Entre théâtre et vidéo-projection - Semaine du Développement Durable - Tout public.
Une Chenille dans le coeur reprend un des plus beaux textes de Stéphane Jaubertie. En mêlant théâtre et vidéo-projection, mots et musique, le spectacle nous invite dans un monde imaginaire qui navigue entre l’univers de Tim Burton et celui d’Hayao Miyazaki…
Entre-sort en caravane - Semaine du Développement Durable - Tout public dès 6 ans.
On boira toute l’eau du ciel est une petite forme en caravane dans laquelle quatre spectateurs deviennent témoins privilégié.e.s d’un conte sonore et visuel. L’histoire est celle d’un peuple disparu à la suite d’un déluge. Deux sœurs rescapées sont les garantes du drame. Ensemble, elles jouent à faire revivre les souvenirs en prenant soin de ne pas les laisser sombrer dans l’oubli.
Film documentaire - Tout public dès 8 ans.
Filer à 10 nœuds au cœur d'un banc de thons en chasse, accompagner les dauphins dans leurs folles cavalcades, nager avec le grand requin blanc épaule contre nageoire... Le film Océans c'est être poisson parmi les poissons.
Après Himalaya et Le Peuple migrateur, Jacques Perrin nous entraîne, avec des moyens de tournage inédits, des banquises polaires aux tropiques, au cœur des océans et de ses tempêtes pour nous faire redécouvrir les créatures marines connues, méconnues, ignorées.
Océans s'interroge sur l'empreinte que l'homme impose à la vie sauvage et répond par l'image et l'émotion à la question : "L'Océan ? C'est quoi l'Océan ?"
Théâtre - Tout public.
Évocation et hommage à l’artiste peintre Frida Kahlo, dont le combat de vie à travers la peinture a fasciné et a laissé derrière lui force et espoir. Grand paradoxe, puisque sa vie de souffrance s’est achevé à l’âge de 47 ans, dans un grand épuisement, avec ces mots : « J’espère que la sortie sera joyeuse, et j’espère ne plus jamais revenir ». Frida, obsédée par la mort, et amoureuse de la vie, femme émancipée, et dans une totale dépendance affective, d’une extrême féminité, et d’une masculinité troublante, d’une grande humilité et d’un narcissisme pathologique, Frida ou la multiplicité d’un être.
Un spectacle qui nous raconte comment, en faisant de son chemin de croix, un tour de piste flamboyant, Frida Kahlo a planté dans nos cœurs son hymne à la vie, comme on plante un drapeau.
Musique et jonglerie - Tout public dès 6 ans.
Les frères Colle, finalistes de l'émission " La France a un incroyable talent " 2021 !
Nés de l’union insolite entre une grosse caisse et une caisse claire, les Frères Colle tambourinent depuis leur naissance !
Avec « Drum Brothers », ils nous proposent un spectacle original, une performance de jonglerie musicale virevoltante et remplie d’humour. Tout est source de percussions, mais les prédispositions artistiques du trio ne s’arrêtent pas là : cornemuse, flûte et guitare entrent dans la danse et les objets
voltigent, aussi bien les quilles que les parapluies. Avec ce trio décapant et virtuose, tout est talent, fantaisie et fougue.
Un spectacle familial pour petits et grands orchestré par le pinceau coloré du metteur en scène Éric Bouvron.
Un mélange entre conte et balade dans le bourg de Saint-Vallier pour le plaisir des petits et des grands !
Le trajet prévu est accessible aux poussettes afin que toute la famille puisse en profiter.
En partenariat avec les Conteurs à gaz.
Les marchés de producteurs Bienvenue à la ferme sont de retour sur le territoire de la CUCM. Avec 10 dates, de mars à décembre, c'est tous les premiers vendredis de chaque mois que vous pourrez retrouver vos producteurs locaux avec leurs produits de qualité et de saison. Organisés par la Chambre d'agriculture en partenariat et avec le soutien de la CUCM, ces marchés permettent aux consommateurs de rencontrer les producteurs de leur territoire, d'échanger avec eux sur leur savoir-faire, et tout cela dans la convivialité et la bonne humeur. Une quinzaine de producteurs vous y attendent pour vous faire déguster leurs produits : viandes, fromages, escargots, miel, vins, pain…
Ce mois-ci, le marché sera encore plus gourmand : les producteurs vous concocteront de savoureuses assiettes à consommer sur place, dans une ambiance chaleureuse accompagnée d’Emilio Armillès pour l’animation musicale : une douce soirée d’été à ne manquer sous aucun prétexte…
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.