Les Tréteaux de Pontus est un festival de spectacle vivant (théâtre, danse, musique, jeune public) dans des lieux de patrimoine local.
Nous y accueillons de jeunes talents pour leurs premiers essais de spectacles, des compagnies régionales qui tentent de nouvelles formes ainsi que les spectacles de notre compagnie, la Compagnie du Bonheur Vert.
Programme du 24 mai :
18h30: Pot d'inauguration;
19h30 : "Habiter le temps" de Rasmus Lindberg par la Pépinière du Bonheur Vert
Les Tréteaux de Pontus est un festival de spectacle vivant (théâtre, danse, musique, jeune public) durant trois jours dans un lieu de patrimoine local, le château du poète Pontus de Tyard.
Nous y accueillons de jeunes talents pour leurs premiers essais de spectacles, des compagnies régionales qui tentent de nouvelles formes ainsi que les spectacles de notre compagnie, la Compagnie du Bonheur Vert.
Programme du 25 mai :
15h30 : "Grisélidis" de Charles Perrault par la Compagnie des Yeux Verts;
17h : Does with Bobs, concert
19h : "Héroïques" de Marion Lavault par le collectif Sans Attendre;
20h30 : "Le mariage forcé" de Molière Cie 800 litres de paille;
22h : Trio Biznaga, concert
"Lire - Dire - Raconter" : une journée autour de l'art du récit.
A travers des exercices sur l'élocution, la voix, la diction, mais aussi des improvisations ou encore un travail autour de contes traditionnels, de poèmes, de scènes de théâtre, la Cie Vagabonde vous invite à travailler votre voix, votre présence et à découvrir ou à développer votre goût pour les histoires, celles qu'on raconte, qu'on écoute ! Une journée pour le plaisir de dire, de raconter. Pour le plaisir du "Il était une fois..."
Les Tréteaux de Pontus est un festival de spectacle vivant (théâtre, danse, musique, jeune public) dans des lieux de patrimoine.
Nous y accueillons de jeunes talents pour leurs premiers essais de spectacles, des compagnies régionales qui tentent de nouvelles formes ainsi que les spectacles de notre compagnie, la Compagnie du Bonheur Vert.
Programme du 26 mai : 14h30 Projections de courts-métrages sur les violences par la Pépinière du Bonheur Vert;
16h Déambulation par la Sapphirina;
17h30 "l'Ile aux esclaves" de Marivaux par les élèves du CRR;
19h "Terra Nova" de Mathilde Hug par la Compagnie du Bonheur Vert
13ème journées biodiversité et patrimoine viticole : Le vin, la vigne, quelles classes...
Conférence
Du 04/06/2024 au 05/06/2024
Dès
15
€
BISSY-SUR-FLEY
« Journées Biodiversité et Patrimoine Viticoles »
Conférences au Château de Pontus de Tyard à destination d’un public varié : chercheurs, étudiants ou simples curieux .
L’association Renaissance du Château de PONTUS DE TYARD a la gestion d’un bâtiment ayant appartenu à cet illustre personnage et œuvre depuis 2001 à restaurer ce monument historique (labellisé ‘’Maison des Illustres’’), l'étudier et l'animer.
Pontus de Tyard, poète de la pléiade, astronome, philosophe a assurément marqué le XVIème siècle par son humanisme et son désir de comprendre le monde. Nous nous en servons volontiers comme fil conducteur pour nos activités.
Notre sensibilité pour les patrimoines historiques et littéraires s'est également portée vers le patrimoine environnemental. Après avoir planté un verger conservatoire (variétés du XVIème...), c'est une vigne conservatoire qui a été réinstallée dans le même esprit. Celle-ci comprend une collection variétale de chardonnay mais aussi une collection ampélographique de cinquante cépages qui auraient pu être présents sur ce site en 1542 (la vigne y étant mentionnée à cette date). Cela étant un peu le chaînon manquant entre un cabinet de curiosités et une collection botanique :’’la vigne rêvée de Pontus de Tyard’’. Certains cépages sont encore très plantés (pinot...) beaucoup sont plus modestes (césar....) et d’autres sont "interdits" (gouais...). Nous nous sommes alors demandé comment un esprit universel comme celui de Pontus de Tyard pouvait appréhender son environnement au XVIème siècle. Forcément attentif aux travaux de ses contemporains, il s'enracinait également dans ce qui l'avait précédé et dans son territoire. Ces interrogations se sont naturellement prolongées vers un passé plus récent jusqu’aux problématiques d’aujourd’hui. Tous les ans, nous vendangeons nous-mêmes cette parcelle et sortons quelques bouteilles d’un vin dit ‘’Clairet’’, unique et différent chaque année.
Par ailleurs, tous les mois de juin, depuis 2012, notre association ‘’Renaissance du château Pontus de Tyard’’ organise avec le Jardin des Sciences de Dijon et la Chaire UNESCO culture et tradition du vin, des journées d'échanges.
Des partenariats ont été établis avec la revue des œnologues ainsi qu’avec le Muséum National d’Histoire Naturelle.
Depuis 12 années, plus de 100 intervenants ont contribué au succès de ces journées.
Les 13ème journées biodiversité et patrimoine viticole :" Le vin, la vigne, quelles classes...!?" sont organisées par l'association Renaissance du château Pontus de Tyard de Bissy sur Fley, la SFS (société française de systématique ) et la chaire UNESCO cultures et traditions vitivinicoles de Dijon.
Le vin est reconnu comme l’une des boissons présentant la plus grande diversité. Elle est le fruit d’une histoire complexe entre la vigne, l’humain, la géologie, les écosystèmes… De nombreuses classifications existent pour tenter de rendre compte et expliquer cette diversité : types de sols, cépages, techniques de vinification, AOC, régions, notations… Tous ces systèmes pour organiser la vigne, les vins, les méthodes de transformations sont de la systématique. Certaines de ces classifications sont proches de la « systématique classique » (les cépages, les patrons de sélections…) d’autres plus exotiques. Qu’est-ce que ces classifications nous racontent ? Comment ont-elles été construites ? Comment évoluent-elles ? Comment traduisent-elles notre vision du monde vivant, du vin et des objectifs sociétaux associés ? Ces rencontres ont pour objectifs de mieux connaitre la systématique de la vigne et du vin dans toutes ses composantes et d’en comprendre ces arcanes et motivations (et d’en faire l’expérience).
Quelques courts-métrages primés au festival Oenovidéo seront projetés.
Des ateliers de dégustation seront organisés.
Le château et ses vignes seront également à découvrir .
Capacité : 70
Inscription obligatoire
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Festival musical en plein air au château de Bissy entre Saint-Gengoux-le-National et Buxy.
3 concerts, 3 soirs de suite dans le cadre magique et magnifique de la cour du château Pontus de Tyard
-VENDREDI 05/07 :Yvan Marc et Adéle COYO en CO plateau
Femme et musicienne de son temps, loin de subir le simple jeu des influences, elle revendique la vision musicale qui est la sienne, elle qui a notamment choisi de chanter dans la langue de Voltaire, en dépit de sa connexion affective avec le folk anglo-saxon.
Pour Yvan Marc, la chanson n’est pas pour lui une question de frime, de testostérone ni même d’une course à l’ego. Chaque morceau impose son âme propre, sa petite humeur.
Poésie, écriture agile, une voie veloutée et constamment réconfortante c’est cela ..
- SAMEDI 06/07 : ForrooFA vous embarque pour un voyage au cœur des bals Forro Du Nord Est Brésilien et des fêtes populaires. Un répertoire populaire éclectique accompagné par la flûte traversière, la Rabeca Le cavaquinho ou l’accordéon diatonique.
- DIMANCHE 07/07 : Mama Shakers
Entre swing endiablé et balades enivrantes, le groupe appuyant son amour des harmonies vocales livre un album riche et plein d’émotions (parfois d’humour).
Compositions et reprises pour balayer le large éventail des Jazz des années 1920, c’est une bourrasque de swing qui vient décoiffer un public jamais assez prévenu.
Plein tarif : 14€ le concert et gratuit pour les moins de 15 ans
- Tarif réduit /demandeur d’emploi/étudiant/adhérent :12€
- Abonnement 3 concerts : pour les adhérents 30 € pour les non adhérents 35€
BUFFET BUVETTE réservation d'assiette fromage /charcuterie : 6 €
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.