L'amitié Varennoise organise comme chaque année sa marche du 1er Mai
Rendez-vous à la salle des fêtes de Varennes Sous Dun à partir de 8h pour le départ d'un des 4 circuits proposés : 7 km - 13,5km - 18,5km - 23 km
Des ravitaillements vous attendent sur le parcours.
Un repas froid vous sera proposé à votre arrivée sur place ou à emporter.
Buvette et vente de gaufres sur place.
Venez découvrir nos jolis sentiers sur les versants de Dun !
Animé par Nathanaël VETTER, biologiste spécialisé dans le comportement animal et ornithologue.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Le Temps d’un Compte est une courte pièce dansée qui naît de la dernière création de la compagnie Voltaïk « Funambul ». Elle rassemble sur scène une violoniste, un slameur et des danseurs pour un voyage à la croisée des arts. L’espace y est épuré et laisse place aux interprètes ; les seuls accessoires sont le micro et le violon, qui font de chaque représentation un moment unique de musique live. Diane Delzant jongle avec les notes et FafaPunk jongle avec les mots, entre slam et beatbox, avec la douceur et le flow qui lui sont propres. Les danseurs se rencontrent et se croisent au détour d’une phrase, d’une mélodie, et habitent l’espace avec une gestuelle mêlant danse hip-hop et danse contemporaine, freestyle et chorégraphies rythmées.
"Une nouvelle page à écrire" est une proposition de cycles d’ateliers d’écriture autour du deuil, ouverts à toute personne se sentant concernée par cette expérience intérieure, qu’elle soit vécue dans le cadre familial, amical, ou professionnel. Les ateliers auront lieu sur plusieurs mois, aboutiront à l’édition d’un livre commun.
Il n’est nul besoin d’avoir pratiqué l’écrit avant d’y participer, ni même d’être présent sur toute la durée. Il est aussi possible d’y participer juste pour écouter les textes des autres et s’en nourrir si le besoin s’en fait sentir.
La rencontre du 13 mai nous permettra de vous donner des informations sur la mise en place des ateliers qui démarreront à l’automne, et d’échanger autour de comment exprimer le deuil, et possiblement vivre avec.
Il est demandé à chacun.e de venir ce jour-là avec un très court texte à partager: texte personnel ou écrit par un autre, issu d’un livre, un poème, une chanson, une lettre, ou une photo.
Spectacle donné dans le cadre de la 9ème édition du festival Saperli'poètes.
Fidèle à sa démarche d’explorer les liens entre les arts pour mieux les décloisonner, la compagnie Voltaïk rassemble sur scène une violoniste, un slameur et des danseurs hip-hop pour nous embarquer dans un voyage à la croisée des arts.
Dans un espace épuré qui laisse aux artistes toute la liberté de s’exprimer – les seuls accessoires sont le violon et le micro -, la pièce se crée au fil des notes et au rythme des mots. Pendant que la violoniste Diane Delzant jongle avec les notes, FafaPunk joue avec les mots, alternant avec douceur le slam et le beatbox. Bercés par cette musique inédite, les danseurs se rencontrent et se croisent au détour d’une phrase ou d’une mélodie, habitant l’espace par une gestuelle mêlant danse hip-hop et danse contemporaine, freestyle et chorégraphies rythmées.
Lors de cette soirée vous découvrirez également l’œuvre de Philippe Morvan « DOT », une installation lumineuse et sonore, proposé par La Filature, en présence de l’artiste.
À partir de 6 ans
Entrée gratuite
Réservation conseillée sur https://my.weezevent.com/saperlipoetes ou par mail à [email protected]
Journées du patrimoine au château de Saint-Point / Maison d'Alphonse de Lamartine
Du 21/09/2024 au 22/09/2024
SAINT-POINT
Saint-Point, château des XIIe et XIVe siècle, classé Monument Historique et Maison des Illustres, devient à partir de 1820 la demeure familiale du poète et homme politique Alphonse de Lamartine.
Considéré comme le père du Romantisme en littérature, il est également un des fondateurs de la IIe République et contribue à l’abolition de l’esclavage, de la peine de mort politique ainsi qu’à l’instauration du suffrage universel.
Il reçoit le château de Saint-Point en avance d’hoirie, lors de son mariage avec une aristocrate anglaise, Mary-Ann Birch, et entreprend de le restaurer dans le style gothique anglo-saxon, découvert lors d’un voyage en Angleterre. Lamartine fait notamment construire une galerie quadrilobée, un porche gothique et aménage des jardins à l’anglaise.
La visite du château de Saint-Point comprend la chambre et le cabinet de travail d’Alphonse de Lamartine, meublés tels qu’ils l’étaient à l’époque, la cuisine, nouvellement ajoutée au parcours de visite, la salle-à-manger du XVIIIe siècle, le cabinet de travail de son secrétaire ainsi que le musée Lamartine. Situé dans le grand salon du rez-de-chaussée, ce dernier rassemble les objets et souvenirs personnels du poète, conservés par sa nièce, Valentine de Cessiat.
A l’occasion des journées du patrimoine, deux pièces supplémentaires seront exceptionnellement ajoutées à la visite guidée : le salon néogothique et l’ancienne chambre de Marianne de Lamartine, pièces classées Monuments Historiques.
La visite pourra se terminer par une visite libre du verger, du potager, de l’ancienne serre ainsi que du caveau familial du poète, qu’il fait construire à la mort de sa mère. Il est situé en lisière du château, à côté de l’église romane de Saint-Point, dans laquelle se trouvent deux tableaux peints par Marianne de Lamartine.
Pour ces deux journées, huit visites guidées par jour seront proposées, aux horaires suivants : 10h, 11h, 12h, 13h, 14h, 15h, 16h et 17h.
Réservation en ligne fortement recommandée : https://chateaudelamartine.fr/reservation/
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.