Du bourg qui surplombe, altier, la route départementale, surgit l’église, originale à plus d’un titre. Elle conserve de l’époque romane l’abside semi-circulaire, une travée de chœur et le clocher carré affiné par la présence d’une tourelle ronde d’escalier. Son illumination accentue judicieusement cet ensemble.
1 - Le départ est situé au sud de la D 987, au parking de l’aire de loisirs ; suivre l’ancienne voie ferrée en direction de la Vallée où l’on tourne à gauche sur la route jusqu’à un lavoir.
2 - Au lavoir, monter à droite la route en direction de Présentin (panorama) sur le clocher roman de Trambly du XII e siècle).
3 - À Présentin, suivre le circuit TR1 tout droit, puis à droite en direction de Grand Moulin. Suivre le sentier entre bois et prés (200 m après le début du sentier, remarquer deux anciennes pierres tombales au sol servant de mur de soutènement au chemin).Traverser le hameau des Royards.
4 - Aux Royards, prendre à droite jusqu’au Grand Moulin, vue à droite sur une petite cascade à la sortie de la retenue d’eau.
5 - Traverser la D 987 ; l’emprunter à gauche sur 30 m, puis monter à droite par la petite route vers le hameau des Bots. Le traverser et monter jusqu’à la croix de Vaupriandre.
6 - À la croix de Vaupriandre, ( panorama sur toute la vallée), descendre le sentier à droite puis, 300 m plus bas, aller à gauche jusqu’à la D 987. Panorama sur le village de Trambly).
7 - Traverser la D 987 et suivre la petite route qui longe les champs, traverse la rivière et remonte vers Présentin. Là, revenir au départ par l’itinéraire de l’aller.
Parcours très boisé. La Gotale et le bois de la vallée, Présentin et le bois d'Argaud sont des refuges pour les chevreuils et sangliers. Après être redescendu de la Gotale sur pari gagné et avoir enjambé la petite Grosne, le chemin monte jusqu’à la Bussière. Ce petit hameau perché sur la colline vaut le détour. La ligne de crête offre une vue panoramique saisissante, d'abord sur les contre fort du beaujolais puis sur la campagne tramblyronne et le Clunisois. On peut alors s'aventurer dans les bois d'Argaud. Ses clairières sont un haut lieu de la cueillette du muguet
1 - De la place de Saint-Pierre-le-Vieux, prendre à gauche la D 45. Environ 200 m plus loin, aller à gauche et franchir la passerelle sur la Grosne. Au cimetière, emprunter à droite une route sur environ 300 m et s’engager à droite dans un chemin herbeux conduisant à Ecussols.
2 - Traverser la route communale et monter en direction de la Nuirie / Champ Butin. A un poteau électrique, obliquer légèrement sur la droite et poursuivre sur un chemin rocheux jusqu’au lieu-dit la Nuirie. Continuer à gauche sur un chemin en balcon. Traverser une route et s’engager dans le chemin qui conduit à la Grotte en longeant des prairies.
3 - A droite, monter par un chemin caillouteux bordé de buis jusqu’à une route que l’on emprunte à gauche. Bifurquer au premier chemin à droite dans les sapins et le bois. A l’intersection du chemin d’Argaud, prendre à gauche et poursuivre dans la forêt ombragée.
4 - L’itinéraire redescend à travers la forêt d’Almont par un sentier encaissé et caillouteux et atteint une intersection à 800 m.
5 - S’engager à droite sur un chemin plat. A la sortie du bois, belles vues sur les prairies. Couper la D 211, atteindre le hameau d’Almont, et continuer par le chemin à gauche en dessous de la ferme. Traverser la D 45 pour arriver aux Ramondys. Prendre le chemin à droite en direction des Rescilles. Avant les maisons, bifurquer à gauche. Franchir le pont sur la Grosne. Monter sur 150 m et tourner à gauche pour rejoindre le hameau de la Cour, puis celui de Dardy par une voie goudronnée.
6 - Suivre le chemin goudronné qui remonte jusqu’à la croix des Augoyats. Emprunter à gauche le chemin pour une descente rapide jusqu’à une passerelle sur la Grosne, puis enjamber un ruisseau et remonter jusqu’à la D 45. Tourner à gauche et de suite à droite en direction de la Farge.
7 - Dans le hameau, prendre à droite pour descendre jusqu’à Saint-Pierre-le-Vieux, face au clocher. Traverser le village et retrouver le départ.
Une grimpette au-dessus du vignoble et des prairies, un château (Byonne) et quelques points de vue, voici la crête boisée séparant le Clunysois du Mâconnais et ses spectacles panoramiques. Ici la lumière, si particulière en automne, a donné son nom au village : Sologny ou la terre de soleil.
Ce circuit entre plaine et montagne, mâconnais et charolais, offre une belle diversité de paysages entre prés, vignes et bois, et un arrêt "vieilles pierres" au hameau des Monterrains.
Une promenade dans les vignes reliant deux villages dont la notoriété des crus, l’un beaujolais, l’autre bourguignon, dépasse les frontières. Saint-Amour-Bellevue, où s’expriment art et gastronomie, cultive le pampre sacré depuis les temps les plus reculés. Plus à l’ouest, le village de Saint-Vérand s’impose en autre apollon. Accroché au flanc d’une colline, il séduit par son charme pittoresque et le caractère remarquable de son patrimoine architectural.
Lavoirs à Champagne et à Satonnay, étang à Collonges, cours d’eau de la Mouge, de l’Isérable : ce circuit surprend par ses nombreux points d’eau en plein cœur d’un territoire calcaire. Nul besoin de tendre l’oreille pour entendre les chants des grenouilles et crapauds, rivalisant de vocalises à la belle saison.
Il surprend aussi par le charme de ses paysages et de son patrimoine bâti.
Cette petite balade furète au cœur du village d’Hurigny, typique du Mâconnais, doté de maisons vigneronnes à galerie au charme intemporel. Serrées autour de places, elles font bon voisinage avec l’habitat plus récent, enfoui sous les fleurs et la végétation. Lavoir, puits patinés, porches des cours fermées, croix émoussées des chemins illustrent un patrimoine rural attachant hérité du 19e siècle. Le château, élégante bâtisse ornée d’un parc aux arbres remarquables, s’accompagne d’un tinailler (où se fabrique le vin), de communs et d’une curieuse chapelle rectangulaire datant de la Renaissance. Construit à la fin du 17e siècle par un oncle de Lamartine, le château accueillit fréquemment le poète à l’allure élancée dont l’église couronnée d’un clocher octogonal, sur la place du bourg, garde aussi la mémoire.
Une douce grimpette ouvre progressivement la vue sur le plateau d’Hurigny. Ourlé de ciel et festonné de crêtes, le plateau étale la couleur au couteau, en épaisseur irrégulière. Bien visibles, les maisons du village typiquement mâconnais d’Hurigny papotent autour du clocher roman. Les bois, les champs, les vignes brossent la toile ondulée d’une campagne organisée en un soigneux désordre qui semble avoir fait provision de sourires. Cheminant sur la crête, l’œil part à la cueillette de points de vue charmants comme d’un patrimoine rural attachant semé aux limites d’un champ, en lisière ou au cœur d’un hameau : croix de fer forgé, lavoirs mais également puits. Il fallait, sur le plateau, aller capter l’eau qui ruisselle en coulisse. A Salornay, l’ancien château féodal au dessin tourmenté embellit le premier plan du panorama qui s’agrandit ici vers la plaine de la Saône et la Bresse.