1971 l'association pré-citée travaille à la sauvegarde de ce très bel édifice roman. L'église romane est composée d'un chœur "voûté à nervures" prolongé par une longue nef plus basse et un collatéral construit vers 1680. Au niveau de la jonction entre la nef et le chœur se trouvait le clocher (effondré en 1959 avec la toiture de la nef). Au même niveau se trouve une chapelle flanquée d'une tourelle. Le cimetière est resté autour de l'église. Elle n'apparait pas sur la carte Cassini.
L’église d’Azé, « ecclesia Aziazi », est citée en 915 comme appartenant à l’abbaye de Tournus. L’église Saint-Etienne d’Azé actuelle se compose de deux parties distinctes, l’une romane et l’autre moderne (style néo-roman et néo-gothique) avec un plan tréflé. Elle a gardé de l’époque romane son clocher et son abside (postérieurement remaniée). Sa nef, ses bas-côtés et ses deux chapelles absidiales ont été construites en 1867, sur les plans de l’architecte Berthier. Le tympan du porche représente le Christ entouré des attributs des 4 évangélistes (tétramorphe).
Le chœur roman a été restauré en 2018, mettant en valeur les vitraux du maître-verrier Didron offerts par le comte de Murard en 1869 et illustrant la vie de la Vierge et celle de Saint-Pierre. Plusieurs œuvres de l'artiste Michel Bouillot sont visibles : un devant d'autel fait de carreaux de faïence sortis de l'atelier du céramiste Jean-Paul Betton (figurant la Cène du Jeudi-Saint) et deux croix (également faites de carreaux de faïence, représentant, l'une, le Christ souffrant du Vendredi saint et, l'autre, le Christ dans toute la gloire du Ressuscité au jour de Pâques).