Nouveaux circuits en cours de réalisations. 5 circuits de 6 à 20 km + 1 circuit VTT.
Visite guidée du village de Saint-Laurent-en-Brionnais
Le 20/06/2024, Le 05/09/2024
Dès
6
€
SAINT-LAURENT-EN-BRIONNAIS
Visite guidée du village de Saint-Laurent-en-Brionnais : Découvrez son histoire !
Village typique du Brionnais qui dispose d'une église romane remarquable. Les deux châteaux et les maisons anciennes témoignent de l'enrichissement de leurs propriétaires grâce à l'embouche des bovins. Visite de l’ancien pensionnat de jeunes filles.
Réservation obligatoire à l'Office de Tourisme Sud Brionnais.
Visite guidée des mines de Saint-Laurent-en-Brionnais
Le 11/07/2024
Dès
6
€
SAINT-LAURENT-EN-BRIONNAIS
Visite commentée des vestiges de l’ancienne mines de Saint-Laurent-en-Brionnais. Cette mine atypique qu’on peut nommer "MINE de GUERRE" a extrait du charbon de 1942 à 1947. Son histoire et son fonctionnement sont singuliers en cette période de conflit avec l’Allemagne. Votre guide saura vous en conter l’épopée et vous montrer des photos et documents de l’époque.
RDV devant l'église pour covoiturer jusqu'aux mines.
Réservation obligatoire à l'Office de Tourisme Sud Brionnais.
Exposition de Georges Kulik, artiste peintre, intitulée "Paysages intérieurs".
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Situé au carrefour à l’entrée du bourg de Saint Laurent-en-Brionnais en venant par La Clayette, à côté de l’ancien Pensionnat de Jeunes Filles (1 route des Chevennes).
Acquit cette ancienne ferme fin 1988. Au départ avec l’aide de mon Papa faisant un petit potager et quelques fleurs, car travaillant en usine et avec trois enfants en bas âge, un mari en déplacement la semaine, je ne pensais pas au résultat d’aujourd’hui.
Perdant des êtres chers en 2015, le jardin devient le refuge où le travail et les pensées sont le résultat d’un jardin sans prétention.
Jardin Paradis de Mamili est l’antichambre du Paradis …
Pivoines, hortensias, rosiers, hostas, agapanthes, magnolias, importantes plantes vivaces, viburnums, érables, cornouillers, paulownia, glycines, euphorbes, hellébores, sauges, cistes et encore beaucoup …. Une serre, petits bassins, un potager, un olivier centenaire, kiwi (récolte 60 kg en 2023), fruitiers, cerisiers, pruniers, vignes, figuiers, pommiers, poiriers, cassis groseilliers.
Mes dernières plantations: baies de Mai, goumis, cerisier de nankin, asimina tribola, groseilliers à maquereaux …..
Egalement un potager classique et en lasagne, tout en pratiquant la permaculture. Le poney et la basse-cour contribuent à l’amendement des végétaux.
Sollicitée par ma famille et les amis je me décide finalement à faire partager ma passion.
« Le TRIO », trois jardins privés dans le Charolais/Brionnais sont aussi exceptionnellement ouverts le samedi 1 et le dimanche 2 juin 2024 de 10h00 - 18h00 au profit de l'association Jardins et Santé (https://www.jardins-sante.org/), qui soutient la création de jardins à visée thérapeutique dans les établissements hospitaliers et médicosociaux, qui accueillent des personnes atteintes notamment de maladies cérébrales, maladie d’Alzheimer etc.
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.