Domaine familial créé en 1850, dont la surface de 10 hectares est répartie entre 25% de Chardonnay, 50% de Pinot Noir et 25% de Gamay.
Sur le parking de la mairie, terrain plat.
Dans le Clunisois, à 10 minutes de Cluny, Taizé et Cormatin, vous serez accueillis dans une maison de maître du 19ème siècle.
Appartement d'une chambre lit double, salle de bain et cuisine.
Sur les hauteurs de Bray, bénéficiant d'une vue panoramique superbe sur la vallée du Clunysois, cette ancienne ferme vous propose 5 chambres d'hôtes dont 2 suites familiales (chacune composée de 2 chambres avec 1 lit double et 2 lits jumeaux). 2 chambres sur 5 sont au RDC (1 est même accessible aux personnes à mobilité réduite). Toutes les chambres ont un accès indépendant de l'habitation des propriétaires, et possèdent leurs sanitaires privatifs. Accès internet. Parking dans la propriété. Maison d'hôte labellisée "Ecogite" (qualification environnementale du label Gîtes de France). A disposition 2 prises de recharge pour véhicules électriques.
Partons marcher avec les ânes, accompagné d'un animateur nature. Changeons de rythme en adoptant le pas de l'âne. Nous vous proposons des balades avec des ânes éduqués pour la randonnée, aux alentours d’un bucolique village roman du Clunisois. Nous sommes aussi apiculteurs et nous proposons à la vente notre miel artisanal du pays. Nous développons par ailleurs l’accueil de différents publics fragilisés en utilisant l’âne et la nature en général comme support pédagogique.
Le site de Bray témoigne des statuts différents des moines de Cluny, dans la société médiévale. Celui de seigneurs ecclésiastiques, déjà… En effet, lorsqu’il rachète le château de Boutavent en 1237, l’abbé de Cluny dispose du droit de justice et de dime sur les terres de Bray, qui en dépendent. De plus, Cluny y bâtit la chapelle Saint-Jean-du-Bois, qui devient, pendant un temps, un ermitage. Bien que la règle clunisienne prescrive aux religieux la vie en communauté, certains se retirent parfois et s’isolent de Cluny.
Mais les moines sont pleinement ancrés dans la société. Ils administrent des terres agricoles et viticoles : le domaine de la Malaise, que crée Cluny, nous rappelle aujourd’hui cette activité essentielle. Ils desservent aussi le culte, au centre du bourg, dans l’église Saint-Quentin, datant des 11e-12e siècles. Le plan de l’église est original pour la région mais, une fois entrés, prenez attention aux sculptures des chapiteaux qui pourraient remonter au 11e siècle.
Cette église romane date du XIe siècle et fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques en 1932.
Laëtitia vous invite à découvrir sa charmante boutique Sous les Ors consacrée à la vente de bois doré anciens et contemporains. Cadres, miroirs, sculptures, peintures, luminaires, meubles et objets divers sont à retrouver dans la boutique. A seulement quelques mètres, découvrez le savoir-faire et l'atelier de Bertrand Lotteau, spécialiste de la dorure sur bois traditionnelle, de la restauration et de la conservation des bois dorés.
- Au départ, on peut admirer les maisons bourguignonnes avec leur pigeonnier. Sur une petite place se trouve un ancien puits public (1877).
- Quitter le village en direction du lavoir (1893), après “Les Chaumes”, quitter la route pour continuer à travers champs.
- Suivre à gauche par le chemin sinueux appelé “Le Poirier Budin”, après avoir traversé la D236, rejoindre par un sentier Saint-Maurice-des-Champs.
- Continuer sur le sentier où, de chaque côté, se succèdent prés et bois. Avant de redescendre vers Vaux-en-Pré, prendre le temps d’admirer le village.
- Arrivée au carrefour de la rue de la Grand’vigne et du chemin de la Belouse, soit prendre ce chemin jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre le point de départ; soit arrivé près de la croix routière (XVIIIe-XIXe), traverser le village par la rue principale (route de Genouilly). Une halte est recommandée pour visiter l’église romane avant de rejoindre la bascule.
- Au carrefour dit “du Poirier Budin”, continuer tout droit dans ce chemin cerné de bois et de champs jusqu’à une route qui conduit au lieu-dit “La Platrière” pour emprunter la voie romaine vers Saint-Clément-sur-Guye. Remonter le chemin des Roches. Il convient de s’arrêter pour admirer le village. En face se détache l’étendue des vignes. De ce côté du village, elles ont fait place aux prés et bois.
- A mi-chemin, redescendre sur Pras, charmant hameau. Une fois sur la D236, 2 options :
- Option 1 : Prendre sur la gauche au lieu-dit “Les Malatières” et remonter par une petite route bordée de champs; puis prendre à droite, suivre le sentier où les vignes s’étalent de chaque côté, d’où l’on peut admirer le bocage diversifié et le village groupé autour de son église. Quitter les vignes pour retrouver les prés jusqu’au village. Continuer par le chemin de la Belouse jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre la bascule.
- Option 2 : Arrivé près de la croix routière, traverser le village où la visite de l’église romane du XIIe siècle s’impose avant de rejoindre le point de départ.
Joli lavoir situé au sud du village de Vaux-en-Pré, en Sud Côte Chalonnaise.
La petite église rurale de Vaux-en-Pré, bien campée sur la terrasse qui fut l’ancien cimetière, et à laquelle on accède par un haut escalier, est bien orientée. L'église est entièrement romane. A voir : le haut clocher ; la façade à bandes lombardes ; à l'intérieur, la nef charpentée et les fresques (XIIIe – XVIe s.).
L’église Saint Roch de Vaux-en-Pré, sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption, de l’ancien diocèse de Mâcon et de l’archiprêtré du Rousset, était déjà unie à Genouilly en 1513. Après l’Ancien Régime, la paroisse devint annexe de Saint Clément-sur-Guye et la commune assura avec peine l’entretien de la vieille église. La partie la plus ancienne est la petite nef datée du milieu du XIème siècle et aujourd'hui pfafonnée. Inscrite à l’inventaire des monuments historiques en 1954