Du 5 juin au 2 juillet 2024, le Département de Saône-et-Loire investit les villages et offre dix soirées aux quatre coins de la Saône-et-Loire alliant patrimoine et culture en ruralité. Après la tournée des lavoirs, des fours, forges et tuileries dans différentes communes du département, Scènes en campagne vous invite dans les tours et donjons de l’époque médiévale ! Danses, chants, musiques, mentalisme, théâtre et cirque de la scène artistique départementale animeront les soirées de ce début d’été, dans des sites médiévaux qu’il sera possible de découvrir ! La construction du corps de logis principal remonte au milieu du XVe siècle. Remanié ensuite au cours des siècles, l’ensemble a cependant gardé un aspect médiéval. Le château a conservé une tour carrée, trois tours rondes, un corps de logis et un long corps de dépendances aménagé au XIXe. Un parc arboré entoure l’ensemble. A 18h et 20h : découverte du site par l’association « la Vallée du Ternin » et le Centre de castellologie de Bourgogne (CeCaB). A 18h45 : Portraits des miens - Sidonie Dubosc. Chant et musique. C’est le récit d’une jeune femme au milieu du chamboulement terrestre. Seule en scène avec son piano à pouce et sa voix d’espérance, elle convie les beautés, les amours et les petits riens qui maintiennent en vie. Entre ses mains, le cercle de bois qui résonne vous convie dans le cercle des familles du cœur, celui des retrouvailles et des réconciliations, des joies enfantines et des éternelles tendresses. A 20h30 : L’Effet barnum - Compagnie Pièces et Main-d’œuvre. Théâtre participatif. Durée : 1h. À partir de 12 ans. En une heure montre en main (car le temps c’est de l’argent), Stéphane et Karine, nos deux guides, vous livreront en toute bienveillance la recette de la sérénité´ et du bonheur tant plébiscité dans nos sociétés modernes. Venez zen. Conseils avisés, exercices pratiques certifiés, témoignages authentiques se succéderont au service d’un unique objectif : être ensemble, être bien, et planer superbement au-dessus de nos quotidiens moroses. À moins que le ténia du doute ne s’empare des intestins de nos certitudes…