De la place du village descendre la D 421, passer devant le cimetière. Prendre à droite en direction des Baudras, puis le second chemin à gauche afin de rejoindre la D 121.
Variante courte (CMF2) : continuer sur la route, traverser les Baudras et rejoindre la Maladière.
Au Butot, emprunter la D 121 à droite sur environ 200 m, puis la D 41 à gauche en direction de Trivy. Après un grand virage, bifurquer à droite derrière une maison. Monter tout droit au milieu des prés et cultures. Arriver en sous- bois en limite de Trivy.
Descendre à droite au milieu d’une plantation de pins Douglas, traverser un ruisseau puis une route. Remonter jusqu’à un croisement.
Prendre à droite direction « CMF2 La Maladière ». Le chemin, souvent humide, rejoint la D 41. Emprunter celle-ci sur la droite, la traverser à hauteur d’un pont et remonter à gauche entre les deux balises jusqu'au croisement suivant.
À l’arrivée de la variante, abandonner le goudron en empruntant le chemin en face qui grimpe doucement en direction de Burnet. Après 200 m environ, vue vers le sud. Longer une plantation de résineux puis des prés jusqu’au bois de pins Douglas sur la droite. Vue sur Curtil-sous-Buffières à gauche. Prendre à droite à l’intersection suivante puis encore à droite un chemin herbeux assez humide. Il rejoint un chemin de terre ; le descendre jusqu’à la route de Bergesserin.
Partir à gauche sur le goudron, dépasser deux maisons et prendre à droite au carré de résineux pour rejoindre à droite le chemin qui surplombe le village ; 300 mètres après la maison isolée, vue sur le village et son église, la vallée de la Noue, les monts du Beaujolais, etc. Poursuivre tout droit ; le chemin de terre regagne le goudron, passe sous le relais téléphonique et arrive à Mont.
Dès la première maison, prendre à droite et de nouveau à droite pour descendre vers le bourg en laissant la route de « France » à droite. Après le carrefour suivant, emprunter un chemin de terre à droite vue sur l’église du XII e siècle). À son débouché, prendre à gauche pour contourner l’église, passer devant le monument aux morts et rejoindre la place.
Avis aux amateurs de randonnée !
Chaque semaine partez à la découverte de la région grâce à la treizième édition des balades nocturnes organisées par les communes en partenariat avec l’Office de Tourisme Verts Vallons de Sud Bourgogne.
Parcours de 6 à 8 km, environ 2h de marche. Il s’agit d’une balade à allure tranquille. Collation offerte par les communes en fin de parcours. Randonnée sous la responsabilité des participants.
La chapelle en fête vous attend pour son repas dansant à l'occasion de la fête de la musique. Réservation obligatoire pour le repas. Bal ouvert à tous et entrée gratuite. Repas sous chapiteau.
Diplômé des Beaux-Arts de Montréal en 1967 et après 7 années passées dans les Alpes-de-Haute-Provence, Patrick THOMACHOT trouve désormais son inspiration en Bourgogne, dans le petit village de La Chapelle-du-Mont-de-France. Son art s'exprime à travers différents modes d'expression : la peinture, le dessin, la gravure ou encore la sculpture.
Nous sommes heureux de vous accueillir à l'hôtel Le Saint-Rémy pour une étape calme, conviviale et reposante. Nos 31 chambres sont spacieuses et confortables, avec climatisation, wifi gratuit et télévision écran plat. Parking gratuit devant l'hôtel. Animaux acceptés avec un supplément.
En plus de la proximité avec Chalon-sur-Saône, vous pourrez, à 500 mètres de l'hôtel, prendre le départ de la Voie Verte : Chalon - Givry - Charnay-lès-Mâcon, soit 70 km d'agréables découvertes.
Chambres climatisées et confortables avec tous les équipements dont vous avez besoin : couette, oreillers, literie de qualité, téléviseur. Une véritable salle de bains avec douche, lavabo et toilettes. Chambres familiales (jusqu'à 4 personnes). Accès Wifi gratuit et illimité dans votre chambre. Accueil personnalisé de 6h30 à 11h00 et de 17h00 à 20h30. Distributeur automatique de chambres.
Macarons et gourmandises maison. Places assises. Snacking et café.
La piscine municipale de Saint-Rémy est une piscine en plein air située à proximité du parc municipal. Elle dispose d'un grand bassin de natation de 25 mètres.
Hébergement élégant, à proximité de Chalon. Maison individuelle aménagée avec goût. Séjour lumineux et traversant. Grand jardin avec terrasse privative.
Situé à proximité de la Voie Verte, le Musée de l'Ecole en Chalonnais vous propose de découvrir trois salles de classe d'époques différentes, ainsi que des espaces dédiés à la salle de l'instituteur et aux vêtements d'écoliers. Retrouvez l'encre violette et les pupitres en bois ou les fameuses tables tubulaires de l'école des années 60 à 80 !
Un fonds d'archives de près de 30 000 photos de classes de toute la Saône-et-Loire (1880 à nos jours) est consultable sur place, sans oublier notre collection de papier buvards et de protège cahiers très anciens.
Placée sous le vocable de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, l’église a été fondée le 10 juin 1933 par Monseigneur CHASSAGNON alors évêque d’Autun, Chalon et Mâcon, avec l’accord des curés de Saint-Cosme, Saint-Rémy et Châtenoy-le- Royal. Le quartier chalonnais de la Cité-jardin des Charreaux venait de se construire avec 276 habitations, mais sans église.
Bénie le 8 octobre 1933, la cloche a pour marraine Mme Jeanne BALLAND, épouse de M. Jean BALLAND dont la générosité avait permis l’acquisition du terrain et l’édification de l’église. Un autre bienfaiteur, M. André BAPTAULT est le parrain.
La chapelle fut, quant à elle, bénie le 26 novembre 1933.
Un narthex fut ajouté et consacré par le nouvel évêque, Monseigneur LEBRUN, le 5 octobre 1941. Une statue de Sainte Thérèse, offerte par la famille CHAUMONT est placée au-dessus de la porte d’entrée.
Suite à l’explosion d’un train le 25 août 1944, une réfection de l’église a été entreprise : pose, transformation et surélévation du choeur notamment. Une nouvelle réfection de l’intérieur de l’église a été entreprise en 1966, puis en 1980. Les extérieurs sont remis en état en1982.
La première église de Saint-Rémy daterait de 1485, sous le vocable de saint Rémi, évêque de Reims, Sanctus Remigius, qui dépendait du bailliage, de la
recette, du diocèse et de l’archiprêtré de Chalon. Sous l’Ancien Régime, les habitants de Taisey et de Saint-Rémy constituaient une seule paroisse dont l’église se trouvait au bourg de Saint-Rémy.
En 1842, on procède à un agrandissement de la nef et au déplacement du clocher au-dessus de l’entrée, avec sa cloche datant de 1538.
Avec l’aide de l’abbé François Douheret (1906-1985), curé de Saint Rémy de 1941 à 1967, l’église s’est adaptée au Concile Vatican II avec le prêtre
officiant pour la messe, face aux fidèles. Des vitraux de Pierre Choutet sont installés.