Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Un beau circuit pour ceux qui recherchent les chemins paisibles, à l’ombre ou au bord de l’eau. Les amateurs de patrimoine seront ravis de découvrir les belles maisons, une chapelle et l’église romane.
Entre histoire locale et patrimoine naturel, ce parcours vous conduira de sous-bois en bord de Loire ; ainsi vous pourrez cueillir du muguet au printemps et admirer le bord de Loire au fil des saisons.
Du parking du camping des Meuniers, se diriger vers le centre de Dompierre-les-Ormes. Arriver sur la D 41 (rond-point).
Tourner à gauche et aller en direction de l’église. Monter à droite comme pour y entrer, la contourner et prendre à droite en direction du hameau des Ormes ; descendre tout droit ; après le hameau, le chemin plonge vers l’ancienne voie ferrée.
En bas, avant le pont, prendre à gauche la petite route qui rejoint cette ancienne voie, à suivre tout droit en traversant l’ancienne gare. Après avoir longé une carrosserie industrielle, avant un nouveau pont, plonger vers la droite pour rejoindre l’étang de Pézanin. Traverser la digue et tourner immédiatement à droite pour le longer sur environ 200 m.
S’avancer à gauche sur un petit chemin herbeux et ombragé. L’itinéraire oblique à droite pour longer un bois, puis franchit un ruisseau à droite. Monter alors par un raidillon pour atteindre et traverser une imposante ferme. Par sa route d’accès, rejoindre Frouges.
Bifurquer à gauche, puis à droite à l’intersection suivante. Le chemin rejoint une route à prendre à droite.
Au croisement de Bois du Lin (croix), continuer dans la même direction. La route franchit un ruisseau puis remonte pour passer près d’une zone artisanale. Garder la direction et déboucher sur la D 41 ; la suivre à droite et rejoindre le rond-point des Meuniers.
Par la gauche, retrouver le point de départ.
Une randonnée facile et sans difficulté qui permet une découverte des bords de Saône et qui offre également une jolie vue sur Tournus et les collines du Tournugeois.
Randonnée à faire en famille, pour profiter des charmes bucoliques de la rive gauche de la Saône.
Une douce grimpette ouvre progressivement la vue sur le plateau d’Hurigny. Ourlé de ciel et festonné de crêtes, le plateau étale la couleur au couteau, en épaisseur irrégulière. Bien visibles, les maisons du village typiquement mâconnais d’Hurigny papotent autour du clocher roman. Les bois, les champs, les vignes brossent la toile ondulée d’une campagne organisée en un soigneux désordre qui semble avoir fait provision de sourires. Cheminant sur la crête, l’œil part à la cueillette de points de vue charmants comme d’un patrimoine rural attachant semé aux limites d’un champ, en lisière ou au cœur d’un hameau : croix de fer forgé, lavoirs mais également puits. Il fallait, sur le plateau, aller capter l’eau qui ruisselle en coulisse. A Salornay, l’ancien château féodal au dessin tourmenté embellit le premier plan du panorama qui s’agrandit ici vers la plaine de la Saône et la Bresse.
A l’instar du Blandenan qui coule au milieu du bocage où broutent quelques belles charolaises, la balade s’en va serpenter dans l’herbe appétissante des pâturages. Le parcours croise plusieurs étangs qu’alimente la petite rivière. Le bucolique étang de Beauchamp est aussi le rendez-vous de carpistes passionnés dont les prises sont toujours prétextes à de jovials échanges. Poursuivant sa route à travers l’éclatante verdure du paysage, la balade rencontre au creux d’un vallon ou à l’orée d’une forêt des fermes isolées ou encore un château et offre quelques superbes panoramas sur une marqueterie de prés et de bois. Au retour à Neuvy-Grandchamp, le musée du machinisme agricole et ses 500 machines anciennes en état de marche clôture la balade par une amusante remontée dans le temps, jusqu’à la Belle Epoque.
Le village souriant aux belles maisons mâconnaises conserve de son important passé clunisien d’autres bâtiments classés et une tradition d’accueil vivace. La balade s’échappe du bourg aux pierres dorées, laissant en chemin prairies et mégalithe, pour s’enfoncer gaiement dans la forêt des Trois Monts. Cet univers boisé aux nombreuses essences d’arbres offre un habitat naturel préservé au gibier, sangliers et chevreuils. La lumière joue sous les ramures et les sentiers embaument. Deux haltes s’imposent sur le parcours : à la maison forestière de Jalogny et à la fontaine Cébée. Celle-ci abrite au cœur de la forêt la source qui alimenta longtemps le village en eau potable.
Idéalement placé au sommet d’un coteau, le bourg de Mailly vous offrira une magnifique vue sur le bocage brionnais. Puis, au hameau des Chavannes, vous profiterez d’un panorama qui s’étend de la vallée de la Loire aux Monts de la Madeleine.
Sur les douces vagues du Charolais tanguent les bois, les bocages et les pâturages. Au milieu coule l’Arroux, univers enchanté des pêcheurs fréquenté par quelques castors. Depuis ses rives, la balade rejoint le mouvement des superbes paysages façonnés par l’homme. Les régals panoramiques démarrent dans la vallée : le bourg de Vendenesse offre une vue sur… lui-même, avant de vous présenter quelques-uns de ses hameaux et de ses sites. Patrimoine de charme, la chapelle Saint Thibaut et le moulin à eau de Valette en aval de l’étang, forment un cadre idéal pour une halte pique-nique. A Rochefort, les vestiges archéologiques rembobinent le fil du temps jusqu’aux bancs de nos leçons d’Histoire. Ajoutant aux plaisirs bien concrets, ce territoire agricole vous ouvre les portes de ses fermes dont les produits du terroir constituent les trésors.
Le canal de Roanne à Digoin, espace paisible de navigation à l’heure actuelle, fut un axe de communication très actif aux 19ème et 20ème siècles. Les mariniers chargeaient les péniches de tuiles fabriquées sur le territoire pour ensuite les transporter à destination.