Les Tréteaux de Pontus est un festival de spectacle vivant (théâtre, danse, musique, jeune public) dans des lieux de patrimoine local.
Nous y accueillons de jeunes talents pour leurs premiers essais de spectacles, des compagnies régionales qui tentent de nouvelles formes ainsi que les spectacles de notre compagnie, la Compagnie du Bonheur Vert.
Programme du dimanche 9 juin:
15h: La Belle Suzon, quintette vocal
17h: "Faire troupe" par l'option théâtre du Lycée Hilaire de Chardonnet
19h: "La Traversée d'Alzheimer ou un monde merveilleux" lecture par la Compagnie du Bonheur Vert
20h30: Matia Mix Band: L'Autre Atelier et la Fanfarrosoir
Notre demeure familiale, monument historique, vous invite à une promenade de charme, de la cour d’honneur au parc pittoresque dessiné par le lyonnais Luizet, sans oublier son chêne remarquable et le jardin potager avec son verger palissé. Franchissez les ponts sur les douves et découvrez les voitures hippomobiles et la sellerie, sous le regard des gargouilles de Notre-Dame de Paris, signature de Maurice Ouradou, l’architecte amoureux du paysage, qui réaménage le château médiéval entre 1866 et 1878. En faisant le tour des quatre façades tellement différentes, vous en admirerez l’exceptionnel miroir d’eau et sans doute vous vous demanderez comment elles arrivent à se rabouter pour former un ensemble bâti aussi harmonieux.
Venez assister à une expérience théâtrale atypique, avec ce festival hors les murs et sous-terrain. Pour sa 18ème édition, du 9 mai au 20 juin, le Festival de caves propose 9 spectacles inédits dans les caves, rêvés pour la proximité et le petit nombre. Au château de Saint-Germain-lès-Buxy, c'est Balbuzar…
Pour cette adaptation, un dispositif scénique immersif et circulaire est proposé, en contradiction avec la disposition frontale traditionnelle des spectacles de théâtre.
Organisateur : Association européenne du Festival des caves
Tout public | D’après l’album jeunesse de Gérard Moncomble | illustré par Frédéric Pillot
Adaptation et mise en scène de Thomas Champeau et Etienne Racary
Avec Thomas Champeau | Lumière et son d’Etienne Racary
Costumes de Louise Yribarren
Durée : 1h
Un pot suivra le spectacle pour échanger avec les comédiens et entre spectateurs
Les tarifs sont indiqués à titre indicatif, à confirmer à la réservation. Pas de réservation sur la messagerie, nous vous répondons, soyez patient. Réservation de 13h30 à 19h du mardi au samedi.
Notre demeure familiale vous invite à une promenade de charme, de la cour d’honneur au parc pittoresque dessiné par le lyonnais Luizet, sans oublier son chêne remarquable et le jardin potager avec son verger palissé. Franchissez les ponts sur les douves et découvrez les voitures hippomobiles et la sellerie, sous le regard des gargouilles de Notre-Dame de Paris, signature de Maurice Ouradou, l’architecte amoureux du paysage, qui réaménage le château médiéval entre 1866 et 1878. En faisant le tour des quatre façades tellement différentes, vous en admirerez l’exceptionnel miroir d’eau et sans doute vous vous demanderez comment elles arrivent à se rabouter pour former un ensemble bâti aussi harmonieux.
Deux jours pour découvrir les jardins à la fin du printemps ! La roseraie le long des douves, seule note de couleur dans les tonalités verdoyantes du parc pittoresque dessiné par Luizet. Profitez des grands arbres pluri-centenaires tant qu'ils sont encore là ! Chêne labellisé remarquable. Potager, et verger palissé et en demi-tige.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.