Spectacle Privilège par Mr Beuchot et 5 musiciens.
Au fil de l'histoire étonnante du Château de Sully, librement inspirée de faits réels, contée avec une pointe d'humour, vous découvrirez le secret du Château.
Et au grès de ce sixième programme des Violes d'Eole, vous apprendrez pourquoi les tonnelets de chêne remplis d'eau-de-vie du domaine eurent une si grande importance.
Spectacle qui aura lieu dans le petit Théâtre du Château de Sully.
Réservation indispensable !
Tout public
La visite classique du château se déroule dans les principales pièces de réception au rez-de-chaussée dans une volonté d'accessibilité à tous les visiteurs. Vous avez envie de plus ? De voir les anciennes cuisines au sous-sol ? De découvrir des chambres à l'étage ? De déguster des vins de la famille dans les caves ? D'admirer le petit théâtre à l'italienne tout juste restauré ?
Les visites + , nouveautés de cette année 2024, sont faîtes pour vous !
Nous vous donnons donc rendez-vous en semaine à 15h30 :
- lundi : visite + théâtre
- mardi : visite + cuisines
- mercredi : visite + théâtre
- jeudi : visite + chambres
- vendredi : visite + dégustation
Réservation à l'avance indispensable !
Millénaire Sully : la très grande visite historique et théâtrale du château de et par Thomas Volatier.
Du 21/04/2024 au 25/08/2024, Le 20/05/2024, Le 02/06/2024, Le 09/06/2024, Le 28/07/2024, Le 16/08/2024, Le 25/08/2024
SULLY
Pousser les portes de Sully, c’est comme entrer dans un songe où l’architecture, l’histoire et l’art de vivre à la française se mélangent.
Les anecdotes s’y glissent, les détails y dansent et le temps ne semble pas avoir de prise sur notre domaine vieux de 1000 ans.
Je vous invite précisément à prendre le temps, à le kidnapper l’espace d’une parenthèse pour approfondir cette œuvre d’art toute de pierre, d’art, d’histoire, de végétal et d’ingéniosité.
Je vous montrerai les chemins inattendus, je vous ouvrirai exceptionnellement les portes d’appartements habituellement fermés. Et comme un voyage dans un palais bourguignon ne peut se dérouler sans penser au vôtre, le vin des Ducs de Magenta issu des Domaine familial sera notre compagnon de visite.
Thomas VOLATIER
Vous avez toujours rêvé d’être un chevalier du Moyen Age et porter fièrement un bouclier coloré avec le dessin d’un animal fantastique ? Rejoignez-nous pour une exploration du château à la recherche des blasons des familles qui l’ont construit et habité depuis presque mille années. Ensuite, rendez-vous dans notre atelier de fabrication de blasons. Laissez place à votre imagination pour créer le plus beau des blasons!
Cet atelier pour les enfants en famille se déroule à l'intérieur du château pour une brève exploration puis dans les dépendances pour la fabrication de votre blason.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.