Bienvenue à Fragnes-La Loyère, charmante commune située à quelques kilomètres de Chalon-sur-Saône.
Bordée par le canal du centre, les adeptes du tourisme fluvial profiteront de notre Halte nautique, proposant de nombreux services.
Commerces (boulangerie, restaurant, coiffeur), voie verte, vous permettront de passer un séjour agréable aux portes de la côte chalonnaise et de ses grands crus.
Composé de plusieurs hameaux distants du centre du bourg, Saint-Vallerin fait partie des quatre villages à disposer de l'appellation Montagny. La vigne domine donc les coteaux, mais les pelouses calcicoles sont également présentes et s’étendent jusqu’aux communes voisines de Fley et de Montagny. Pour avoir une vue d'ensemble et observer un panorama sublime du territoire, il faut monter à la statue de la « Vierge bleu » installée sur la falaise dominant Saint-Vallerin en direction de la plaine chalonnaise (départ de circuits pédestres : une Balade Verte de 10,5 km intitulée «Le Tour du Mont-Bouzu» et un circuit de 8,2 km «Entre vignes et bocages ». Saint-Vallerin abrite de nombreux lavoirs qui recueillent les eaux de sources venant des pentes dessous « La Roche » mais celui du bourg est particulièrement remarquable avec ses imposantes pierres taillées. Le village possède une belle église partiellement romane (Eglise Saint-Vallérien) surmontée d’un clocher en pierre et riche de fonds baptismaux classés.
Pour atteindre ce village de charme, niché sur son éperon où la vue s’ouvre sur le site de Brancion, deux routes sont possibles. La plus pittoresque passe par Ozenay puis Chavy (D 14 puis D 163). Après 3 kilomètres de montée qui serpente sous une voûte boisée, on découvre l’église qui surplombe le bourg, les vignes s’étalant à ses pieds. La traversée du bourg, le plus petit du canton, vous permettra de découvrir des maisons vigneronnes, dont les plus anciennes datent du début du XVIIIe siècle.
Hôtel particulier du début XVIIIe siècle, construit par l'intendant du Dauphiné, Jean-Etienne Bouchu
L’église de Péronne, dont les traces existaient avant l’An Mil et dont la construction actuelle remonte pour partie au XIème siècle.
De l'ancienne abbaye bénédictine Saint-PIerre, fondée à l'époque mérovingienne, il subsiste un mur à bandes lombardes (XIe s.)
Chalet construit dans les années 1860, inspiré des chalets suisses.
Les Combattants Volontaires de la Résistance (CVR) de la section Cluny-Mâcon-Chalon ont impulsé, depuis 2022, un projet de matérialisation de l'ancien tracé de la ligne de démarcation, frontière imposée par l'ennemi de 1940 à 1943. Les poteaux gravés se situent à l'emplacement des anciens postes de contrôle allemand. Les pupitres explicatifs permettent d'en savoir plus sur l'Histoire locale.
Saint-Gengoux tient son nom d’un personnage né d’une très illustre famille bourguignonne ayant pris part aux guerres de Pépin le Bref (715-768). La légende des miracles en fit après sa mort (due au coup mortel que lui porta un amant de sa femme) le protecteur des maris trompés et un martyr aux yeux de l’Eglise catholique.
Depuis le sommet de la colline, une des plus belles vues du Mâconnais s’offre sur la vallée de la Verzée.
Capella ad Brancedunum, à l’époque romaine, la Chapelle-sous-Brancion, est située au pied du nid d’aigle de Brancion, à un attrait certain, tant au point de vue du paysage que de l’architecture.
Ce village portait, au VIIe siècle, le nom d’Aquis, et plus tard celui de villa Aquarias. Devenue La Chapelle sous Brancion, où l’on peut trouver une magnifique fontaine nommée l’Aiguyères, forme à peine changée de l’Aquarias d’autrefois.
La commune regroupe trois hameaux : La Chapelle-sous-Brancion qui a donné son nom à l’ensemble, Collonge et Nogent, ainsi que les lieux-dits, Nobles et l’Echelette. Ils offrent un ensemble de demeures remarquables et diversifiées, dans leur style, leur origine et leur ancienneté.
Le paysage que l’on découvre dans son ensemble depuis les rebords de l’éperon rocheux de Brancion, esplanade dénommée à juste titre le "Paradis", est d’une harmonie et d’une pureté saisissantes.
Saint-Jean-le-Grand était une abbaye de femmes fondée à l'époque mérovingienne. Les bâtiments romans ont disparu. Les façades et les toitures des bâtiments conventuels subsistant, construits entre la fin du XVIIe siècle et le 1er quart du XVIIIe, sont protégés au titre des monuments historiques.
Les Combattants Volontaires de la Résistance (CVR) de la section Cluny-Mâcon-Chalon ont impulsé, depuis 2022, un projet de matérialisation de l'ancien tracé de la ligne de démarcation, frontière imposée par l'ennemi de 1940 à 1943. Les poteaux gravés se situent à l'emplacement des anciens postes de contrôle allemand. Les pupitres explicatifs permettent d'en savoir plus sur l'Histoire locale.