Irlande, 1981, Cáit, une jeune fille effacée et négligée par sa famille, est envoyée vivre auprès de parents éloignés pendant l’été.
Mais dans cette maison en apparence sans secret, où elle trouve l’épanouissement et l'affection, Cáit découvre une vérité douloureuse.
Seydou et Moussa, deux jeunes sénégalais de 16 ans, décident de quitter leur terre natale pour rejoindre l’Europe.
Mais sur leur chemin les rêves et les espoirs d’une vie meilleure sont très vite anéantis par les dangers de ce périple.
Leur seule arme dans cette odyssée restera leur humanité.
Colette CORTIER et les membres de son association CERAMIRU vous proposent de venir découvrir leurs oeuvres variées qui pourront aussi être de beaux cadeaux pour la fête des mères. Exposition vente de sculptures céramiques RAKU, peintures, bijoux, objets inattendus en bois.
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Sautez à pieds joints dans une aventure humaine et rafraichissante !
« Et demain ? », première édition d'un festival bisannuel de proximité, a pour but de célébrer le spectacle vivant en y incorporant le savoir-faire humain, le vivre ensemble ainsi que l’écologie.
Au programme : 4 spectacles de cirque, un concert de clôture, des animations et ateliers, un marché de producteurs et artisans locaux.
Le festival se veut le plus écoresponsable possible : zéro déchet, encourageant les producteurs locaux et bio en adéquation avec la philosophie de l’évènement, une programmation "du coin" ainsi qu’un coin resto/buvette éthique et local.
Ceci fait bien sur écho à une thématique politique et écologique tout à fait actuelle et sera une façon positive de se rassembler autour d'un événement convivial et bon pour le karma !
Le petit nouveau dans le paysage des festivals de la côte sud Chalonnaise n’a pas fini de faire parler de lui.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Improbable certitude
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
Cet été sera présentée à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Philippe Accary et Martine Alibert. Le 27/11/2023.
Tout niveau 4h de découverte avec pause au milieu. A travers des jeux corporels et de voix, nous créerons des personnages, des lieux, des situations pour le plaisir de jouer ensemble et de s'inventer des histoires.
* samedi 21 octobre : monstres et fantastique
* samedi 17 février : les explorateurs
* samedi 6 juillet : à la manière de...
Restitution d'un exercice à 17h45.
minimum 8 participant(e)s de 7 à 14 ans
Allons-nous vers un déclin de notre santé ?
Animée par le Dr Paul Simon PUGLIESI
Chef du Service de Réanimation CH William Morey
Comment nos modes de vie risquent de s'opposer à deux siècles de gains de santé ?
Avec le soutien de la Ligue contre le cancer et Solstices