Au départ de Châteauneuf, point N°1 « place des marronniers ». Passez le pont dit romain qui surplombe la rivière le Sornin.
Traversez le bourg de Saint Maurice les Châteauneuf, vue sur la chapelle romane de Saint-Maurice-les-Châteauneuf et son pittoresque cimetière. Pendant la saison estivale, vous pousserez la porte de celle-ci pour admirer les expositions organisées. Quittez la D8, point N°2 pour emprunter le chemin communal, sur votre gauche vous apercevrez un ancien lavoir transformé en garage. Vous découvrirez pendant votre parcours les murets de pierres sèches, le bocage et les riches demeures Brionnaises témoins de l’activité agricole développée dans l’élevage de la race Charolaise. Votre promenade vous mènera au point N°3 « Ragot », N°4 à « La Chenauderie » puis aux « Verchères » et enfin aux « Noirards » point N°5.
Aux « Verchères » traversez le petit ruisseau des Barres et longer ensuite le Sornin jusqu’aux « Noirards », point N°5.
Traversez la D987 en direction des Modeux et grimpez sur l’autre versant de la vallée jusqu’au « Bey » point N°6 en direction de Chassigny-sous-Dun, point N°7. Là vous observerez des points de vue magnifiques sur les monts du Roannais à votre droite et sur la montagne de Dun à gauche. Après avoir traversé le village de Chassigny-sous-Dun descendre dans la vallée du Mussy. Traverser la D308 puis la rivière du Mussy et montez à droite en direction de « Montcarron », point N°8 et « la Cornerie », point N°9. Au fil des saisons vous apprécierez la diversité des points de vues et la richesse de notre flore.
Après avoir traversé la D8, vous irez jusqu’au point N°10, en direction du village de Tancon, là sur la route, à gauche, vues sur les villages de Saint-Igny-de-Roche et Coublanc et sur votre droite au loin Saint-Julien-de-Jonzy.
Un peu avant Tancon obliquez à droite et descendez par les bois, jusqu’à la terrasse de l’église romane de Châteauneuf. Poussez la porte de cette dernière et laissez-vous charmer par l’architecture et la sérénité des lieux. En sortant, face à vous, le château de la Magdeleine, propriété privée.
En redescendant par le « chemin du Torail » point N°11 ne partez pas sans avoir visité Châteauneuf.
Plus connue sous le nom de La Sale affaire, la Brasserie du Brionnais a déménagé de ses locaux d'Anzy-le-Duc pour s'installer à Châteauneuf en 2019.
Venez découvrir un large choix de bières !
Permanences pour vente à emporter les jeudis et vendredis de 17h à 19h.
De fin avril à fin septembre : ouverture terrasse (bières et planches apéro) les jeudis et vendredis de 17h à 22h et les samedis et dimanches de 9h à 12h.
Aire de service pour camping-car.
Edifiée au XIIème siècle, cette église a té fortement remaniée au XVème siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans. Cet édifice lumineux a conservé une haute nef, voûtée en cintre brisé. Son clocher, très décoré, a été considéré par Viollet-le-Duc, comme un modèle de clocher bourguignon.
Traversant le Sornin, permettant le passage de Châteauneuf à Saint-Maurice-les-Châteauneuf, ce pont fut construit vraisemblablement au XVIIème siècle. Des réparations furent exécutées à plusieurs reprises. En effet, des archives racontent que de fortes crues de la rivière en 1709 puis en 1744 emportèrent une partie du pont. Ce pont n'a rien de "romain" bien qu'il existait sûrement déjà avant 1700 !
Inspirée par l’univers de la photographie et des arts graphiques, mon travail de bijoutière consiste en une recherche perpétuelle d’un regard neuf et contemporain sur le monde de la bijouterie.
Au travers de mes créations, je cherche à capter la face enfantine et ludique du monde pour ainsi donner vie à des bijoux insolites, décalés et acidulés (bague ‘pile ou face’, collier fourchette, bague on/off, bijoux phosphorescents…).
J’aime m’exercer au jeu des matières et des couleurs (argent, résine, pierres, bois…), et proposer ainsi des collections qui s’adaptent aux humeurs, aux tenues vestimentaires, aux états d’esprit.
Cette vision artistique et contemporaine du bijou est accompagnée d’une exigence de qualité, d’esthétisme et de singularité, c’est pourquoi je ne crée que des pièces uniques ou de petites séries, avec divers matériaux et un souci de finition et de solidité.
Mon CAP et mon Brevet des Métiers d’Art obtenu à la SEPR de Lyon (prix d’excellence en 2005, prix d’honneur en 2005, 2ème prix du concours de la Création en 2004), mon BMA et ma Mention complémentaire de joaillerie ainsi que ma formation artistique m’ont permis d’apprendre la communion entre le perfectionnisme de la technique et la recherche esthétique et artistique.
Chambres d'hôtes dans une ferme pouvant accueillir jusqu'à 11 personnes.
Gîte à la campagne spacieux pour séjourner en Morvan, près d'Autun, en Bourgogne.
Authentique, calme, nature et verdure.
Une église du XIIème siècle, remarquable par ses contreforts ; un moulin appartenant autrefois au fief de Chazeu, famille de Bussy Rabutin, parent de Mme de Sévigné et de Sainte Jeanne de Chantal. Aujourd’hui, siège d’une association culturelle dynamique.
Vous vous élèverez sur les contreforts du Morvan sud avec de beaux points de vue.
Dommage que la large vallée de l’Arroux contraigne à utiliser des routes goudronnées même si elles sont peu fréquentées.
Le circuit se fait dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Départ : Parking salle des fêtes
Traverser le pont de la Gourgeoise et continuer sur le goudron, au carrefour face à la Mairie prendre à gauche et emprunter l’Avenue de la Gare sur 900m, après avoir traversé le chemin de fer et avoir laissé sur la droite l’église St Pierre de Brion au carrefour prendre à droite sur 800m et emprunter le sentier qui monte sur la gauche sur de 1.3 km. A la sortie, emprunter le goudron à gauche sur 1 km et au carrefour suivant continuer à droite puis au carrefour suivant encore à droite également direction Montoy dans le hameau de Montoy tourner à droite sur le petit goudron qui descend et le poursuivre sur 400m avant de prendre un chemin qui part légèrement sur la droite en contrebas.
Poursuivre le chemin et admirer la vue sur la plaine de l’Arroux traverser les petites barrières en bois et en bas du chemin au Champ Bonnard emprunter le goudron sur la droite 400m, au carrefour prendre à gauche et retourner en direction du bourg de Laizy, à l’ancienne gare poursuivre sur le goudron en traversant le chemin de fer.
Derrière l’église prendre la route de gauche et quelques dizaines de mètre avant le pont de l’Arroux emprunter le sentier à droite le long de la rivière qui mène jusqu’au parking de départ
Petite astuce : suivez le balisage jaune
A savoir : La vallée de l’Arroux
Au niveau d’Etang-sur-Arroux, la vallée se resserre, formant un seuil. Les hauts versants se reculent un peu. Le fond tendu de la Plaine d’Autun laisse place à un dédale de collines, parcouru de petites vallées où la vallée de l’Arroux conserve sa prépondérance.
De part et d’autre de l’Arroux, une succession de reliefs doux sur lesquels le regard rebondit ou se faufile, révèle une profondeur jusqu’aux versants affirmés du Morvan ou de la Montagne Autunoise qui se dressent en arrière-plan. Ici, ce qui retient l’attention c’est la coexistence de collines en prairies, soulignées par un bocage graphique, de coteaux boisés qui recentrent le regard sur le fond de vallée, ou encore les basculements successifs d’un belvédère à un fond plus intime.
Le site de Laizy occupe l’emplacement d’une villa gallo-romaine possédée dès le 6e siècle par l’évêque d’Autun et donnée à la cathédrale au début du 7e siècle. Selon la légende, l’église aurait été construite sur le lieu où saint Julien de Brioude, accompagné par saint Léger, jetait son marteau. Une première église existait au 10e siècle. L’église dépendait du chapitre de la cathédrale d’Autun, dont elle est contemporaine, depuis les années 1120. C’est possible que l’église fût également construite sous l’impulsion de l’évêque Etienne de Bagé. Au 15e ou 16e siècle, une chapelle seigneuriale fut ajoutée. Un incendie vers 1640 entraîna la chute des voûtes de la nef. L’église a été remaniée au 17e siècle et d’énormes contreforts ont été ajoutés en 1687 pour stabiliser l’édifice. Les chapiteaux ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1950 et l’église restaurée à la fin du 20e siècle.
L’église date du deuxième quart du 12e siècle, on estime que le chœur fut commencé dans les années 1120 et que la nef fut complétée vers 1140. Le plan présente une nef de trois travées avec bas-côtés, un transept légèrement saillant et une abside semi-circulaire précédée d’une travée de chœur. Une chapelle gothique se greffe au sud du chœur et une sacristie se trouve au nord. L’extérieur a été entièrement remanié et n’est guère d’apparence romane. Le clocher, sur la croisée du transept, est ouvert par des baies simples. Les grands contreforts contrebutant la façade, la nef et le transept sont du 17e siècle. La façade et le portail sont d’apparence moderne. Seule l’abside est typiquement romane pour son appareil et ses baies. On y remarque quelques modillons aux volutes simples.
L’intérieur est encore roman. La nef compte trois travées avec des collatéraux. Les voûtes romanes n’existent plus, elles ont été remplacées par des plafonds plats. On peut supposer que la nef était voûtée en berceau brisé sur doubleaux à l’origine et que des arêtes couvraient les bas-côtés. Les piliers carrés, flanqués de pilastres avec impostes et chapiteaux, sont encore debout. Ils supportent les grandes arcades en plein cintre marquant le seul étage en élévation. Les bas-côtés, également plafonnés, ont des murs avec des baies et des pilastres avec chapiteaux sans décor. Le transept s’élève sur quatre piliers cruciformes cantonnés de pilastres dont ceux à l’est sont de profil cannelé. Des arcs brisés à double rouleau supportent la coupole sur trompes qui a été refaite. Les croisillons, voûtés en berceau brisé, s’ouvrent vers les bas-côtés par des arcs brisés avec impostes. Le chœur en granit rose est la partie la plus ornée de l’église. La travée droite, également voûtée en berceau brisé, conserve deux arcatures avec pilastres cannelés du côté nord. L’abside en cul-de-four possède deux baies et sept arcatures en plein cintre sur colonnettes de granit avec chapiteaux. L’arc triomphal, de profil brisé, retombe sur deux pilastres cannelés avec chapiteaux. Au sud se trouve la chapelle seigneuriale Saint-Hubert, de style gothique, avec une voûte en ogive et la châsse du saint.
Choeur "Double Croche" d'Evian, chants du monde
Récital
Le 19/05/2024+ de dates disponibles
Dès
10
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LAIZY
Le chœur « Double Croche » est né sur les rives du lac Léman à Evian en 2006. Créé et dirigé par Joëlle Morris, mezzo-soprano franco-américaine, ce groupe de dix-huit choristes aime se produire en concert en Haute-Savoie, seul ou avec des formations musicales mais aussi en France lors de week-ends comme celui qui les conduit à Laizy.
Rosène Tripodi en était devenue la cheffe de chœur en 2012 et c'est désormais Sandrine Trincat qui poursuit l'aventure à la baguette.
Avec bonne humeur et rigueur, elle emmène les chanteurs aux quatre coins du monde à travers des chants proposés dans leur langue originale.
Régalez-vous en découvrant les sonorités de l'indonésien, du japonais, de l'anglais ou encore du finlandais...