Partez sur les sentiers du village de Igornay pour une randonnée accompagnée. Votre guide, de l'association "Guides en Morvan", vous fera découvrir l'histoire du village, ainsi que sa faune et sa flore. Balade ludique et dépaysante pour petits et grands ! RDV à l'église du village. Cette balade est ouverte à partir de 8 ans.
Prévoir des chaussures adaptées et une bouteille d'eau. Les chiens, tenus en laisse, sont acceptés.
Le départ de la marche est à 14h30 précise, il faut prévoir du temps à l'avance pour se préparer et que le guide pointe tous les randonneurs.
Permanence France services à la mairie de Igornay. France services vous accompagne dans vos démarches administratives de nos partenaires dont la CAF, la CPAM, Pôle emploi, ANTS, etc.
Exposition photographique Improbable Certitude
Du 25/05/2024 au 21/07/2024+ de dates disponibles
VARENNES-SOUS-DUN
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Concert - Jean Paul Merlin " DIC, CUR HIC ?"
Partenariat Esox Lucius / La Filature
Vendredi 21 juin 2024 – 20h30
La Filature
71800 Varennes sous Dun
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes-sous-Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un petit orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? » (« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? ») Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Gottfried Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à coté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus en plus à alterner entre recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Participation libre
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Venez jouer à différents jeux de logique et de déduction : spécial "casse-tête.
Une voix rocailleuse, un trombone swingueur, une rythmique efficace…
Escorté par ses potes, Tino traque les derniers restes d'humanité et d'amour cachés dans le cœur des hommes et des femmes, chantant des états d'âmes, racontant l'histoire des autres, de la foule anonyme, du quotidien.
Le groupe de 5 musiciens "Almalatina" vous offrent un voyage dans les pays hispanophones le temps d'une soirée. Ce groupe vous propose un spectacle coloré grâce aux sons ensoleillés des guitares et aux rythmes envoûtants du cajón. Un spectacle festif, chaleureux et convivial qui ravira toute personne en quête d'évasion.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
AraPop (contraction de musique arabe et pop music) est un ensemble neuf, formé autour du oud d’Atef Younsi, de la guitare 12 cordes et du chant de Philippe Gonin et des percussions d’Abdessalem Marzougui. Les trois musiciens proposent une musique de fusion, de métissage entre musique traditionnelle arabe (et même plus spécialement tunisienne) et pop anglaise.
ARAPOP
Philippe Gonin guitare acoustique, voix
Atef Younsi oud
Abdessalem Marzougui percussions
Venez embarquer pour un voyage déjanté et émouvant dans le cerveau de Madame Cardin qui va vous conter à travers de multiples personnages son aventure folle à l'hôpital psychiatrique.
Une expérience rafraichissante pleine de bonne humeur et d'autodérision.
Un seul en scène humoristique, qui déjoue les préjugés sur la dépression.