Situation :
10 Km à l’ouest de Mâcon, au sud de la Bourgogne.
Taille du domaine :
Domaine familial à vocation artisanale de 10 hectares sur sols Alcalins à dominance calcaire et argilo-calcaire.
Cépages cultivés :
- Gamay à jus blanc pour les Mâcon Bussières Rouge (4 ha).
- Chardonnay pour les Mâcon Bussières Blanc (5 ha).
- Bourgogne Aligoté (0,70 ha).
Age moyen des vignes : 60 ans avec des parcelles de 80 ans.
Conduite du vignoble :
Taille cordon, type bourgogne pour les rouges.
Taille guyot simple et arcure pour les blancs.
Densité de plantation de 8500 à 10000 pieds à l’hectare.
Travail régulier du sol.
Contrôle strict des rendements.
Récolte:
la vendange est manuelle, la date se définie dans l’optique d’une maturité optimale et en fonction de l’état sanitaire du raisin.
Les vins blancs :
- Mâcon Bussières blanc « Le pavillon », très minéral, issu d’un terroir très calcaire, élevé en cuve inox 12 à 18 mois.
- Mâcon Bussières blanc Cuvée Claude Seigneuret, vinification et élevage en fûts de chênes 12 à 18 mois, vieilles vignes (80 ans).
- Bourgogne Aligoté « Clos des Bruyères », (plantation 1998) élevage en cuve (18 mois).
Contrôle des températures en fermentation en cuves ( 18° à 22°), élevage sur lies.
En fûts : vinification et élevage, bâtonnage (fonction des millésimes), cuvée 100% boisée avec des fûts d’âge différent ( 90% de 2 à 8 ans – 10% de fûts neufs).
Les vins rouges :
- Mâcon Bussières rouge Tradition, (cuvée constituée par l’ensemble des parcelles du Domaine ) élevage en cuve.
- Mâcon Bussières rouge, Cuvée « Les Devants », élevage en fûts de chênes (3ème à 7ème vin), vieilles vignes (80 ans).
Ramassage en cagette, tri sélectif et rigoureux avec égrappage complet ou partiel, vinification sans So2, bourguignonne avec pigeages et remontages.
Contrôle des températures.
Durée de macération : de 12 à 15 jours, en fonction du millésime.
Elevage en cuves inox ou en fûts de chênes. La durée est fonction du millésime ( de 10 à 12 mois minimum).
Mise en bouteilles sans collage ni filtration.
Le principe de travail est de ne pas influencer la vinification par ajout d’un quelconque artifice, dans le respect du terroir : pas de levurage, ensymage et autres pouvant modifier un processus fermentaire naturel.
La mise en bouteilles s’effectue au domaine, après collage et légère filtration si besoin est (pour les blancs).
Ajustement de SO2 libre de 15 à 25 mg/l, seulement à la mise.
Par volonté de laisser les vins évoluer de façon naturelle et sans artifices, aucun d’eux ne subit d’autres traitements que ceux évoqués précédemment, de légers dépôts ou cristaux de tartre peuvent parfois apparaître dans les bouteilles.
Tous ces vins sont analysés périodiquement en laboratoire, le fait de « laisser vivre » nos cuvées n’implique bien entendu pas un manque de surveillance régulière.
Le travail des sols et des traitements raisonnés permettent de conserver un bon potentiel fermentaire naturel, inhérent au terroir.
Les cuvées sont sélectionnées par parcelles en fonction des vignes (origine, texture, exposition , âge …).
Depuis 1989, Muriel et Jean-Philippe ont repris l'exploitation familiale de 14 hectares (ancien domaine René Dussauge) issue de cinq générations de vignerons. Le Domaine Jean-Philippe Baptista est situé à Bussières, joli village du val Lamartinien en Bourgogne du sud, à une dizaine de kilomètres de Mâcon (71). La richesse de notre terroir, basé sur les coteaux ensoleillés du Mâconnais, nous permet de produire un large éventail de vin.
Village intimement lié au souvenir d’Alphonse de Lamartine, poète et homme politique éminent, possède une église romane construite fin XIIème début XIIIème siècle, classée Monument Historique. Tout près se trouve la tombe de l’abbé Dumont, inspirateur du poème “Jocelyn”.
Eglise Romane XIIe siècle constituée d’une nef unique rectangulaire, d’une travée sous un clocher carré, et d’une abside.
Son architecture laisse percevoir différentes phases de construction.
Le précepteur et ami d'Alphonse de Lamartine, l’abbé Dumont, est enterré au pied de l’église.
Tombe de l'Abbé François DUMONT dont s’est inspiré Alphonse de Lamartine, pour son célèbre poème JOCELYN publié en février 1836. Il reste, au chevet de l'église, cette pierre tombale qui fut dressée à la demande de Lamartine pour la mémoire de son ami.
Lavoir route RD 45
Depuis Milly, Lamartine, enfant, dévalait les pentes du Monsard pour rejoindre Bussières et les leçons de l’abbé Dumont. Ce dernier repose derrière l’église classée du village. Du Monsard (407 mètres) et de la montagne de Cras (505 mètres), l’horizon ondule sur le paysage si familier au poète.
Centre Permanent d'Initiative pour l'Environnement (CPIE Pays de Bourgogne)
Autre hébergement collectif
Dès
29
€
COLLONGE-LA-MADELEINE
100
pers. (maxi : 100)
Le CPIE Pays de Bourgogne, situé au cœur du bocage bourguignon, offre aux amateurs de pleine nature un cadre exceptionnel ainsi que de nombreuses activités : randonnée, découverte, pêche, VTT, tourisme…
Accueil de groupes (jusqu'à 100 couchages) avec ou sans repas. Restauration soignée, spécialités régionales. Formations, réunions, séminaires, séjours classes environnement, accueil de loisirs. Location de salles. Parc. Animation possibles.
L' église de Collonge, dont le chœur remonte au XIIe siècle, est sous le vocable de St. Barthélémy. Aucune église dédiée à St. Barthélémy ou à Ste. Madeleine n'est citée dans l'archiprêtré de Couches (sauf le prieuré Ste. Madeleine de Montartaux) au plus ancien pouillé complet du diocèse d'Autun, datant du XIVe siècle (de Charmasse, Cartulaire de l'Evêché d'Autun) ce qui laisse supposer que l'église, existant au XIIe siècle, était chapelle castrale. La topographie des lieux ne contredit pas cette hypothèse et il est fort possible qu'il y ait eu deux châteaux sur les terres de Collonge, celui d'Alibour, et un autre, au bourg. Les titres ne permettent pas de faire une distinction. Pour ce qui est du site d'Alibour, la motte est à 750 mètres au sud de l'église, dans un bas-fond, au confluent de deux ruisseaux dont le cours réuni se dirige à l'ouest vers le ruisseau de Digoine, affluent de la Drée.
Maison de maître d'une ancienne exploitation agricole, rénovée en 2013 avec une cour fermée et à proximité d'un étang avec possibilité de pêche en no kill. Gîte situé entre vignes (20 km de Beaune) et monts du Morvan.
A l’instar du Blandenan qui coule au milieu du bocage où broutent quelques belles charolaises, la balade s’en va serpenter dans l’herbe appétissante des pâturages. Le parcours croise plusieurs étangs qu’alimente la petite rivière. Le bucolique étang de Beauchamp est aussi le rendez-vous de carpistes passionnés dont les prises sont toujours prétextes à de jovials échanges. Poursuivant sa route à travers l’éclatante verdure du paysage, la balade rencontre au creux d’un vallon ou à l’orée d’une forêt des fermes isolées ou encore un château et offre quelques superbes panoramas sur une marqueterie de prés et de bois. Au retour à Neuvy-Grandchamp, le musée du machinisme agricole et ses 500 machines anciennes en état de marche clôture la balade par une amusante remontée dans le temps, jusqu’à la Belle Epoque.