Cette année, la municipalité renouvelle l’événement «Le Breuil en Fête», avec un nouveau spectacle. Découvrez un événement convivial, culturel et familial situé au coeur de notre commune, au Parc du Morambeau.
Au programme
- Un spectacle de danse et de feu : à la nuit tombée, la compagnie La Salamandre proposera un moment hors du temps autour de son spectacle Horizon, un spectacle musical mêlant danse et feu sur l’esplanade derrière la salle du Morambeau. C’est une représentation de 50 minutes, éblouissante et spectaculaire, sur des rythmes pop-électro-funk.
- Un découverte musicale : dès 16h, le public pourra profiter du parc Morambeau avec une trentaine d’instruments géants installée dans la première partie du parc, en accès libre. Petits et grands pourront alors participer à cette découverte sensorielle, acoustique et ludique en attendant le grand spectacle ! Et à partir du 19h, La Fanfarrosoir, fanfare de Chalon-sur-Saône, déambulera dans le parc pour faire danser et voyager les promeneurs !
- Un espace restauration et buvette : le public pourra profiter des tables installées dans la première partie du parc pour pique-niquer ou déguster les plats proposés par les différents points de restauration.
Exposition Exil - Oeuvres de Mambo'o D27
Du 20/05/2024 au 24/05/2024, Du 25/05/2024 au 26/05/2024, Du 27/05/2024 au 31/05/2024, Du 01/06/2024 au 02/06/2024, Du 03/06/2024 au 04/06/2024
LE BREUIL
La Ville du Breuil est fière d’accueillir l’exposition « Exil », œuvres de l’artiste Mambo’o D27à l’étage de la Mairie.
Cette nouvelle exposition de l’Office Municipal de la Culture en collaboration avec le Centre Francophonie de Bourgogne, l’Association PNS, l’Atelier des Artistes en Exil ainsi que la Région Bourgogne Franche-Comté se tiendra dans la salle d’exposition de la Mairie.
Né en Angola en 1990, Mambo’o D27 vu son pays natal être le théâtre de conflits internationaux et de guerres civiles pendant une grande partie de son enfance, contraignant sa famille à émigrer vers la République démocratique du Congo. Il débute son parcours artistique de manière autodidacte en 2004, puis suit ses études aux Beaux-Arts de Kinshasa (2007-2009). Arrivé à Paris en 2018, il devient artiste membre de l'atelier des artistes en exil où il travaille et prend part aux évènements artistiques de l’association.
Sa démarche artistique se concentre sur la notion de liminalité et de passage, explorant les frontières et les catégories établies. Ses œuvres évoquent l'expérience de la migration, mettant en avant la précarité des conditions de vie et la construction d'identités en exil. Il remet en question les limites traditionnelles de la toile en incorporant objets et éléments de l'art digital avec l'omniprésence de QR codes.
L'œuvre de Mambo'o D27 est une invitation à explorer les intersections entre l'individu et le monde et à la fois à se perdre dans les labyrinthes visuels qu'il crée. Rappel puissant de la capacité de l'art à nous connecter à des réalités multiples, tout en exprimant la richesse de l'expérience humaine.
L'Office Municipal de la Culture vous convie à soirée musicale sur le thème des duos d'hier et d'aujourd'hui avec Nathalie Moyset et Pascal Fusil !
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
L'Office Municipal de la Culture vous convie à Chante Apéro spécial Bobin.
Découvrez des lectures musicales en hommage à Christian Bobin, avec Elen Hervochon, Harpiste et la Compagnie Complice en scène.
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle