Depuis 16 ans, la serre de Cary Potet accueille à la tombée du jour toutes les musiques du monde. Jeudi 11 juillet à 20h duo piano – violoncelle Philippa Neuteboom, piano Grégoire Catelin, violoncelle un voyage vers l’Est : contes et rêveries de l’Allemagne à la Russie en passant par les forêts de Bohème et de Moravie.. Schumann : Fantasiestücke op. 73 Antonin Dvorák: Klid Lesa Leoš Janácek : Un Conte Igor Stravinsky : Suite italienne – d’après Pulcinella Serge Prokofiev : sonate op. 119 Pyotr I. Tchaïkovsky : Andante cantabile Vendredi 12 juillet à 20h Quartet de jazz « No(w) beauty » Enzo Carniel : Piano Hermon Mehari : Trompette Damien Varaillon : Contrebasse Stéphane Adsuar : Batterie Le quartet « No(w) beauty », univers convergent du jazz moderne, des standards, du blues, des musiques classiques française et européenne, est l’espace heureux du partage musical. Samedi 13 juillet à 20h Un cabaret classique Agathe Trébucq, soprano Paul Montag, piano Kosma – Prévert Poulenc Hahn, Messager, .. Une chanteuse comédienne Un pianiste amateur de cigare Le cocktail parfait pour un répertoire de mélodies françaises et cabaret, de musique savante et music hall.

Exposition "Oiseaux de Bourgogne" réalisée par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO Bourgogne-Franche-Comté) et présentée dans la Maison de l’Association de sauvegarde et de mise en valeur de Saint-Clément-sur-Guye.

Concert de l'Ensemble Atout Cœur 40 choristes, 7 musiciens : piano, violons, violoncelle, harpe, clarinette, euphonium.

Conférence des "Vendredis de Saint-Clément" proposés par l'Association de sauvegarde et de mise en valeur de Saint-Clément-sur-Guye : "Le Mâconnais-Tournugeois-Clunisois avant Cluny : un chapitre méconnu d’histoire religieuse" avec Hannelore Pepke, historienne du Moyen Âge. Une église, même disparue à plus de 90 %, peut barrer l'horizon à tel point qu'on peine à voir le territoire autour d'elle comme il était avant sa naissance. Tel est le cas de la Maior Ecclesia de Cluny. L'influence de Cluny, directe ou par prieurés interposés, fut telle qu'une grande partie du sud de la Bourgogne est perçue largement à travers ce prisme. La conférence d’Hannelore Pepke proposera un aperçu global de la vie religieuse et l'organisation ecclésiale dans l’extrême sud de la Bourgogne au cours du demi-millénaire qui précéda la fondation de la célèbre abbaye. Au menu : la survivance de cultes païens, la naissance des diocèses de Chalon et de Mâcon, les liens avec les « Pères du Jura », le trésor de Gourdon, les conciles de la période franque et même la négociation, en Mâconnais, du partage de l’empire de Charlemagne.

Concert en l’église romane de Saint-Clément-sur-Guye dans le cadre du Festival musical là-haut sur la colline proposé par l'Association de sauvegarde et de mise en valeur de Saint-Clément-sur-Guye avec Pierre Roland, violon : L'intégrale des Fantaisies de Georg Philipp Telemann. Pierre Roland est né à Soignies (province du Hainaut, Belgique) en 1977. Attiré par le violon dès son plus jeune âge, il débute ses études musicales à l’âge de 6 ans à l’académie de Braine-le-Comte (ville voisine de Soignies) ; un parcours récompensé par quatre médailles de la ville pour les disciplines suivantes : violon, piano, musique de chambre et histoire de la musique. Lauréat du concours Axion Classics en 1994 (concours national de musique et des arts de la parole organisé par la banque du Crédit Communal, actuellement Belfius), il entre ensuite au Conservatoire Royal de Bruxelles où, après les certificats de base (premiers prix), il obtient tour à tour les diplômes supérieurs de solfège, de musique de chambre et bien sûr de violon. Il décrochera un premier prix d’harmonie écrite et fréquentera également les classes d’harmonie pratique et de direction chorale. Pour le violon, il a bénéficié des conseils de nombreux professeurs parmi lesquels Endre Kleve, Philippe Koch, Agustín León Ara (beau-fils du compositeur Joaquín Rodrigo), Hanxiang Gong, et Ryo Terakado. Pierre Roland joue pendant quelques années dans différents orchestres comme l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, l’Orchestre National de Belgique, le Vlaams Radio Orkest (orchestre de la radio flamande) - rebaptisé depuis lors Brussels Philharmonic -, l’Opéra Royal de Wallonie (Liège), l’Ensemble Orchestral de Bruxelles ou encore l’Orchestre de chambre « Les Musiciens » du Luxembourg. Avec ces ensembles, il a eu l’occasion de se produire dans de nombreuses salles de concert tant en Belgique qu'à l'étranger : la grande salle Henri Le Bœuf du palais des beaux-arts à Bruxelles, le Théâtre des Champs-Élysées à Paris, en Espagne, aux Pays Bas, au Luxembourg, en Allemagne, à la salle du Musikverein à Vienne, au Victoria Hall de Genève, en Croatie, au Brésil, en Uruguay, en Argentine, au Japon… Pierre Roland est également membre de différents groupes de musique de chambre, et a joué en soliste avec, entre autres, l’Ensemble Orchestral de Bruxelles. Son instrument est un violon construit aux alentours de 1750 par Benoît-Joseph Boussu (luthier ayant travaillé à Bruxelles). Il possède deux archets, l’un de Jules Fétique (1922) et l’autre de Jean-Marc Panhaleux (1998). Passionné par la musique, Pierre Roland se voue aussi à l'enseignement, ce qui l'a amené à donner cours dans les académies de Braine-le-Comte, Soignies, Ath, Schaerbeek (Bruxelles), et Etterbeek (Bruxelles). Depuis quelques années, il dispense des leçons privées pour mieux se consacrer à ses élèves. Outre le violon, Pierre Roland est aussi pianiste et organiste. Il a travaillé le piano avec Patricia Montero et Guy Dusart ; l’orgue, la basse continue et l’accompagnement de la liturgie avec Xavier Deprez. Il a été organiste titulaire des églises Saint-Géry à Ronquières (Braine-le-Comte) et Saint Paul à Uccle (Bruxelles), et organiste assistant à l’église Saint-Lambert de Laeken (Bruxelles). En 2009, il est admis dans la classe d’orgue et d’improvisation de Benoît Mernier à l’I.M.E.P. (institut supérieur de musique et de pédagogie) à Namur, où il a réussi en juin 2010 la première année d'étude (baccalauréat 1).

D'après le best-seller aux 5 millions de lecteurs, Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l'école. Italie. Giulia travaille dans l'atelier de son père. Lorsqu'il est victime d'un accident, elle découvre que l'entreprise familiale est ruinée. Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu'elle est malade. Trois vies, trois femmes, trois continents. Trois combats à mener. Si elles ne se connaissent pas, Smita, Giulia et Sarah sont liées sans le savoir par ce qu'elles ont de plus intime et de plus singulier. Un film pour tout public qui met du baume au cœur.

Balade "Mais quel est donc ce chant ?" avec Véronique Voisin. Sortie nature de la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO 71) en partenariat avec l'Association de sauvegarde et de mise en valeur de Saint-Clément-sur-Guye. Vous êtes curieux de connaître les chanteurs de ces trilles qui vous enchantent en début d'été ? Venez découvrir un monde de mélodies matinales avec paraboles et casques mis à disposition. Apportez vos jumelles si vous en possédez. Attention : nombre de places limité ! Lieu exact du rendez-vous précisé après inscription.

Photographe amateur passionné par la nature, Maurice Blanchard pratique principalement la macrophotographie. Lors de chaque sortie photo, c’est un immense plaisir pour lui de découvrir fleurs et insectes parfois inconnus souvent méconnus afin d’en révéler leurs beautés. Cela lui permet d’acquérir de nouvelles connaissances et ensuite de les partager grâce aux différentes expositions qu’il peut réaliser. Profitez de cette exposition pour observer et admirer les orchidées sauvages et autres fleurs de Bourgogne. L’exposition de Maurice Blanchard est une occasion unique d’observer la nature. L’entrée est gratuite pour tous les amateurs d’Art et de nature.

Marielle Berthault Roger vit en Drôme Provençale mais a souhaité présenter ses photos dans la région d’où est issue sa famille paternelle. Elle a photographié depuis de nombreuses années en amateur, tout d’abord avec un appareil photo argentique puis numérique. Elle avoue que « la technique ne m’intéresse pas trop du moment que cela fonctionne… ». D’ailleurs, ce qu’elle aime, ce sont les sujets, les rencontres, les balades à la recherche de LA photo. Pour cette exposition, Marielle Berthault Roger vous invite à une balade au fil du temps. En effet, elle a souhaité présenter un résumé de ses différentes expositions à Carpentras, Bagnols-sur-Cèze ou bien encore à Pierrelatte. Vous retrouverez donc des photographies d’une grand-mère lavant son linge dans un petit lavoir du Maine-et-Loire, une péniche sur le Canal de Bourgogne, des enfants curieux de la vie ancienne et à venir, des paysages de Provence… La photographe a puisé son inspiration au fil de sa balade, au gré des rencontres et des voyages. Nous vous invitons à venir nombreux découvrir cette exposition gratuite et ouverte à tous.

Jacqueline Terrier, en regardant un artiste faire une démonstration de pastels secs, a eu l'envie de « jouer du bâton de couleur ». Elle a alors suivi quelques cours et la voici de devenue « colorieuse », comme elle aime à se définir. Elle est devenue une passionnée du pastel. Ce qu’elle aime, la matière et les couleurs mais aussi, traquer le détail. Ce qu’elle fait pour chaque réalisation. Sa première série de pastels s'intitule ELEMENTS. Jacqueline Terrier s’est inspirée de photographies qu’elle a agrandies, recadrées pour se les approprier. Elle a cherché à rendre la transparence de l’eau, le floconneux des nuages ou bien encore l’aspérité de la roche. La seconde série de 8 pastels, a pour titre ECORCES. Pour cette série, Jacqueline Terrier explique qu’elle a adoré photographier, en gros plan, des écorces d’arbres qu’elle a ensuite reproduites. « C'est fou ce qu'elles recèlent comme formes et teintes insoupçonnées. » L’exposition de Jacqueline Terrier est une occasion unique de voyager dans son univers artistique. L’entrée est gratuite pour tous les amateurs d’Art et de belles découvertes.

Claude Mazuy peint depuis une dizaine d’années. Autodidacte confortée par la fréquentation de différents cours et ateliers de peinture, l’artiste explique que le travail de groupe, grâce à l’expérience des professeurs et au regard des autres, lui a permis de progresser. Elle admet avoir toujours eu un vif intérêt pour l’Art et pour la démarche de création mais c’est le temps du confinement qui lui a permis de travailler seule de façon plus régulière et plus approfondie. Aujourd’hui, Claude Mazuy a voulu partager son travail et offrir au regard des autres ce monde de couleurs, de sensations et de lumière qu’elle peint. La peintre aime expérimenter différentes techniques, aquarelle, pastel acrylique. Claude Mazuy peint ce qui la touche, ce qui est source de poésie et l’inspire. Elle a une sensibilité pour les paysages, les fleurs, les natures mortes. Elle avoue que « peindre est devenu aujourd’hui quelque chose d’essentiel qui me relie à la beauté des choses ». L’exposition de Claude Mazuy est une occasion unique de voyager dans son univers artistique. L’entrée est gratuite pour tous les amateurs d’Art et de belles découvertes.

Bruno Gorassini habite en Bourgogne mais séjourne régulièrement en Belgique, terre natale de son épouse. Ces dernières années, tout particulièrement, c’est de la Côte belge (Mer du Nord) qu’il puise l’essentiel de ses sujets. La lumière, le mouvement, les ciels et les couleurs créent une alchimie toute particulière et inspiratrice. Après avoir été présentée à la Keunekapel (ancienne chapelle réaffectée en salle d'exposition) située à Koksjide - Sint-Idesbald (Belgique) en 2023, Bruno Gorassini a souhaité faire découvrir ses œuvres de paysages nordiques en Sud Côte Chalonnaise. C’est ainsi qu’il nous invite à la rencontre d'un autre univers. Le peintre découvre le monde de l’Art à l’adolescence puis il s’initie à la peinture à l’huile et s’oriente ensuite vers l’Ecole Municipale des Beaux-Arts de Sète. Cependant, sans étouffer sa passion naissante, cette expérience ne l’encourage pas à poursuivre selon cette filière. Dès lors, il décide d’épanouir sa passion, obstinément, en autoformation, découvrant et/ou créant une technique personnelle et singulière de style figuratif. Au fil des ans, et selon différents rythmes créatifs, c’est le travail de la peinture à l’huile, en épaisseur et avec de petits pinceaux, qui guide son geste. 2017 et 2018 sont des années charnières qui libèrent le geste?; il adopte le couteau à peindre comme outil principal pour déployer son activité artistique. La matière de l’huile est ainsi de plus en plus, utilisée en épaisseur, et le couteau à peindre lui permet de mieux faire ressortir son énergie picturale. L’exposition de Bruno Gorassini est une occasion unique de voyager dans son univers artistique. L’entrée est gratuite pour tous les amateurs de peinture et de belles découvertes.