Le long du circuit Bois des Combes, vous découvrirez des paysages de bocage et de forêt sans renouvelés au fil des saisons. Le versant ouest regarde vers la vallée de Matour et les mont du Haut-Beaujolais, tandis que le sommet du versant est offre des panoramas sur la vallée du Valouzin et les hauteurs du Clunisois. Un autre circuit facile est proposé, d'une distance de 4,5 km : Les hauts de Clermain.

Au départ de l'office de tourisme, partez sur l'ancien chemin de halage aménagé en voie verte le long du Canal du Centre jusqu'à Saint-Léger-les-Paray. Traversez les bocages où paissent les vaches charolaises. Ces prairies sont soigneusement délimitées par des haies et des arbres d'une densité inégalée jusqu'à Chassy. Dans ce village, un château privé est perché sur le flanc d'un vallon où naît le ruisseau de Clessy près de l'ancien lavoir du bourg. Ce château ne se visite pas mais l'aspect actuel date en majeure partie du 15e siècle. Le château est bâti sur une ancienne maison-forte. Au-dessus d'un robuste corps de logis pointent deux tours rondes, une tour carrée et une tour hexagonale. Rejoignez à nouveau le canal jusqu'à Palinges où un second château vous attend. Le château de Digoine est ouvert à la visite. C'est l'un des plus charmants châteaux du 18e siècle du Charolais. Entouré par un grand parc paysager de 35 ha. comprenant un étang, un jardin à la française avec une serre unique datant de 1830, des orangers en caisses bicentenaires, Digoine a également le rare privilège d'abriter un surprenant petit théâtre privé à l'italienne édifié en 1842. Continuez le long du Canal du Centre pour rejoindre la voie verte en arrivant à la halte nautique Eric Tabarly. Traversez le Parc du moulin Liron, créé pour la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, il est aujourd'hui un lieu incontournable de Paray-le-Monial.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Empruntez l'ancien chemin de halage le long du Canal du Centre. Le Canal du centre, ouvert entre 1791 et 1793,est l’œuvre d'Emiland Gauthey. Il relie la Loire à la Saône sur 112 km. Le circuit vous invite ensuite à découvrir la vallée de l'Arroux. L'Arroux est un affluent de la rive droite de la Loire long de 132 km. La vallée offre un paysage verdoyant idéal pour l'élevage de la race charolaise. Cette rivière est marquée par un paysage vallonné. En passant à Rigny-sur-Arroux, c'est l'occasion de découvrir la petite église partiellement romane. Le clocher possède de belles baies géminées dont les chapiteaux sont sculptés de têtes primitives et les colonnettes sont ornées de décor végétalisé. Continuez jusqu'à Gueugnon et découvrez le parc de sculptures monumentales. Gueugnon abrite une des plus importantes unité mondiale de production de tôles inoxydables. Un prestige technologique et industriel que la ville a mis à profit. Entre 1987 et 1991, elle a permis à des sculpteurs reconnus de créer une œuvre monumentale conçue et réalisée sur place. Il en résulte d'imposantes sculptures installées dans le parc du château d'Aux mais aussi dans les rues de la ville. Vous rejoignez Paray-le-Monial par les verdoyants bocages où paissent les vaches charolaises. Ces prairies sont soigneusement délimitées par des haies et des arbres d'une densité inégalée.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Le circuit vous invite à découvrir la vallée de l'Arroux. L'Arroux est un affluent de la rive droite de la Loire long de 132 km. La vallée offre un paysage verdoyant idéal pour l'élevage de la race charolaise. Cette rivière est marquée par un paysage vallonné. En passant à Rigny-sur-Arroux, c'est l'occasion de découvrir la petite église partiellement romane. Le clocher possède de belles baies géminées dont les chapiteaux sont sculptés de têtes primitives et les colonnettes sont ornées de décor végétalisé. Rendez-vous ensuite à Digoin, ville fluviale où 3 canaux se rencontrent : Canal Latéral à la Loire, Canal du Centre et Canal Roanne à Digoin. Profitez en pour faire une halte au musée de la Céramique. Au fil des différentes salles, allez à la découverte de ce grand vaisselier qui rappelle autant de plaisir que de souvenirs à la vue de ces pièces qui ont marqué l'époque de vos aïeux. Poursuivez par le chemin de halage le long du Canal du Centre. De retour à Paray-le-Monial passez par le parc du Moulin Liron. Il tient son nom d'un ancien moulin connu depuis le 15e s., alors alimenté par la Bourbince et l'Étang Liron. Au 18e s., il devient une " hostellerie " renommée. Il fut détruit lors des travaux de construction du Canal du Centre qui asséchèrent les étangs. Créé pour la venue du Pape Jean-Paul II en 1986, il est aujourd'hui un lieu incontournable de la ville.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des XIe et XIIe siècles. Ce chef-d’œuvre de l'art roman en Bourgogne est l'un des plus beaux exemples de l'architecture clunisienne. Emprunter la passerelle, puis la rue de la République à gauche jusqu'au Canal du Centre. Ce canal, ouvert entre 1791 et 1793, est l’œuvre d'Emiland Gauthey. Il relie la Loire à la Saône sur 112 km. Au feu continuez tout droit, après le pont de la voie de chemin de fer tournez à droite en direction de Versaugues sur la D191 et continuez jusqu'au petit village d'Anzy-le-Duc. L'église compte parmi les plus belles de Bourgogne du sud. Sa crypte est unique en Brionnais. Edifiée à la fin du XIe siècle, elle est exceptionnelle pour son clocher octogonal et la richesse de ses décors sculptés. Après la visite de l'église continuez sur la D10, puis prenez à gauche en direction de Marcigny. Cette ville peut-être l'occasion d'une pause pour découvrir le Musée de la Tour du Moulin ou encore le Musée de la voiture à cheval. Repartez pour joindre la voie verte. Découvrez sur ce chemin aménagé sur l'ancienne voie ferrée l'église de Baugy, remarquable pour ces décors peints. Continuez jusqu'à Vindecy puis prenez à droite la D 130 en direction de Montceaux-l'Etoile. La petite église est remarquable par son portail. Sur une pierre unique qui forme à la fois le tympan et le linteau est figurée une admirable scène de l'Ascension. Continuez sur la D130 sur 1,5km puis prenez la deuxième à gauche direction La Prie, Les gras en longeant la rivière l'Arconce jusqu'à Saint-Yan. Cet affluent de la Loire traverse sur 99 km le Brionnais. Traversez Saint-Yan puis prenez la direction de Vitry-en-Charollais par la petite Moirette. A Vitry-en-Charollais prenez à droite la D479, puis à gauche en direction du Colaillot. Continuez tout droit jusqu'à la voie verte. Prenez la voie verte en tournant à droite pour rejoindre Paray-le-Monial.

Au départ de l'office de tourisme, découvrez la basilique du Sacré-Cœur datant des 11e et 12e siècles. Ce chef-d’œuvre de l'art roman en Bourgogne est l'un des plus beaux exemples de l'architecture clunisienne. Montez dans le quartier sud de la ville et découvrez l'ancienne cité PLM. Ces premiers logements collectifs ont marqué l'histoire de la ville dans les années 1930. Longez le bois des Aisances en direction de Versaugues par le D191. Au grand Selore, prenez à gauche pour traversez les bois des Tartins et Michon. Puis joignez le Bourg de Nochize par Bronat, Martigny et Busseuil. Autrefois appelé Nochizia, cette paroisse de la baronnerie de Lugny est située à 6 km de Paray-le-Monial. Son église du 12ème siècle a été rénovée en salle communale. Elle est ornée d’un cadrant solaire datant de 1571. Plusieurs particularités sont à noter dans le village : le Château de Chevenizet datant du 13e siècle et sa chapelle ; le Manoir de Pancemont et sa chapelle, ainsi que la Vallée de l’Arconce pour le plaisir des pêcheurs. Revenez par le Champ tout seul et Guichard pour retrouver la voie verte le long du Canal du Centre. Ouvert entre 1791 et 1793, le canal est l’œuvre d'Emiland Gauthey et relie la Loire à la Saône sur 112 km.

Ce circuit d'une cinquantaine de kilomètres traverse la campagne bressane où vous découvrirez étangs et prairies. Vous passerez également par la Balme à Bouhans, lieu où se déroule l'une des plus anciennes foires françaises.

1 - De la sortie du parking situé devant la mairie de Bourgvilain, tourner à gauche jusqu’au carrefour marquant le centre du bourg. (Poterie) Prendre à droite vers les Meuriers. A l’entrée du hameau, prendre à droite et monter le long de la résidence des Muriers jusqu’à un carrefour. Suivre à droite un chemin herbeux qui remonte le vallon, longe des pâtures et devient sableux (vue sur le château de Corcelle). Arriver à l’embranchement qui conduit au hameau de Corcelle. 2 - Continuer tout droit. Le chemin surplombe un petit ruisseau. Longer une ancienne ferme réaménagée puis une station de pompage. Le chemin est maintenant goudronné et remonte jusqu’à la D 212. Tourner à gauche le long de l’auberge pour atteindre le col des Enceints. (vue sur la vallée de la Saône). 3 - Faire demi-tour et redescendre la D 212 sur environ 300 m. Prendre à gauche un chemin herbeux qui traverse un bois parallèlement à la route départementale. Après avoir longé un hangar (hameau de la Charme), tourner à gauche, franchir un carrefour, longer une ruine et continuer tout droit. Le chemin herbeux s’élargit et devient sableux ; il domine la vallée du Valouzin (vue sur les monts du Charolais). Au carrefour qui suit, descendre tout droit jusqu’à une petite route. 4 - La traverser et descendre au hameau de Montangerand. Après la première maison, tourner deux fois à droite pour rejoindre une esplanade avec une croix. Continuer tout droit sur une petite route parallèle à la D 22. Passer devant l’aire de tri sélectif, rejoindre puis traverser un plateau de jeu et arriver au parking de départ.

- De la Mairie on descend par la route vers Saint-Martin-de-Croix. - A 200 m environ, prendre le sentier qui part à gauche et contourne le Mont Péjus par le nord. Le sentier redescend vers Saint Gengoux. - Tourner à droite au poteau « Le Colombier », vers la cave. Prendre le GR76 en face de celle-ci. - A Nourrue,  s’engager dans le chemin à droite jusqu’au moulin Foulot, ainsi appelé car on y foulait le lin et le chanvre. Le chemin traverse le corps de ferme pour s’engager dans un sentier qui rejoint la route jusqu’au lieu dit « les Pierres Folles ». A ce niveau, il faut prendre à droite, pendant une centaine de mètres pour ensuite, tourner à gauche avant les vignes. - Le chemin longe en les contournant, les contreforts du Mont Péjus (son sommet est mentionné à mi-parcours par un panneau). La végétation rase est caractéristique (pelouses calcaires). Après un calvaire, le circuit débouche sur Burnand (site classé natura 2000), avec une vue sur le Château, étonnant pastiche médiéval. L’église du 11eme conserve des traces de peintures murales dont un Christ en majesté au niveau de son abside en cul de four. - Tourner à droite au poteau de « Burnand » direction « Les Jetous », contourner le château avec ses murs d’enceinte puis passer près du cimetière ainsi que la chapelle du château. Après, la petite montée entre murets et buissons, vous arrivez au Mont Jetous où se trouve la cabane des chasseurs. - Tourner à gauche puis trouver une chicane qui vous permettra de traverser un pré pour rejoindre la réserve d’eau puis votre point de départ. Mont Péjus variante : Dans le village, après avoir tourné vers la droite au poteau « Burnand », emprunter le chemin à gauche qui indique la direction de « L’homme mort ». Dans la montée, un imposant murget appelé « Mur romain » se dresse sur la gauche. Le chemin à travers bois vous conduira à la « Croix de l’homme mort ». Vous rejoindrez le « Mont des jetous » où se trouve la cabane des chasseurs puis reprendre la fin du circuit B3.

- Suivre la Voie Verte pendant 1200 m, tourner à droite pour la couper en empruntant le pont de Meruge. - Traverser la D981 et suivre, en face, le long d’une vigne, le chemin jusqu’au château des Raveaux. - Contourner par la droite les terrains de sport et s’engager sur le sentier qui descend et remonte jusqu’à la D125. - Couper perpendiculairement cette route, grimper le chemin, passer près du château de Rougeon. - Traverser la route à la Croix de Combe, gravir le chemin qui s’élève jusqu’à Cruchaud. A mi-parcours un beau panorama vous attend. - Continuer le chemin passant entre les maisons, bifurquer à gauche. De belles vues sur BUXY, la vallée de la Grosne et la plaine chalonnaise s’offrent à votre regard. - Quitter le chemin, s’engager à droite sur un sentier ombragé, traverser le vignoble de Davenay. - Prendre à droite vers les premières maisons, puis à gauche pour atteindre la voie communale. - Descendre la route longeant l’institut Eugène Journet avant de bifurquer à gauche et suivre le sentier conduisant au Clouzot. - Grimper à gauche le chemin retrouvant le vignoble, passer devant les ruines du vieux château. Continuer la montée par la route jusqu’à la statue de la vierge. Emprunter le chemin de vigne, prendre à droite et suivre le sentier descendant dans le village. - Prendre direction GIVRY, tourner à droite avant le château du Cray et suivre la rue Borgne. - Descendre la rue haute de la Gare, et retrouver le rond-point de la Côte Chalonnaise puis l’Office de Tourisme Sud Côte Chalonnaise.

Château, traduction du "Castellum" romain, conserve de son castel médiéval une tour, où est-elle ? Depuis 1848, elle occupe tout simplement la fonction… de clocher de l’église. Frontalier entre Charolais et Clunisois, pays viticole à l’origine comme le laissent deviner des coteaux arides, Château est devenu progressivement pays d’élevage depuis le milieu du 20e siècle. Certains sentiers et chemins creux se faufilent parmi l’herbe goûteuse. Le chemin des belvédères fait monter l’altimètre jusqu’à 515 m. Il emprunte pour partie le GR 76c et va frôler les collines boisées du Mont Grémoi. Prenant son envol sur la crête, il régale de panoramas d’où l’on découvre avec émerveillement la vallée du Clunisois.

Niché au fond de la vallée de l’Arlois, Chasselas peut s’enorgueillir d’un patrimoine bâti remarquable : église des XIIe et XVIIe siècles, maisons mâconnaises à galerie, porches et puits couverts, calvaires... mais surtout le château du XVIIIe situé au milieu des vignes. Depuis le bourg, cette promenade mène, dans l’agréable fraîcheur des sous-bois, côtoyer le Mont Archez, offrant, au passage, quelques jolis points de vue sur le village et la vallée.