Cette création ciné-concert entre dans la programmation 2024 des concerts en villages de Fleurs de Jazz, en partenariat avec le Cinéma d'Anost.
Gary Brunton nous invite à prendre place dans son “train de jour” accompagné de François Jeanneau, Andrea Michelutti et Emil Spanyi. Un projet de jazz quasi intergénérationnel et intemporel !
Plus d'infos sur www.larochemillayjazzfestival.fr ou 06 19 12 25 06
Billetterie en ligne ou sur place dans la limite des places disponibles.
Bien que les femmes aient joué un rôle essentiel dans la Résistance française durant la Seconde Guerre mondiale, elles ont souvent fait figures d'oubliées de l'Histoire. L'Association pour la Recherche sur l'Occupation et la Résistance en Morvan leur rend hommage à travers une exposition réalisée par ses soins. Cette exposition « Raconte-moi la Résistance au féminin » permet d'appréhender la participation et les actions menées par celles-ci dans cette lutte clandestine. Agent de liaison ou infirmière du maquis, aidant au ravitaillement ou à l'hébergement, les femmes ont assumé de nombreuses tâches primordiales à la logistique de la Résistance, tout en courant les mêmes risques que les hommes.
22 panneaux retracent l'histoire des femmes dans la Résistance. Le début de l'exposition rappelle l'occultation pendant longtemps de leur rôle ainsi que la situation des femmes durant ces années sombres où la politique de Vichy s'attache à célébrer la femme comme « mère ». L'exposition se poursuit autour de la présentation des multiples actions menées par les résistantes. Ensuite, aux côtés des héroïnes de la Résistance telles Lucie Aubrac ou Germaine Tillion, se mêlent des portraits de figures plus anonymes mais dont le rôle au niveau local fut essentiel dans la Libération du Morvan, comme Janette Colas ou Louise Aubin.
Une exposition réalisée par l’association Morvan terre de Résistances-ARORM. A découvrir en plein-air, librement et gratuitement.
Observation de la Lune
Le 15/05/2024, Le 15/06/2024, Le 14/07/2024, Le 12/08/2024, Le 11/09/2024, Le 10/10/2024, Le 09/11/2024, Le 08/12/2024
Dès
25
€
ANOST
MORVAN Céleste propose des séances d’observation de la Lune lors des Premiers Quartiers où la Lune nous dévoile toute sa beauté.
Venez observer l’astre le plus proche et contempler les reliefs lunaires. Ces observations sont également l’occasion de mieux comprendre les mouvements de la Lune.
Cette animation comprend 40 min d’observation et de découverte de la Lune à l’aide d’une lunette astronomique (comme Galilée !) et d’un télescope.
Exposition de Georges Kulik, artiste peintre, intitulée "Paysages intérieurs".
Les clubs culture organisent des rencontres culturelles au sein des structures et des partenaires culturels du réseau BAM de la CCGAM. Animés par des bénévoles partageant le plaisir de transmettre leur passion.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Cette action a reçu le label « Mission Libération ».
Evénement tout public sera à la fois scientifique, patrimonial et festif.
Expositions, projections, conférences, sortie au maquis, concerts et bal de la Libération...
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.