Domaine familial depuis plusieurs générations, installé au cœur du village. Nous exploitons nos vignes dans le respect de l'environnement et de la nature : culture mécanique et biologique (sans label, mais en conversion). Trois appellations sont exploitées : BOUZERON, Bourgogne Côte Chalonnaise Blanc et Rouge. Les vignes sont exposée en coteaux et bénéficient de conditions climatiques exceptionnelles. Nous serons heureux de vous accueillir dans notre caveau pour découvrir nos vins.
Avec 80 hectares de vignes sur 8 villages de la Côte de Beaune et de la Côte Chalonnaise, le domaine est propriétaire de 5 Clos et de 2 Monopoles et détient notamment l’unique Monopole de l’appellation Bouzeron Village - Le Clos de la Fortune, un joyau de l’AOC (2, 76 hectares).
Venez déguster nos grands vins dans notre habitation vigneronne typique du 17ème siècle. Découvrez la passion qui nous porte au quotidien en visitant notre vignoble et nos caves.
Les Champs de Thémis, c'est le domaine que j'ai créé en 2014, sur la Côte chalonnaise, au
cœur de la Bourgogne.
Je suis issu d'une famille où la vigne et le vin ont toujours occupé une place importante. Après
avoir exercé le métier de magistrat pendant plus de 12 ans, j'ai décidé de changer de voie, de
changer de vie, pour retrouver ces racines.
Les Champs de Thémis, parce que le métier de vigneron est d'abord un métier de paysan,
d'agriculteur. Prendre soin des terroirs qui m'ont été conf
Notre domaine s'étend sur 10 ha en Côte Chalonnaise et Côte de Beaune.
Nous travaillons 9 appellations en blanc et en rouge, et essayons au maximum de préserver nos differents terroirs.
Une attention particulière est apportée au travail de la vigne et des sols notamment.
Notre vinification est basée sur extraction douce.
Église Saint-Marcel (XIIIe siècle);
La construction de l'église de Bouzeron, dédiée à Saint-Marcel, semble consécutive à la création d'un prieuré de douze moines à Chagny, à l'initiative de l'évêque de Chalon. Ce sont les moines qui l'auraient fait construire après 1220. Cette petite église, établie à flanc de colline, se caractérise par une nef charpentée et un chœur à clocher latéral au sud, doté d'un toit en bâtière. Le tympan est orné d'une croix fleurdelisée au portail de la nef.
Le chef prend plaisir à tout faire maison à partir de produits locaux pour vous faire plaisir.
Village viticole situé à proximité de Chagny, et à environ 15-20 kilomètres de Beaune et 25 kilomètres de Chalon-sur-Saône.
Chambres d'hôtes dans une ferme pouvant accueillir jusqu'à 11 personnes.
Gîte à la campagne spacieux pour séjourner en Morvan, près d'Autun, en Bourgogne.
Authentique, calme, nature et verdure.
Une église du XIIème siècle, remarquable par ses contreforts ; un moulin appartenant autrefois au fief de Chazeu, famille de Bussy Rabutin, parent de Mme de Sévigné et de Sainte Jeanne de Chantal. Aujourd’hui, siège d’une association culturelle dynamique.
Vous vous élèverez sur les contreforts du Morvan sud avec de beaux points de vue.
Dommage que la large vallée de l’Arroux contraigne à utiliser des routes goudronnées même si elles sont peu fréquentées.
Le circuit se fait dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Départ : Parking salle des fêtes
Traverser le pont de la Gourgeoise et continuer sur le goudron, au carrefour face à la Mairie prendre à gauche et emprunter l’Avenue de la Gare sur 900m, après avoir traversé le chemin de fer et avoir laissé sur la droite l’église St Pierre de Brion au carrefour prendre à droite sur 800m et emprunter le sentier qui monte sur la gauche sur de 1.3 km. A la sortie, emprunter le goudron à gauche sur 1 km et au carrefour suivant continuer à droite puis au carrefour suivant encore à droite également direction Montoy dans le hameau de Montoy tourner à droite sur le petit goudron qui descend et le poursuivre sur 400m avant de prendre un chemin qui part légèrement sur la droite en contrebas.
Poursuivre le chemin et admirer la vue sur la plaine de l’Arroux traverser les petites barrières en bois et en bas du chemin au Champ Bonnard emprunter le goudron sur la droite 400m, au carrefour prendre à gauche et retourner en direction du bourg de Laizy, à l’ancienne gare poursuivre sur le goudron en traversant le chemin de fer.
Derrière l’église prendre la route de gauche et quelques dizaines de mètre avant le pont de l’Arroux emprunter le sentier à droite le long de la rivière qui mène jusqu’au parking de départ
Petite astuce : suivez le balisage jaune
A savoir : La vallée de l’Arroux
Au niveau d’Etang-sur-Arroux, la vallée se resserre, formant un seuil. Les hauts versants se reculent un peu. Le fond tendu de la Plaine d’Autun laisse place à un dédale de collines, parcouru de petites vallées où la vallée de l’Arroux conserve sa prépondérance.
De part et d’autre de l’Arroux, une succession de reliefs doux sur lesquels le regard rebondit ou se faufile, révèle une profondeur jusqu’aux versants affirmés du Morvan ou de la Montagne Autunoise qui se dressent en arrière-plan. Ici, ce qui retient l’attention c’est la coexistence de collines en prairies, soulignées par un bocage graphique, de coteaux boisés qui recentrent le regard sur le fond de vallée, ou encore les basculements successifs d’un belvédère à un fond plus intime.
Le site de Laizy occupe l’emplacement d’une villa gallo-romaine possédée dès le 6e siècle par l’évêque d’Autun et donnée à la cathédrale au début du 7e siècle. Selon la légende, l’église aurait été construite sur le lieu où saint Julien de Brioude, accompagné par saint Léger, jetait son marteau. Une première église existait au 10e siècle. L’église dépendait du chapitre de la cathédrale d’Autun, dont elle est contemporaine, depuis les années 1120. C’est possible que l’église fût également construite sous l’impulsion de l’évêque Etienne de Bagé. Au 15e ou 16e siècle, une chapelle seigneuriale fut ajoutée. Un incendie vers 1640 entraîna la chute des voûtes de la nef. L’église a été remaniée au 17e siècle et d’énormes contreforts ont été ajoutés en 1687 pour stabiliser l’édifice. Les chapiteaux ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1950 et l’église restaurée à la fin du 20e siècle.
L’église date du deuxième quart du 12e siècle, on estime que le chœur fut commencé dans les années 1120 et que la nef fut complétée vers 1140. Le plan présente une nef de trois travées avec bas-côtés, un transept légèrement saillant et une abside semi-circulaire précédée d’une travée de chœur. Une chapelle gothique se greffe au sud du chœur et une sacristie se trouve au nord. L’extérieur a été entièrement remanié et n’est guère d’apparence romane. Le clocher, sur la croisée du transept, est ouvert par des baies simples. Les grands contreforts contrebutant la façade, la nef et le transept sont du 17e siècle. La façade et le portail sont d’apparence moderne. Seule l’abside est typiquement romane pour son appareil et ses baies. On y remarque quelques modillons aux volutes simples.
L’intérieur est encore roman. La nef compte trois travées avec des collatéraux. Les voûtes romanes n’existent plus, elles ont été remplacées par des plafonds plats. On peut supposer que la nef était voûtée en berceau brisé sur doubleaux à l’origine et que des arêtes couvraient les bas-côtés. Les piliers carrés, flanqués de pilastres avec impostes et chapiteaux, sont encore debout. Ils supportent les grandes arcades en plein cintre marquant le seul étage en élévation. Les bas-côtés, également plafonnés, ont des murs avec des baies et des pilastres avec chapiteaux sans décor. Le transept s’élève sur quatre piliers cruciformes cantonnés de pilastres dont ceux à l’est sont de profil cannelé. Des arcs brisés à double rouleau supportent la coupole sur trompes qui a été refaite. Les croisillons, voûtés en berceau brisé, s’ouvrent vers les bas-côtés par des arcs brisés avec impostes. Le chœur en granit rose est la partie la plus ornée de l’église. La travée droite, également voûtée en berceau brisé, conserve deux arcatures avec pilastres cannelés du côté nord. L’abside en cul-de-four possède deux baies et sept arcatures en plein cintre sur colonnettes de granit avec chapiteaux. L’arc triomphal, de profil brisé, retombe sur deux pilastres cannelés avec chapiteaux. Au sud se trouve la chapelle seigneuriale Saint-Hubert, de style gothique, avec une voûte en ogive et la châsse du saint.