Garçon, la Note ! : « 1 soir, 1 concert, 1 terrasse », les mercredis et vendredis soirs de juillet et août dans les bars et restaurants de la Bresse bourguignonne. The Grasslers (bluegrass) aux 4 Chemins. Tout droit sortis d’un voyage spatio-temporel depuis le Var West de 1885, The Grasslers revisite avec audace les plus grands tubes ROCK de ces 40 dernières années à la sauce Folk Américaine Bluegrass.
Exposition photographique Improbable Certitude
Du 25/05/2024 au 21/07/2024+ de dates disponibles
VARENNES-SOUS-DUN
La Filature, projet industriel qui naît en 1840 ; la même année Hyppolite Bayard se photographie : « autoportrait en noyé » titre t-il… une improbable certitude.
14 artistes présentent à La Filature une exposition photographique : le faire comme un état des lieux qui convoque des photographes d’aujourd’hui dans un inventaire éclectique à la Prévert, des « clins d’œil » à l’histoire de la photographie, à l’architecture, aux lieux, à l’intime, à la photographie elle même… Tentative d’habiter le lieu mais aussi d’y inscrire une histoire voire des histoires.
Improbable, ce que la photographie nous « donne à voir » mais certitude qu’à bien y regarder, à s’y laisser immerger, les différents points de vue nous content de multiples histoires qui sont bien photographiques.
Concert - Jean Paul Merlin " DIC, CUR HIC ?"
Partenariat Esox Lucius / La Filature
Vendredi 21 juin 2024 – 20h30
La Filature
71800 Varennes sous Dun
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes-sous-Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un petit orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? » (« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? ») Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Gottfried Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à coté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus en plus à alterner entre recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Participation libre
La jeune violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert est née en 1994 à Jérusalem. Elle commence le violoncelle à l’âge de 7 ans au Conservatoire de musique de Jérusalem, où elle étudie avec Cornelius Faur. Pendant ses jeunes années israéliennes, Elia reçoit une bourse d’honneur de l’America-Israel Cultural Foundation et elle se produit déjà comme soliste avec des orchestres réputés, dont l’Orchestre symphonique de Jérusalem, l’Orchestre philharmonique d’Israël, l’Orchestre de la radiotélévision croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie et le North Czech Philharmonic Orchestra. À l’âge de 14 ans, Elia part pour Berlin afin d’étudier à l’Institut Julius Stern, un établissement pour jeunes musiciens talentueux qui dépend de l’UDK Berlin. Elle entame ensuite des études de licence dans la classe de Jens Peter Maintz. Depuis octobre 2016, Elia poursuit sa formation au sein de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth à Bruxelles, dans la classe de Gary Hoffman et Jeroen Reuling. Elia participe à plusieurs festivals de musique de chambre tels que le Verbier Festival. Elle se produit régulièrement en Europe (Portugal, Italie, Belgique, Allemagne, Croatie et République tchèque), ainsi qu’en Russie, en Israël et aux États-Unis. Elia reçoit de nombreux prix dans le cadre de concours nationaux et internationaux, parmi lesquels le second prix du concours Antonio Janigro à Zagreb, et un prix spécial pour la meilleure interprétation d’une œuvre commandée à A. T. Šaban.
Elia joue actuellement sur un violoncelle de Jean-Baptiste Vuillaume que lui prête la Chapelle Musicale Reine Elisabeth.
Depuis septembre 2016, Elia est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, sous la direction de Gary Hoffman.
« Dic, Cur Hic ? » Est une proposition de diffusion de musique électroacoustique spatialisée en 2 parties : la première est une suite électronique live qui fera référence entre autres à l'histoire industrielle du lieu (ateliers de l'ancienne filature de laines Plassard de Varennes sous Dun). La seconde sera une sélection d’œuvres électroacoustiques du compositeur. Les deux parties invitent l'auditeur à une immersion sonore dans le périmètre d'un orchestre de haut-parleurs.
« Dic, Cur Hic ? »
« Dis-moi, pourquoi es-tu ici? » Est une traduction possible de cet énigmatique énoncé latin attribué philosophe des lumières allemand Leibnitz. C'est une invitation à se déporter de son habituel soi-même (se regarder pédaler à côté du vélo en quelque sorte) pour se questionner aujourd'hui sur le sens de l'existence de l'homme qui tend de plus à alterner entre la recherche de l'efficacité/performance/possession à tout prix et les injonctions d'un marketing omniprésent. Où trouver une espace de réflexion/méditation pour retrouver l'énergie de la pensée critique ? Les deux parties du concert ont été nourries par cette interrogation.
Aller à la rencontre du territoire... et le raconter... en BD.
Venez participer à ce projet culturel et artistique mettant en valeur notre territoire : la création d’une BD à
destination du tout public (jeunesse et adulte), en couleurs, à partir de rencontres et collectage de données
sur le territoire auprès de groupes d’habitants. Le Brionnais et nos villages seront le “décor” de la BD.
L’équipe d’auteurs pour la création de la BD se compose d’un scénariste, Hervé Loiselet, (Glénat, La Boîte à billes, Steinkis) et d’un illustrateur, Alexandre Nesme, (Glénat, Humanoïdes…)
Quelle est la place des habitants dans ce projet ?
Pour approcher l’identité de chaque village les auteurs ont besoin de vous ! Ces temps d’échange permettront de définir collectivement le lieu, le bâtiment, la tradition, le personnage, l’histoire ou la légende qui caractérise, identifie le territoire.
Les artistes travailleront sur le scénario, l’écriture et le dessin et partageront avec vous leur travail de création (par exemple vous découvrirez comment on prépare un scénario, comment on image les traits dessinés d’un personnage…)
Ce projet s’adresse à l’ensemble des habitants des communes du territoire qui seront groupés en 7 pôles (voir carte).
Le projet s’étalera de fin juin 2024 à décembre 2025, depuis la création jusqu'à la parution de l'ouvrage.
Notez déjà la date de la première rencontre.
Vous avez des questions, vous souhaitez rejoindre l'aventure ? Merci d'envoyer vos coordonnées à [email protected]
AraPop (contraction de musique arabe et pop music) est un ensemble neuf, formé autour du oud d’Atef Younsi, de la guitare 12 cordes et du chant de Philippe Gonin et des percussions d’Abdessalem Marzougui. Les trois musiciens proposent une musique de fusion, de métissage entre musique traditionnelle arabe (et même plus spécialement tunisienne) et pop anglaise.
ARAPOP
Philippe Gonin guitare acoustique, voix
Atef Younsi oud
Abdessalem Marzougui percussions
Les installations, les volumes et les œuvres complices de huit artistes contemporains construisent un hommage de formes et de matières aux grands espaces abritant toutes les mémoires d’un lieu tourné vers son futur.
« RRR :ère, erre, air » Si, en entendant R, vous comprenez air du temps, alors écoutez l’ère qui change. Celle des mots qui vont jaillir sur les lieux habités par d’autres gestes et d’autres récits qui courent le long des murs, sous la lumière oblique des grandes verrières, le long des fils tendus d’un récit à écrire. Songerez-vous que ce grand navire de filature n’en a pas fini de glisser sur son erre, si vous suivez les erres comme traces effacées de ce qui l’a parcouru et le peuple encore, dans l’aire d’un espace immense traversé par les souffles d’air agités aujourd’hui par la main des artistes et les mots des poètes ?"
Commissaire d’exposition : Christian Sozzi, galerie B+ mobil Lyon.
Les artistes : Jean-Philippe Aubanel - Matt Coco- Simon Feydieu- Yann Levy - Virginie Piotrowski - Paul Raguenes- Benjamin Sozzi- David Wolle