Construite durant la seconde moitié du XIIème siècle, dans un calcaire d'ocre rouge, cette église a conservé son fort clocher et en façade, un portail où se lit le nom du bâtisseur "Seguin, facteur de pierre à Malay", inscription unique en Bourgogne.
Petit site ombragé au rocher original pour la région (calcaire gréseux sculpté). La nature gréseuse du rocher doit vous inciter à la plus grande vigilance quant à sa solidité (surtout après de longues journées de pluie). L’équipement est généralement excellent, constitué de plaquettes et de goujons à expansion de 12 mm. Les ancrages sont souvent proches, pour permettre l’escalade en tête accessible au plus grand nombre.
Le gros intérêt de cette falaise est son orientation (Est) qui permet donc de grimper à l’ombre les après midis et soirées d’été.
En sortant de votre séance de grimpe, ne ratez pas l’occasion de boire un verre au Papyllon, le bar à bière le long de la voie verte, excellent et convivial.
Lorsque Lyne et Guy acquérirent leur petite maison en Bourgogne du Sud, ils ne savaient pas encore qu’ils avaient été « appelés » …
Mais les Fées, souvent imprévisibles, ont pour elles autant de sagesse et de patience que le vieux monde.
La maison restaurée, vint le temps d’organiser le jardin. Malgré l’importance du travail, ils se sentaient guidés, probablement par le peuple de Féerie pour répartir végétaux et minéraux, alors que leur activité artistique s’orientait définitivement dans la célébration de plus en plus présente d’un monde féerique.
Ainsi, au fil des ans, ont pris forme Fées rêveuses ou malicieuses, Lutins insolents et Elfes gracieux, Gnomes sagaces, Dragons paisibles, Ondines légères ; ils envahissent à présent ce jardin qui leur était en fait dévolu depuis si longtemps.
Petit jardin de rocaille, en espalier, axé sur les fées, dragons. Collection de bonsaïs, plantes médicinales, taupières (animaux en buis). Plan d'eau avec cascade et plantes aquatiques. Les fées sont réalisées dans l'Atelier des Blés d'Or.
L’église de Saint-Mard-de-Vaux a pour patron Saint Médard, évêque de Noyon. La contraction du nom de Saint Médard en Saint Mard se trouve dans un procès-verbal de la visite pastorale de l’église, en 1744, par Monseigneur François Madot, évêque de Chalon-sur-Saône (1711-1753).
L’église a été reconstruite en 1766, en style roman tardif, dans l’esprit du clocher d’origine. Elle est consacrée en 1769.
Devant l’église, calvaire de 1630, inscrit aux Monuments Historiques en 1950, provenant du cimetière. Ce calvaire porte, d’un côté, le Christ crucifié, de l’autre, la Vierge à l’Enfant. Saint Médard, saint patron de l’église et des agriculteurs, invoqué pour le beau temps ou la pluie, est représenté en évêque, sur le fût. Il porte la mitre et la crosse épiscopales. Sur le dé, au-dessus du socle circulaire, est gravée la date de 1630.