Le Vrai Karaoké Géant à Jugy avec 20 micros en simultané vous garantie une soirée festive et mémorable avec un creusotin à la guitare, un buffet et une buvette.
Tu veux chanter avec tes potes, tes enfants, tes parents, tes grands parents, tes petits enfants, tes voisins, ton village ???
On t'attend !
10h : ateliers d'initiation à la danse et à la pratique instrumentale
Balade contée-chantée
11h30 : Apéro-concert
12h30 : Banquet par le traiteur de Montret
14h à 17h : stands d'initiation et de démonstration
Entrée : dos de cabillaud en chaud froid sur macédoine de légumes
Plat : ballotin de volaille fermier farci à la mousseline, sauce crème
Gratin dauphinois, brochette de tomates cerises
Trilogie de fromages affinés
Craquant chocolat et multi-fruits
Boissons en sus
Café offert
Réservation obligatoire ci-dessous
Fabrication d'une couronne en fleurs séchées et vannerie sauvage
Fabrication d'une étoile en vannerie sauvage
Atelier découverte de la matière pour pote'rie
Montage d'une maquette bressane miniature
Création de badge personnalisé et stand tatouage
Démonstration de création en musique assistée par ordinateur
Atelier d'automassage par l'association la Petite mandarine
Démonstration de vannerie traditionnelle
Présentation du livre sur des récits de vie à la Grange Rouge par Mémoires de Sornay
Jeux en bois de la ludothèque du Centre culturel et social de Cuiseaux
Fresque murale participative
Montage d'une maquette bressane miniature par les bénévoles du chantier
14h à 17h :
bal pour enfants par la Chouette enjoleuse
Karaoké de l'ensemble de guitares
Atelier d'initiation aux danses traditionnelles par Monique Paquelier
17h : spectacle familial "La lanterne rouge
Durée : 40 minutes. Tout public
18h à 22h : concerts et bal folk
Et encore d'autres surprises !!!
Journée gratuite.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.