Chambres d'hôtes dans une ferme pouvant accueillir jusqu'à 11 personnes.
Gîte à la campagne spacieux pour séjourner en Morvan, près d'Autun, en Bourgogne.
Authentique, calme, nature et verdure.
Une église du XIIème siècle, remarquable par ses contreforts ; un moulin appartenant autrefois au fief de Chazeu, famille de Bussy Rabutin, parent de Mme de Sévigné et de Sainte Jeanne de Chantal. Aujourd’hui, siège d’une association culturelle dynamique.
Vous vous élèverez sur les contreforts du Morvan sud avec de beaux points de vue.
Dommage que la large vallée de l’Arroux contraigne à utiliser des routes goudronnées même si elles sont peu fréquentées.
Le circuit se fait dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Départ : Parking salle des fêtes
Traverser le pont de la Gourgeoise et continuer sur le goudron, au carrefour face à la Mairie prendre à gauche et emprunter l’Avenue de la Gare sur 900m, après avoir traversé le chemin de fer et avoir laissé sur la droite l’église St Pierre de Brion au carrefour prendre à droite sur 800m et emprunter le sentier qui monte sur la gauche sur de 1.3 km. A la sortie, emprunter le goudron à gauche sur 1 km et au carrefour suivant continuer à droite puis au carrefour suivant encore à droite également direction Montoy dans le hameau de Montoy tourner à droite sur le petit goudron qui descend et le poursuivre sur 400m avant de prendre un chemin qui part légèrement sur la droite en contrebas.
Poursuivre le chemin et admirer la vue sur la plaine de l’Arroux traverser les petites barrières en bois et en bas du chemin au Champ Bonnard emprunter le goudron sur la droite 400m, au carrefour prendre à gauche et retourner en direction du bourg de Laizy, à l’ancienne gare poursuivre sur le goudron en traversant le chemin de fer.
Derrière l’église prendre la route de gauche et quelques dizaines de mètre avant le pont de l’Arroux emprunter le sentier à droite le long de la rivière qui mène jusqu’au parking de départ
Petite astuce : suivez le balisage jaune
A savoir : La vallée de l’Arroux
Au niveau d’Etang-sur-Arroux, la vallée se resserre, formant un seuil. Les hauts versants se reculent un peu. Le fond tendu de la Plaine d’Autun laisse place à un dédale de collines, parcouru de petites vallées où la vallée de l’Arroux conserve sa prépondérance.
De part et d’autre de l’Arroux, une succession de reliefs doux sur lesquels le regard rebondit ou se faufile, révèle une profondeur jusqu’aux versants affirmés du Morvan ou de la Montagne Autunoise qui se dressent en arrière-plan. Ici, ce qui retient l’attention c’est la coexistence de collines en prairies, soulignées par un bocage graphique, de coteaux boisés qui recentrent le regard sur le fond de vallée, ou encore les basculements successifs d’un belvédère à un fond plus intime.
Le site de Laizy occupe l’emplacement d’une villa gallo-romaine possédée dès le 6e siècle par l’évêque d’Autun et donnée à la cathédrale au début du 7e siècle. Selon la légende, l’église aurait été construite sur le lieu où saint Julien de Brioude, accompagné par saint Léger, jetait son marteau. Une première église existait au 10e siècle. L’église dépendait du chapitre de la cathédrale d’Autun, dont elle est contemporaine, depuis les années 1120. C’est possible que l’église fût également construite sous l’impulsion de l’évêque Etienne de Bagé. Au 15e ou 16e siècle, une chapelle seigneuriale fut ajoutée. Un incendie vers 1640 entraîna la chute des voûtes de la nef. L’église a été remaniée au 17e siècle et d’énormes contreforts ont été ajoutés en 1687 pour stabiliser l’édifice. Les chapiteaux ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1950 et l’église restaurée à la fin du 20e siècle.
L’église date du deuxième quart du 12e siècle, on estime que le chœur fut commencé dans les années 1120 et que la nef fut complétée vers 1140. Le plan présente une nef de trois travées avec bas-côtés, un transept légèrement saillant et une abside semi-circulaire précédée d’une travée de chœur. Une chapelle gothique se greffe au sud du chœur et une sacristie se trouve au nord. L’extérieur a été entièrement remanié et n’est guère d’apparence romane. Le clocher, sur la croisée du transept, est ouvert par des baies simples. Les grands contreforts contrebutant la façade, la nef et le transept sont du 17e siècle. La façade et le portail sont d’apparence moderne. Seule l’abside est typiquement romane pour son appareil et ses baies. On y remarque quelques modillons aux volutes simples.
L’intérieur est encore roman. La nef compte trois travées avec des collatéraux. Les voûtes romanes n’existent plus, elles ont été remplacées par des plafonds plats. On peut supposer que la nef était voûtée en berceau brisé sur doubleaux à l’origine et que des arêtes couvraient les bas-côtés. Les piliers carrés, flanqués de pilastres avec impostes et chapiteaux, sont encore debout. Ils supportent les grandes arcades en plein cintre marquant le seul étage en élévation. Les bas-côtés, également plafonnés, ont des murs avec des baies et des pilastres avec chapiteaux sans décor. Le transept s’élève sur quatre piliers cruciformes cantonnés de pilastres dont ceux à l’est sont de profil cannelé. Des arcs brisés à double rouleau supportent la coupole sur trompes qui a été refaite. Les croisillons, voûtés en berceau brisé, s’ouvrent vers les bas-côtés par des arcs brisés avec impostes. Le chœur en granit rose est la partie la plus ornée de l’église. La travée droite, également voûtée en berceau brisé, conserve deux arcatures avec pilastres cannelés du côté nord. L’abside en cul-de-four possède deux baies et sept arcatures en plein cintre sur colonnettes de granit avec chapiteaux. L’arc triomphal, de profil brisé, retombe sur deux pilastres cannelés avec chapiteaux. Au sud se trouve la chapelle seigneuriale Saint-Hubert, de style gothique, avec une voûte en ogive et la châsse du saint.
Choeur "Double Croche" d'Evian, chants du monde
Récital
Le 19/05/2024+ de dates disponibles
Dès
10
€
LAIZY
Le chœur « Double Croche » est né sur les rives du lac Léman à Evian en 2006. Créé et dirigé par Joëlle Morris, mezzo-soprano franco-américaine, ce groupe de dix-huit choristes aime se produire en concert en Haute-Savoie, seul ou avec des formations musicales mais aussi en France lors de week-ends comme celui qui les conduit à Laizy.
Rosène Tripodi en était devenue la cheffe de chœur en 2012 et c'est désormais Sandrine Trincat qui poursuit l'aventure à la baguette.
Avec bonne humeur et rigueur, elle emmène les chanteurs aux quatre coins du monde à travers des chants proposés dans leur langue originale.
Régalez-vous en découvrant les sonorités de l'indonésien, du japonais, de l'anglais ou encore du finlandais...
Laëtitia vous invite à découvrir sa charmante boutique Sous les Ors consacrée à la vente de bois doré anciens et contemporains. Cadres, miroirs, sculptures, peintures, luminaires, meubles et objets divers sont à retrouver dans la boutique. A seulement quelques mètres, découvrez le savoir-faire et l'atelier de Bertrand Lotteau, spécialiste de la dorure sur bois traditionnelle, de la restauration et de la conservation des bois dorés.
- Au départ, on peut admirer les maisons bourguignonnes avec leur pigeonnier. Sur une petite place se trouve un ancien puits public (1877).
- Quitter le village en direction du lavoir (1893), après “Les Chaumes”, quitter la route pour continuer à travers champs.
- Suivre à gauche par le chemin sinueux appelé “Le Poirier Budin”, après avoir traversé la D236, rejoindre par un sentier Saint-Maurice-des-Champs.
- Continuer sur le sentier où, de chaque côté, se succèdent prés et bois. Avant de redescendre vers Vaux-en-Pré, prendre le temps d’admirer le village.
- Arrivée au carrefour de la rue de la Grand’vigne et du chemin de la Belouse, soit prendre ce chemin jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre le point de départ; soit arrivé près de la croix routière (XVIIIe-XIXe), traverser le village par la rue principale (route de Genouilly). Une halte est recommandée pour visiter l’église romane avant de rejoindre la bascule.
- Au carrefour dit “du Poirier Budin”, continuer tout droit dans ce chemin cerné de bois et de champs jusqu’à une route qui conduit au lieu-dit “La Platrière” pour emprunter la voie romaine vers Saint-Clément-sur-Guye. Remonter le chemin des Roches. Il convient de s’arrêter pour admirer le village. En face se détache l’étendue des vignes. De ce côté du village, elles ont fait place aux prés et bois.
- A mi-chemin, redescendre sur Pras, charmant hameau. Une fois sur la D236, 2 options :
- Option 1 : Prendre sur la gauche au lieu-dit “Les Malatières” et remonter par une petite route bordée de champs; puis prendre à droite, suivre le sentier où les vignes s’étalent de chaque côté, d’où l’on peut admirer le bocage diversifié et le village groupé autour de son église. Quitter les vignes pour retrouver les prés jusqu’au village. Continuer par le chemin de la Belouse jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre la bascule.
- Option 2 : Arrivé près de la croix routière, traverser le village où la visite de l’église romane du XIIe siècle s’impose avant de rejoindre le point de départ.
Joli lavoir situé au sud du village de Vaux-en-Pré, en Sud Côte Chalonnaise.
La petite église rurale de Vaux-en-Pré, bien campée sur la terrasse qui fut l’ancien cimetière, et à laquelle on accède par un haut escalier, est bien orientée. L'église est entièrement romane. A voir : le haut clocher ; la façade à bandes lombardes ; à l'intérieur, la nef charpentée et les fresques (XIIIe – XVIe s.).
L’église Saint Roch de Vaux-en-Pré, sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption, de l’ancien diocèse de Mâcon et de l’archiprêtré du Rousset, était déjà unie à Genouilly en 1513. Après l’Ancien Régime, la paroisse devint annexe de Saint Clément-sur-Guye et la commune assura avec peine l’entretien de la vieille église. La partie la plus ancienne est la petite nef datée du milieu du XIème siècle et aujourd'hui pfafonnée. Inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1954
La Compagnie du Bonheur Vert met en valeur les lieux du petit patrimoine grâce au spectacle vivant. Après une tournée de 10 dates en 2022 grâce au Conseil Départemental, nous répondons à la demande d'associations de valorisation des lavoirs, notamment celle des Neuf Fontaines à Fley. Avec les comédiennes amateur Paule Biguet, Michèle Campana, Dominique Deschamps, Monique Lacroix et Monica Runge. Sous la houlette de Gaëlle About.
La pièce de Dominique Durvin et Hélène Prévost se situe à la veille de la Première Guerre Mondiale et met en scène les femmes qui se retrouvent au lavoir et partagent dans ce lieu de sociabilité leurs histoires, leurs angoisses, leurs traumatismes parfois. Elles chantent, elles partagent un gâteau, elles sont solidaires face à la guerre qui s'annonce.