Construite durant la seconde moitié du XIIème siècle, dans un calcaire d'ocre rouge, cette église a conservé son fort clocher et en façade, un portail où se lit le nom du bâtisseur "Seguin, facteur de pierre à Malay", inscription unique en Bourgogne.
C'est dans l'ancienne demeure de Benoît Raclet (sauveur de la vigne en 1830) que Jean-Charles Doyen travaille le verre à la flamme. Véritable magicien, avec une parfaite maîtrise, il file sous vos yeux, transformant ainsi la matière en fusion pour faire naître un monde merveilleux de miniatures animalières, objets déco et bijoux. Visite atelier (téléphoner par précaution).
Petit site ombragé au rocher original pour la région (calcaire gréseux sculpté). La nature gréseuse du rocher doit vous inciter à la plus grande vigilance quant à sa solidité (surtout après de longues journées de pluie). L’équipement est généralement excellent, constitué de plaquettes et de goujons à expansion de 12 mm. Les ancrages sont souvent proches, pour permettre l’escalade en tête accessible au plus grand nombre.
Le gros intérêt de cette falaise est son orientation (Est) qui permet donc de grimper à l’ombre les après midis et soirées d’été.
En sortant de votre séance de grimpe, ne ratez pas l’occasion de boire un verre au Papyllon, le bar à bière le long de la voie verte, excellent et convivial.
Lorsque Lyne et Guy acquérirent leur petite maison en Bourgogne du Sud, ils ne savaient pas encore qu’ils avaient été « appelés » …
Mais les Fées, souvent imprévisibles, ont pour elles autant de sagesse et de patience que le vieux monde.
La maison restaurée, vint le temps d’organiser le jardin. Malgré l’importance du travail, ils se sentaient guidés, probablement par le peuple de Féerie pour répartir végétaux et minéraux, alors que leur activité artistique s’orientait définitivement dans la célébration de plus en plus présente d’un monde féerique.
Ainsi, au fil des ans, ont pris forme Fées rêveuses ou malicieuses, Lutins insolents et Elfes gracieux, Gnomes sagaces, Dragons paisibles, Ondines légères ; ils envahissent à présent ce jardin qui leur était en fait dévolu depuis si longtemps.
Petit jardin de rocaille, en espalier, axé sur les fées, dragons. Collection de bonsaïs, plantes médicinales, taupières (animaux en buis). Plan d'eau avec cascade et plantes aquatiques. Les fées sont réalisées dans l'Atelier des Blés d'Or.
L'église de Saint-Germain-en-Brionnais faisait partie à l'origine d'un monastère d'Augustins (chanoines pauvres), fondé vers 1070 par l'évêque d'Autun. Il est l'un des rares monastères, avec Anzy-le-Duc et Saint-Rigaud, à échapper à la domination clunisienne au Moyen-Âge. L'église présente une architecture sobre, reflétant le vœu de pauvreté des chanoines qui l'occupèrent à l'origine. Parmi les églises romanes du Charolais-Brionnais, elle est la seule à s'apparenter aux églises-halles (plus présentes dans le Nord de l'Europe et les régions germaniques), c'est-à-dire composée de trois vaisseaux de même hauteur. A l'intérieur, on trouve un débeurdinoir (pierre d'autel avec un trou), censé soigner les simples d'esprit.