Du 5 juin au 2 juillet 2024, le Département de Saône-et-Loire investit les villages et offre dix soirées aux quatre coins de la Saône-et-Loire alliant patrimoine et culture en ruralité. Après la tournée des lavoirs, des fours, forges et tuileries dans différentes communes du département, Scènes en campagne vous invite dans les tours et donjons de l’époque médiévale ! Danses, chants, musiques, mentalisme, théâtre et cirque de la scène artistique départementale animeront les soirées de ce début d’été, dans des sites médiévaux qu’il sera possible de découvrir ! Édifié pour l’essentiel au XIVe siècle, le château de Balleure est composé de deux ensembles de bâtiments cantonnés de tours et séparés par une porterie anciennement à pont-levis. L’ensemble fut remanié au XVe et au XVIIIe mais conserve une allure singulière avec ses différentes tours et tourelles. Le château a vu naître l’historien bourguignon de la Renaissance, Pierre de Saint-Julien de Balleure. A 18h et 19h30 : découverte du site. A 18h30 : Selules - Jazz fusion. 45 minutes. Tout public. Les quatre jeunes musiciens - un batteur, un bassiste, un claviériste et un guitariste - fusionnent le jazz et le hip-hop tout en intégrant leurs influences personnelles respectives telles que le rock, le reggae, le métal, le funk, le gospel, et la musique contemporaine. L’ambiance allie groove et composition écrite. Émotion garantie ! A 20h : Toupet et le Colporteur - Compagnie XIX. Théâtre musical. Durée : 45 minutes. A partir de 5 ans. Toupet est très grand, extrêmement câblé et méticuleux. Il descend d’une longue lignée d’experts en transmission et comme tous ses ancêtres employés de l’Organisation de la tour de Ferraille (TDF), il se consacre corps et âme à son unique mission : entretenir un émetteur perdu au milieu de nulle part. Mais voilà qu’un jour, une panne spectaculaire, inédite et catastrophique, met l’univers millimétré de Toupet sens dessus dessous. L’irruption soudaine d’un étrange personnage accompagné d’un drôle d’oiseau, attirés là par le bruit et la lumière dégagés par le pylône en folie, pousse Toupet à commettre un acte irréparable. Réservation indispensable sur saoneetloire71.fr

La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban. Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth. Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.

« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs. « Dic, Cur Hic ? » « Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.

Ce dimanche 2 juin à 15h30, "Mélimélodie" et les "Baladins du Tournugeois" chantent pour vous à l'église d'Etrigny pour un concert de Printemps. Une vente de brioche, crément, jus de fruit et eau sera organisé sur place. De plus, une fleur vous sera offerte par "Ecla Bulle", fleuriste à Sennecey-le-Grand. Entrée = au chapeau

AraPop (contraction de musique arabe et pop music) est un ensemble neuf, formé autour du oud d’Atef Younsi, de la guitare 12 cordes et du chant de Philippe Gonin et des percussions d’Abdessalem Marzougui. Les trois musiciens proposent une musique de fusion, de métissage entre musique traditionnelle arabe (et même plus spécialement tunisienne) et pop anglaise. ARAPOP Philippe Gonin guitare acoustique, voix Atef Younsi oud Abdessalem Marzougui percussions