Ce réseau valorise une centaine d'églises et chapelles entièrement ou partiellement romanes en Charolais-Brionnais autour du pôle clunisien de Paray-le-Monial. Les Chemins du Roman bénéficient d’une signalétique extérieure et intérieure, de publications trilingues (en français, anglais, allemand) disponibles auprès des offices de tourisme et dans les églises, d’un guide trilingue (français, anglais, allemand) des églises romanes du Brionnais. La basilique romane de Paray-le-Monial, réplique de l'abbatiale de Cluny III, est au centre de 3 circuits découverte. 1er itinéraire : Paray-le-Monial et les églises romanes du Brionnais (110 km). Dix églises romanes majeures structurent le circuit : Montceaux-l'Etoile, Anzy-le-Duc, Baugy, Semur-en-Brionnais, Saint-Julien-de-Jonzy, Iguerande, Châteauneuf, Bois-Sainte-Marie, Saint-Germain-en-Brionnais, Varenne-l'Arconce. 2e itinéraire : Paray-le-Monial et les églises romanes du Charolais (115 km). Deux églises majeures : Gourdon et Mont-Saint-Vincent. 3e itinéraire : Paray-le-Monial et les églises romanes du Charolais ouest (120 km). Les points forts : Perrecy-les-Forges, Toulon-sur-Arroux, Issy-l'Evêque, Bourbon-Lancy (église Saint-Nazaire).

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Ce chef-d’œuvre de l'art roman en Bourgogne est l'un des plus beaux exemples de l'architecture clunisienne. Emprunter la passerelle J. Moulin, puis la rue de la République à gauche jusqu'au Canal du Centre. Le Canal du centre, ouvert entre 1791 et 1793,est l’œuvre d'Emiland Gauthey. Il relie la Loire à la Saône sur 112 km. Au feu continuez tout droit, après le pont de la voie de chemin de fer tournez à droite en direction de Versaugues sur la D191. Au kilomètre 12 prenez à droite la D130 jusqu'à Montceaux-l'Etoile. Tournez à gauche jusqu'au bourg du village. La petite église est remarquable par son portail. Sur une pierre unique qui forme à la fois le tympan et le linteau est figurée une admirable scène de l'Ascension. Continuez tout droit sur la D174 jusqu'au petit village d'Anzy-le-Duc. L'église compte parmi les plus belles de Bourgogne du sud. Sa crypte d'époque carolingienne est unique en Brionnais. Edifiée à la fin du XIe siècle, elle est exceptionnelle pour son clocher octogonal et la richesse de ses décors sculptés. Après la visite de l'église prenez la D 10 direction Lugny-les-Charolles. Tournez ensuite à gauche après le pont de l'Arconce. Continuez tout droit sur 11 km jusqu'à Saint-Yan, puis traversez le village par la rue de la Creusette, puis à gauche la rue de la Fontaine, puis à droite la rue Léon Lommel. Après le ruisseau Bonnet prenez à droite La Cure. Continuez tout droit sur 4km puis prenez à droite puis tout de suite à gauche direction Vitry-en-Charolais. Traversez le bourg puis prenez la D 479 sur 1 km puis tournez à gauche . Continuez tout droit jusqu'à la voie verte. Prenez la voie verte en tournant à droite pour rejoindre Paray-le-Monial.

Au départ de l'office de tourisme, longez le canal du Centre, puis entrez dans la campagne Charolaise en passant par Champlecy, Fontenay, Viry et Mont. À Hautecour, sur la commune de Verosvres, découvrez la maison natale de sainte Marguerite-Marie Alacoque. Jeune sœur de l’ordre de la Visitation, dès son enfance, elle souhaite se consacrer à une vie pieuse. Elle entre au monastère de Paray-le-Monial en 1673 et reçut plusieurs apparitions du Sacré-Cœur, notamment en décembre 1673 et la plus importante fut celle de juin 1675. Continuez en direction de Beaubery. Sur votre chemin, un monument surmonté d'une grande croix Lorraine élevé par les anciens du maquis de Beaubery et du bataillon du Charolais commémore les combats de la Résistance et de la Libération de 1943 à 1945. Joignez la cité de Charles le Téméraire : Charolles. La capitale historique du charolais est située au confluent de l'Arconce et de la Semence. La ville est parsemée de nombreux canaux qui lui valent son surnom de "Venise du Charolais". La cité médiévale s'est développée dans une cuvette d'où émerge une butte, place forte naturelle que les hommes renforcèrent en y élevant un château féodal dont il reste aujourd'hui la Tour Charles le Téméraire. On peut y visiter le Musée du Prieuré, situé dans un ancien Prieuré clunisien. Il abrite un musée complet d'histoire de l'art locale, où la faïence charolaise, côtoie la peinture et la sculpture. Retournez à Paray-le-Monial par Lugny et Hautefond.

Monter la route goudronnée jusqu’à l’embranchement sur le plateau ; tourner à gauche. Juste après la cour de ferme tourner à gauche et commencer à descendre pour finalement arriver au fond du vallon de la rivière du Pont du Roi. La traverser sur la passerelle et suivre le sentier ; on arrive rapidement sur un chemin plus important où vous tournerez à droite ; sur le plateau, au niveau d’une vaste place à bois, tourner à droite et continuer par un sentier qui vous amène doucement vers un gué facilement franchissable. Continuer tout droit et au bout de 120m tourner à gauche pour aborder un raidillon d’une trentaine de mètres qui marque le début d’un layon forestier. A son extrémité tourner à droite sur un chemin carrossable que l’on empruntera sur une centaine de mètres. Tourner à gauche pour arriver rapidement vers la Chapelle de Repas. Continuer après la chapelle jusqu’à la route goudronnée et l’emprunter en tournant à gauche ; à l’embranchement une nouvelle fois à gauche et arriver dans la forêt domaniale de Pierre Luzière. Suivre la route sur une assez grande distance (environ 1800 m). Dans le dernier virage avant la ligne droite finale, prendre en oblique sur la gauche un sentier à peine marqué. Au bout de celui-ci tourner à gauche, puis à droite après une trentaine de mètres ; ce chemin passe à côté de l’ancienne maison forestière des Echards pour arriver sur un chemin carrossable empierré. A la fourche bifurquer sur la gauche pour suivre le vallon du ruisseau de la Charbonnière. Au point bas le chemin commence à monter (obliquer sur la gauche) et quitte le bord du ruisseau. Sur le replat bifurquer à droite : on retrouve le parcours de l’aller (en sens inverse).

Monter la route goudronnée jusqu’à l’embranchement sur le plateau ; tourner à gauche. Continuer tout droit après le hameau de Fangy, et une centaine de mètres après la cabane de chasse, dans la plantation de Douglas, tourner à gauche. Le chemin descend progressivement vers le vallon de Canada ; le parcours va suivre un bon moment la rivière pour rejoindre finalement la route goudronnée. Suivre ce chemin, et juste avant le pont du ruisseau de la Digoine, tourner à droite. Nous arrivons à proximité d’une ferme à partir de laquelle le chemin commence à monter en lisière de bois. Il arrive finalement sur le plateau et rejoint une route goudronnée dont l’intersection est marquée par une croix en pierre : la “Croix Cavalier”. Prendre cette route sur la gauche et avant d’arriver au pont franchissant la ligne TGV, obliquer sur la droite pour longer sur 300 mètres la ligne TGV avant de partir sur la droite au milieu du bocage du plateau. Ce chemin finit par déboucher sur une route goudronnée ; tourner à droite. Elle nous ramène au hameau de Fangy et à notre point de départ.

Monter la route goudronnée jusqu’à l’embranchement sur le plateau ; tourner à gauche. Juste après la cour de ferme tourner à gauche et commencer à descendre pour finalement arriver au fond du vallon de la rivière du Pont du Roi. La traverser sur la passerelle et suivre le sentier ; on arrive rapidement sur un chemin plus important où vous tournerez à droite ; 50m après on arrive à un embranchement où vous obliquerez franchement à droite de nouveau. Descendre jusqu’au gué du ruisseau de Pierre Luzière. Commencer la montée qui effectue un grand virage à gauche tout en devenant assez raide ; elle finit par s’adoucir à l’arrivée sur le plateau. Le chemin nous emmène jusqu’aux premières maisons où la voie devient goudronnée. Tourner à droite après ce groupe de maisons pour arriver sur un autre chemin goudronné et bifurquer à gauche ; après 300m on débouche sur la route d’Auxy à Bas de Canada (RD 298). Emprunter cette route à droite sur environ 1 km et dans le début de sa descente, au niveau d’un poteau électrique, prendre sur la gauche un discret sentier qui arrive à un lavoir circulaire*. Continuer à monter après le lavoir jusqu’au replat et arriver finalement sur une petite route que l’on prendra sur la droite. Pénétrer dans la forêt et rester plus ou moins parallèle à la lisière. Tourner à gauche à 90° et par un chemin herbeux puis carrossable arriver jusqu’à la route départementale. Tourner à gauche. Après une centaine de mètres, vers la mare, tourner à droite pour prendre la route goudronnée. A l’entrée de la forêt, prendre à gauche la voie goudronnée puis tourner vers la chapelle de Repas** sur la droite ; continuer sur le chemin enherbé pour arriver sur un chemin empierré où vous tournerez à droite ; marcher une centaine de mètres avant de tourner à gauche dans un layon forestier. Le suivre jusqu’à une courte (environ 30m) mais abrupte descente au bout de laquelle vous tournerez à droite. 120m plus loin franchir le modeste gué du ruisseau de Pierre Luzière. Sur la place à bois bifurquer à gauche. Suivre le chemin forestier qui descend lentement le vallon du ruisseau de Pierre-Luzière. A l’embranchement signalé par un panneau indicateur, obliquez légérement sur la gauche pour arriver à un nouvel embranchement où, au contraire, vous obliquerez légèrement sur la droite ; marcher 50m et descendre à gauche par un sentier qui vous amènera jusqu’à la passerelle franchissant la rivière. Il ne reste plus qu’à remonter le sentier emprunté à l’aller, tourner deux fois à droite sur la route goudronnée pour retrouver le point de départ.

Au départ de l'office de tourisme, traversez le Parc du Moulin Liron. Il tient son nom d'un ancien moulin connu depuis le 15e s., alors alimenté par la Bourbince et l'Étang Liron. Au 18e s., il devient une " hostellerie " renommée. Il fut détruit lors des travaux de construction du Canal du Centre qui asséchèrent les étangs. Créé pour la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, il est aujourd'hui un lieu incontournable de la ville. Longez le canal du Centre sur l'ancien chemin de halage, sur la voie verte puis sur la route départementale jusqu'au château de Digoine à Palinges. Monument historique du 18e siècle réalisé en partie par Edmé Verniquet, découvrez l'intérieur du château : vestibule, salons, bibliothèque et le petit théâtre à l’italienne datant de 1840. Visite libre du parc à l’anglaise, jardin floral, serre. Vous traversez les paysages verdoyants du Charolais et des villages typiques comme Baron dont le patrimoine vernaculaire est encore bien conservé : lavoirs, puits et maisons anciennes. Ce petit village organise chaque année à la mi-juillet la fête de l'âne. Un événement de renommée régionale qui rassemble tous les passionnés de cet animal. Joignez Saint-Aubin-en-Charollais et après le bourg vous pouvez voir de la route sur votre gauche le Moulin de Chipot datant des 15e et 16e siècles. Cette propriété privée possède une belle échauguette, une tour d'escalier et une galerie en bois remarquables. Retournez enfin à Paray-le-Monial par le Canal du Centre.

Au départ de l'office de tourisme, partez en direction du Musée du Hiéron. Derrière une façade monumentale, ce musée cache une étonnante architecture éclectique avec une charpente en métal et verre. On peut y découvrir l'exceptionnel Trésor National Via Vitæ (Chemin de vie, 1894-1904). Cette œuvre monumentale et précieuse de l'orfèvre joaillier parisien Joseph Chaumet est la pièce majeure de la collection ; ainsi que le portail roman remarquablement préservé d'Anzy-le-Duc (12e siècle), classé Monument Historique. Empruntez des petites routes pour parcourir le bocage charolais en passant par Saint-Vincent-Bragny et Oudry jusqu'à Perrecy-les-Forges où une belle église romane vous ouvre ses portes. L'ancien prieuré de Perrecy dépendait de l'abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire, dépendance clunisienne. Il fut fondé entre 885 et 908. L'église actuelle dont le chevet était initialement très proche de celui de Cluny II remonte au premier tiers du 11e siècle. Le portail d'entrée est entièrement sculpté. Continuez en direction de Génelard où vous pouvez visiter le musée de la ligne de démarcation. La Saône et Loire fut l’un des 13 départements français traversés par la ligne de démarcation entre juin 1940 et février 1943. Unique en France, ce musée a pour but de faire connaître l’histoire de la ligne de démarcation instaurée par l’occupant en France pendant la Seconde Guerre Mondiale, à travers la vie quotidienne des gens de l’époque. Suivez ensuite le canal pour retourner à Paray.

Au départ de l'office de tourisme, partez sur l'ancien chemin de halage aménagé en voie verte le long du Canal du Centre jusqu'à Saint-Léger-les-Paray. Traversez les bocages où paissent les vaches charolaises. Ces prairies sont soigneusement délimitées par des haies et des arbres d'une densité inégalée jusqu'à Chassy. Dans ce village, un château privé est perché sur le flanc d'un vallon où naît le ruisseau de Clessy près de l'ancien lavoir du bourg. Ce château ne se visite pas mais l'aspect actuel date en majeure partie du 15e siècle. Le château est bâti sur une ancienne maison-forte. Au-dessus d'un robuste corps de logis pointent deux tours rondes, une tour carrée et une tour hexagonale. Rejoignez à nouveau le canal jusqu'à Palinges où un second château vous attend. Le château de Digoine est ouvert à la visite. C'est l'un des plus charmants châteaux du 18e siècle du Charolais. Entouré par un grand parc paysager de 35 ha. comprenant un étang, un jardin à la française avec une serre unique datant de 1830, des orangers en caisses bicentenaires, Digoine a également le rare privilège d'abriter un surprenant petit théâtre privé à l'italienne édifié en 1842. Continuez le long du Canal du Centre pour rejoindre la voie verte en arrivant à la halte nautique Eric Tabarly. Traversez le Parc du moulin Liron, créé pour la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, il est aujourd'hui un lieu incontournable de Paray-le-Monial.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Empruntez l'ancien chemin de halage le long du Canal du Centre. Le Canal du centre, ouvert entre 1791 et 1793,est l’œuvre d'Emiland Gauthey. Il relie la Loire à la Saône sur 112 km. Le circuit vous invite ensuite à découvrir la vallée de l'Arroux. L'Arroux est un affluent de la rive droite de la Loire long de 132 km. La vallée offre un paysage verdoyant idéal pour l'élevage de la race charolaise. Cette rivière est marquée par un paysage vallonné. En passant à Rigny-sur-Arroux, c'est l'occasion de découvrir la petite église partiellement romane. Le clocher possède de belles baies géminées dont les chapiteaux sont sculptés de têtes primitives et les colonnettes sont ornées de décor végétalisé. Continuez jusqu'à Gueugnon et découvrez le parc de sculptures monumentales. Gueugnon abrite une des plus importantes unité mondiale de production de tôles inoxydables. Un prestige technologique et industriel que la ville a mis à profit. Entre 1987 et 1991, elle a permis à des sculpteurs reconnus de créer une œuvre monumentale conçue et réalisée sur place. Il en résulte d'imposantes sculptures installées dans le parc du château d'Aux mais aussi dans les rues de la ville. Vous rejoignez Paray-le-Monial par les verdoyants bocages où paissent les vaches charolaises. Ces prairies sont soigneusement délimitées par des haies et des arbres d'une densité inégalée.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Le circuit vous invite à découvrir la vallée de l'Arroux. L'Arroux est un affluent de la rive droite de la Loire long de 132 km. La vallée offre un paysage verdoyant idéal pour l'élevage de la race charolaise. Cette rivière est marquée par un paysage vallonné. En passant à Rigny-sur-Arroux, c'est l'occasion de découvrir la petite église partiellement romane. Le clocher possède de belles baies géminées dont les chapiteaux sont sculptés de têtes primitives et les colonnettes sont ornées de décor végétalisé. Rendez-vous ensuite à Digoin, ville fluviale où 3 canaux se rencontrent : Canal Latéral à la Loire, Canal du Centre et Canal Roanne à Digoin. Profitez en pour faire une halte au musée de la Céramique. Au fil des différentes salles, allez à la découverte de ce grand vaisselier qui rappelle autant de plaisir que de souvenirs à la vue de ces pièces qui ont marqué l'époque de vos aïeux. Poursuivez par le chemin de halage le long du Canal du Centre. De retour à Paray-le-Monial passez par le parc du Moulin Liron. Il tient son nom d'un ancien moulin connu depuis le 15e s., alors alimenté par la Bourbince et l'Étang Liron. Au 18e s., il devient une " hostellerie " renommée. Il fut détruit lors des travaux de construction du Canal du Centre qui asséchèrent les étangs. Créé pour la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, il est aujourd'hui un lieu incontournable de la ville.

Ce circuit, au départ de Paray-le-Monial, vous invite à longer le canal du Centre qui relie sur 112 km la Loire à la Saône. Il est parallèle à la rivière Bourbince. Œuvre de l'ingénieur Emiland Gauthey, il fut ouvert à la navigation entre 1791 et 1793. En arrivant à Digoin par la voie verte, découvrez une authentique prouesse architecturale avec le pont canal. Cet ouvrage en maçonnerie, réalisé sous les ordres de l'ingénieur Jullien, fut construit de 1832 à 1836 afin de permettre au canal latéral à la Loire de franchir le fleuve. Long de 243 mètres, le pont repose sur 11 arches. Le parcours vous mène ensuite jusqu'à l'église Saint-Georges de Chassenard. Construite au XIIe siècle, l'église est transformée au cours des temps. En 2000, lors de travaux de rénovation, un portail roman est découvert dans le mur sud. Le tympan présente le Christ en majesté dans une mandorle entouré du tétramorphe, symbole des évangélistes. Vous remontez ensuite la vallée de Loire jusqu'au pont de Bonnand, puis vous traversez l'extrême sud ouest du Brionnais avant de revenir à Paray-le-Monial par le sud de la ville. Profitez-en pour découvrir quai de l'Industrie la Maison de la Mosaïque Contemporaine. Inauguré en avril 2013, ce centre Culturel est à la fois lieu de diffusion, de création, de documentation et de formation. Des expositions s'y succèdent tout au long de l'année. Une vidéo « La mosaïque...quelle histoire ! » explique les origines de la mosaïque, présente les techniques de la mosaïque.