Laëtitia vous invite à découvrir sa charmante boutique Sous les Ors consacrée à la vente de bois doré anciens et contemporains. Cadres, miroirs, sculptures, peintures, luminaires, meubles et objets divers sont à retrouver dans la boutique. A seulement quelques mètres, découvrez le savoir-faire et l'atelier de Bertrand Lotteau, spécialiste de la dorure sur bois traditionnelle, de la restauration et de la conservation des bois dorés.
- Au départ, on peut admirer les maisons bourguignonnes avec leur pigeonnier. Sur une petite place se trouve un ancien puits public (1877).
- Quitter le village en direction du lavoir (1893), après “Les Chaumes”, quitter la route pour continuer à travers champs.
- Suivre à gauche par le chemin sinueux appelé “Le Poirier Budin”, après avoir traversé la D236, rejoindre par un sentier Saint-Maurice-des-Champs.
- Continuer sur le sentier où, de chaque côté, se succèdent prés et bois. Avant de redescendre vers Vaux-en-Pré, prendre le temps d’admirer le village.
- Arrivée au carrefour de la rue de la Grand’vigne et du chemin de la Belouse, soit prendre ce chemin jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre le point de départ; soit arrivé près de la croix routière (XVIIIe-XIXe), traverser le village par la rue principale (route de Genouilly). Une halte est recommandée pour visiter l’église romane avant de rejoindre la bascule.
- Au carrefour dit “du Poirier Budin”, continuer tout droit dans ce chemin cerné de bois et de champs jusqu’à une route qui conduit au lieu-dit “La Platrière” pour emprunter la voie romaine vers Saint-Clément-sur-Guye. Remonter le chemin des Roches. Il convient de s’arrêter pour admirer le village. En face se détache l’étendue des vignes. De ce côté du village, elles ont fait place aux prés et bois.
- A mi-chemin, redescendre sur Pras, charmant hameau. Une fois sur la D236, 2 options :
- Option 1 : Prendre sur la gauche au lieu-dit “Les Malatières” et remonter par une petite route bordée de champs; puis prendre à droite, suivre le sentier où les vignes s’étalent de chaque côté, d’où l’on peut admirer le bocage diversifié et le village groupé autour de son église. Quitter les vignes pour retrouver les prés jusqu’au village. Continuer par le chemin de la Belouse jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre la bascule.
- Option 2 : Arrivé près de la croix routière, traverser le village où la visite de l’église romane du XIIe siècle s’impose avant de rejoindre le point de départ.
Joli lavoir situé au sud du village de Vaux-en-Pré, en Sud Côte Chalonnaise.
La petite église rurale de Vaux-en-Pré, bien campée sur la terrasse qui fut l’ancien cimetière, et à laquelle on accède par un haut escalier, est bien orientée. L'église est entièrement romane. A voir : le haut clocher ; la façade à bandes lombardes ; à l'intérieur, la nef charpentée et les fresques (XIIIe – XVIe s.).
L’église Saint Roch de Vaux-en-Pré, sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption, de l’ancien diocèse de Mâcon et de l’archiprêtré du Rousset, était déjà unie à Genouilly en 1513. Après l’Ancien Régime, la paroisse devint annexe de Saint Clément-sur-Guye et la commune assura avec peine l’entretien de la vieille église. La partie la plus ancienne est la petite nef datée du milieu du XIème siècle et aujourd'hui pfafonnée. Inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1954
L'église Saint-Pierre a été édifiée au XIIIe-XIVe siècle, de style roman, l'édifice comporte trois parties distinctes. A l'est le chœur, accosté de deux chapelles du XVIIe siècle, puis une nef unique, plafonnée.
Amateurs de Reggae Music, Verjux Saône System revient en 2024 et reposera sur une programmation digne des plus grands évènements musicaux. Reggae, ZicFestive, ska...au programme la venue de Derajah & I Rebel Band, Nadia McAnuff & The Ligerians, Faygo, Brothers Vibes et Natural Hifi.
Verjux, village typiquement rural, établi au bord de la Saône, dispose d’un patrimoine remarquable et d’un cœur de village complétement rénové. Son église, dédiée à Saint Pierre, date du XIIe siècle. On y remarquera une crypte ainsi qu’un cadran solaire du XVIIe siècle. La mairie et les écoles sont de belle facture et ont été financées par Mme Marguerite Boucicaut, née à Verjux en 1816, et qui fut avec son mari, les fondateurs du grand magasin « Au Bon Marché » à Paris.