Dans le drapé des douces collines brionnaises palpite le village de Coublanc. De là, le chemin part à travers champs sur les joues rebondies d’une campagne exquise, frôlant les ruisseaux, enjambant les rivières, se rassasiant d’insaisissables instants créateurs de bien-être et de mille ravissants tableaux d’une simplicité champêtre. Les vaches au pré. Un pommier. Quelques barrières hérissées qui ne retiennent pas l’herbe. Un petit monde animé par l’humeur du vent, par les oiseaux, par un chevreuil parfois, question de chance. On se sent bien au pays de la blondeur des pierres qui habillent les veilles fermes traditionnelles, les hameaux et le cœur du village. C’est la rusticité du patrimoine dans sa vérité solide et nue, harmonieuse, sans austérité. Mais d’où vient le supplément d’âme de cet attachant terroir ? La réponse est dans l’air ou peut-être devant l’émouvante réplique de la grotte de Lourdes édifiée en 1935.
C'est dans ce décor, dans un lieu préservé, que le Domaine de la Réserve ouvre ses portes au rêve et à l'authenticité.
Le Domaine de la Réserve vous accueille pour tous les événements, mariages, cérémonies, anniversaires entre amis ou famille dans un lieu de séjour privilégié.
Au départ de Coublanc, passez devant l’église dédiée à Sainte Marie Madeleine, l’ancienne jugée trop petite et malsaine fut détruite vers 1850. En 1852 une nouvelle église était donc édifiée conçue par l’architecte réputé André Berthier. Elle fut consacrée le 5 octobre 1869. De l’autre côté de la rue, admirer l’ancien presbytère et école des filles, aujourd’hui habitation privée, la maison « Auclair » du XVIe siècle.
Passez ensuite devant la mairie, l’école, laissez la route principale en allant tout droit en direction du point N°2 « Montbernier ». Après avoir traversé un charmant ruisseau continuer à gauche puis à droite en direction du point N°3 « La Favrie ». Admirez la vallée et au loin le Montrond où siège l’oratoire de la Sainte Famille érigé en 1875, y siègent donc un Saint Joseph barbu, tête nue portant au creux de son bras droit une branche de Lys. L’enfant Jésus dont les pieds reposent sur un globe terrestre et une vierge Marie drapée dans un long voile.
Au point N°3 « La Favrie » obliquez sur la droite et quittez la route goudronnée pour prendre un chemin de terre, longer le bois, la vue porte loin sur le village de Tancon et même plus loin encore sur celui de Saint Julien de Jonzy. Vous entrez dans le Bois Gauthay. De nombreuses coupes sont effectuées dans ce bois d’épicéas. Vous apercevez entre quelques arbres le clocher de Coublanc. Arrivée au point N°4 « les quatre chemins » tournez à droite, en descendant, sur votre gauche, de superbes vues sur le village de Villers dans le département de la Loire. Les points de vue de cette balade sont extraordinaires, sur le Roannais face à vous.
Empruntez la D259 puis tournez sur votre gauche au point N°5 « la croix du lièvre ». Poursuivre votre chemin entre les haies de houx, de charmilles, noisetiers, refuges des oiseaux jusqu’au point N°6 « les justices ». Tournez à droite puis à gauche, traversez le bocage et découvrez des paysages plein de douceur et de sérénité. De là vous apercevez le hameau de La Place appartenant à la commune de Coublanc qui à l’occasion de sa fête de quartier élit son maire, cela donne lieu à de joyeuses festivités.
Descendre doucement ce charmant chemin jusqu’à un petit étang, et remontez sur le plateau. Au point N°7 « Point IGN 405 m » tournez sur votre droite plus loin passer devant le cimetière et retour au village.
Au départ de Coublanc, descendre la route D259, et montez en laissant le cimetière sur votre gauche. Passez devant le célèbre Oratoire Notre Dame de Lourdes aménagé en 1936, reproduction fidèle de la grotte de Massabielle, une messe y est célébrée tous les ans pour le 15 août. Poursuivre jusqu’au point N°3 « Le Pont des Rigoles ». Bifurquez à droite puis à gauche, traversez la petite rivière « Le Pontbrenon » puis « L’Aron » toutes deux rivières de 1re catégorie. Traversez la D83, on voit ici une tour en ruine, seule vestige d’un château médiéval, qui fut le siège de la seigneurie de Vertpré. Montez en direction du Point N°4 « Vertpré ». Continuez votre balade au travers du bocage avec des vues sur Tancon à gauche et Coublanc à droite.
Au point N°5 « Les Tronchères » tournez à droite et traversez de nouveau la D83 continuer jusqu’au lavoir des Vernes sur la commune de St Igny de Roche, traversée par la rivière de l’Aron. Ce lavoir a été récemment restauré. Une table de pique-nique et une aire de jeux vous inciteront à une pause bien méritée.
Montez et entrez dans le bois de Vert pré puis tournez à gauche en continuant à le longer tout en admirant les vallées verdoyantes qui s’offrent à votre regard jusqu’au point N°6 « Le bois de Vertpré ».
Obliquez à droite puis à gauche en direction de Cadolon. Admirez la vallée et au loin le « Montrond » où siège l’Oratoire de la Sainte Famille érigé en 1875, y siègent donc un Saint Joseph barbu, tête nue portant au creux de son bras droit une branche de lys. L’enfant Jésus dont les pieds reposent sur un globe terrestre et une Vierge Marie drapée dans un long voile. On s’y rendait jadis pour solliciter la protection de la Sainte Famille, réciter un Pater, un Ave et un acte de contrition, on ne peut malheureusement pas y accéder. Entamez la descente sur le hameau de « Cadolon », point N°7, au stop prendre sur votre droite la D81 puis descendre sur votre gauche. Entamez la montée jusqu’au point N°8 « La Favrie », quittez la route goudronnée pour prendre à droite le chemin de terre, longer un bois, la vue porte loin sur le village de Tancon et même plus loin encore sur celui de Saint Julien de Jonzy. Un peu de repos s’impose, la vue sur Dun et Dunet est magnifique et la table de pique-nique accueillante.
Au point N°9 « Montbernier » continuez votre descente par la route en direction de Coublanc. Passez devant l’église dédiée à Sainte Marie Madeleine, l’ancienne jugée trop petite et malsaine fût détruite vers 1850. En 1852 une nouvelle église était donc édifiée conçue par l’architecte départemental réputé, André Berthier qui réalisa là l’une de ses oeuvres les meilleures et les plus originales. Elle fût consacrée le 5 octobre 1869.
De l’autre côté de la rue, admirez l’ancien presbytère et école des filles, aujourd’hui habitation privée, La maison « Auclair » du XVIe siècle. Retour au point de départ.
Un gîte spacieux et bien équipé, idéal pour les week-ends ou vacances, en famille ou entre amis. Proche de la nature - de nombreux itinéraires de randonnées pédestres et cyclables au départ du gîte.
À proximité de sites culturels et patrimoniaux - pays de Charlieu (Charlieu, plus beaux détours), Haut-Beaujolais vert, vignobles du Beaujolais et de la côte Roannaise, plan d'eau à Belmont, nombreux châteaux et églises romanes du Brionnais. Pour les gourmets, marchés de pays et producteurs locaux.
Aller à la rencontre du territoire... et le raconter... en BD.
Venez participer à ce projet culturel et artistique mettant en valeur notre territoire : la création d’une BD à
destination du tout public (jeunesse et adulte), en couleurs, à partir de rencontres et collectage de données
sur le territoire auprès de groupes d’habitants. Le Brionnais et nos villages seront le “décor” de la BD.
L’équipe d’auteurs pour la création de la BD se compose d’un scénariste, Hervé Loiselet, (Glénat, La Boîte à billes, Steinkis) et d’un illustrateur, Alexandre Nesme, (Glénat, Humanoïdes…)
Quelle est la place des habitants dans ce projet ?
Pour approcher l’identité de chaque village les auteurs ont besoin de vous ! Ces temps d’échange permettront de définir collectivement le lieu, le bâtiment, la tradition, le personnage, l’histoire ou la légende qui caractérise, identifie le territoire.
Les artistes travailleront sur le scénario, l’écriture et le dessin et partageront avec vous leur travail de création (par exemple vous découvrirez comment on prépare un scénario, comment on image les traits dessinés d’un personnage…)
Ce projet s’adresse à l’ensemble des habitants des communes du territoire qui seront groupés en 7 pôles (voir carte).
Le projet s’étalera de fin juin 2024 à décembre 2025, depuis la création jusqu'à la parution de l'ouvrage.
Notez déjà la date de la première rencontre.
Vous avez des questions, vous souhaitez rejoindre l'aventure ? Merci d'envoyer vos coordonnées à [email protected]
Chambres d'hôtes dans une ferme pouvant accueillir jusqu'à 11 personnes.
Gîte à la campagne spacieux pour séjourner en Morvan, près d'Autun, en Bourgogne.
Authentique, calme, nature et verdure.
Une église du XIIème siècle, remarquable par ses contreforts ; un moulin appartenant autrefois au fief de Chazeu, famille de Bussy Rabutin, parent de Mme de Sévigné et de Sainte Jeanne de Chantal. Aujourd’hui, siège d’une association culturelle dynamique.
Vous vous élèverez sur les contreforts du Morvan sud avec de beaux points de vue.
Dommage que la large vallée de l’Arroux contraigne à utiliser des routes goudronnées même si elles sont peu fréquentées.
Le circuit se fait dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Départ : Parking salle des fêtes
Traverser le pont de la Gourgeoise et continuer sur le goudron, au carrefour face à la Mairie prendre à gauche et emprunter l’Avenue de la Gare sur 900m, après avoir traversé le chemin de fer et avoir laissé sur la droite l’église St Pierre de Brion au carrefour prendre à droite sur 800m et emprunter le sentier qui monte sur la gauche sur de 1.3 km. A la sortie, emprunter le goudron à gauche sur 1 km et au carrefour suivant continuer à droite puis au carrefour suivant encore à droite également direction Montoy dans le hameau de Montoy tourner à droite sur le petit goudron qui descend et le poursuivre sur 400m avant de prendre un chemin qui part légèrement sur la droite en contrebas.
Poursuivre le chemin et admirer la vue sur la plaine de l’Arroux traverser les petites barrières en bois et en bas du chemin au Champ Bonnard emprunter le goudron sur la droite 400m, au carrefour prendre à gauche et retourner en direction du bourg de Laizy, à l’ancienne gare poursuivre sur le goudron en traversant le chemin de fer.
Derrière l’église prendre la route de gauche et quelques dizaines de mètre avant le pont de l’Arroux emprunter le sentier à droite le long de la rivière qui mène jusqu’au parking de départ
Petite astuce : suivez le balisage jaune
A savoir : La vallée de l’Arroux
Au niveau d’Etang-sur-Arroux, la vallée se resserre, formant un seuil. Les hauts versants se reculent un peu. Le fond tendu de la Plaine d’Autun laisse place à un dédale de collines, parcouru de petites vallées où la vallée de l’Arroux conserve sa prépondérance.
De part et d’autre de l’Arroux, une succession de reliefs doux sur lesquels le regard rebondit ou se faufile, révèle une profondeur jusqu’aux versants affirmés du Morvan ou de la Montagne Autunoise qui se dressent en arrière-plan. Ici, ce qui retient l’attention c’est la coexistence de collines en prairies, soulignées par un bocage graphique, de coteaux boisés qui recentrent le regard sur le fond de vallée, ou encore les basculements successifs d’un belvédère à un fond plus intime.
Le site de Laizy occupe l’emplacement d’une villa gallo-romaine possédée dès le 6e siècle par l’évêque d’Autun et donnée à la cathédrale au début du 7e siècle. Selon la légende, l’église aurait été construite sur le lieu où saint Julien de Brioude, accompagné par saint Léger, jetait son marteau. Une première église existait au 10e siècle. L’église dépendait du chapitre de la cathédrale d’Autun, dont elle est contemporaine, depuis les années 1120. C’est possible que l’église fût également construite sous l’impulsion de l’évêque Etienne de Bagé. Au 15e ou 16e siècle, une chapelle seigneuriale fut ajoutée. Un incendie vers 1640 entraîna la chute des voûtes de la nef. L’église a été remaniée au 17e siècle et d’énormes contreforts ont été ajoutés en 1687 pour stabiliser l’édifice. Les chapiteaux ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1950 et l’église restaurée à la fin du 20e siècle.
L’église date du deuxième quart du 12e siècle, on estime que le chœur fut commencé dans les années 1120 et que la nef fut complétée vers 1140. Le plan présente une nef de trois travées avec bas-côtés, un transept légèrement saillant et une abside semi-circulaire précédée d’une travée de chœur. Une chapelle gothique se greffe au sud du chœur et une sacristie se trouve au nord. L’extérieur a été entièrement remanié et n’est guère d’apparence romane. Le clocher, sur la croisée du transept, est ouvert par des baies simples. Les grands contreforts contrebutant la façade, la nef et le transept sont du 17e siècle. La façade et le portail sont d’apparence moderne. Seule l’abside est typiquement romane pour son appareil et ses baies. On y remarque quelques modillons aux volutes simples.
L’intérieur est encore roman. La nef compte trois travées avec des collatéraux. Les voûtes romanes n’existent plus, elles ont été remplacées par des plafonds plats. On peut supposer que la nef était voûtée en berceau brisé sur doubleaux à l’origine et que des arêtes couvraient les bas-côtés. Les piliers carrés, flanqués de pilastres avec impostes et chapiteaux, sont encore debout. Ils supportent les grandes arcades en plein cintre marquant le seul étage en élévation. Les bas-côtés, également plafonnés, ont des murs avec des baies et des pilastres avec chapiteaux sans décor. Le transept s’élève sur quatre piliers cruciformes cantonnés de pilastres dont ceux à l’est sont de profil cannelé. Des arcs brisés à double rouleau supportent la coupole sur trompes qui a été refaite. Les croisillons, voûtés en berceau brisé, s’ouvrent vers les bas-côtés par des arcs brisés avec impostes. Le chœur en granit rose est la partie la plus ornée de l’église. La travée droite, également voûtée en berceau brisé, conserve deux arcatures avec pilastres cannelés du côté nord. L’abside en cul-de-four possède deux baies et sept arcatures en plein cintre sur colonnettes de granit avec chapiteaux. L’arc triomphal, de profil brisé, retombe sur deux pilastres cannelés avec chapiteaux. Au sud se trouve la chapelle seigneuriale Saint-Hubert, de style gothique, avec une voûte en ogive et la châsse du saint.
EXPOSITION "Impression Végétale" de Béatrice HADJOPOULOS
Du 22/06/2024 au 23/06/2024, Le 21/06/2024+ de dates disponibles
LAIZY
"Traces"
Après avoir fait de nombreuses recherches sur les impressions végétales, une technique japonaise, le Tataki Zomé m'est apparue comme celle qui était au plus près de ce que je ressentais.
L'idée de faire des empreintes de la flore qui nous entoure, afin de laisser une trace de leur existence.
A partir de là je me suis laissé aller au gré de mes rencontres et de mes envies.
C'est une expérience qui m'a appris patience et délicatesse.