Des Monts Chevreuil et de la Fâ, la vue épouse le Val Lamartinien. Alternant avec les paysages viticoles piqués de hameaux typiquement mâconnais, forêts de chênaie-charmaie, pelouses calcicoles à orchidées des teppes et buis du mont Chevreuil abritent une flore protégée. Le château d'Escolles (XIVe siècle), brûlé en 1576, évoque l'époque mouvementée des guerres de religion.
Un enchaînement de forêts, de teppes, de bocages et de vignobles. Sur le sentier du bois de la Roche, le paysage aux accents méditerranéens révèle une flore protégée. Outre les chapelles de Domange et Saint-Criat - lieux autrefois sacrés, bijoux de l’art roman empreints de mystères -, la pierre patinée habille habitat et lavoirs.
Une grimpette au-dessus du vignoble et des prairies, un château (Byonne) et quelques points de vue, voici la crête boisée séparant le Clunysois du Mâconnais et ses spectacles panoramiques. Ici la lumière, si particulière en automne, a donné son nom au village : Sologny ou la terre de soleil.
Depuis Milly, Lamartine, enfant, dévalait les pentes du Monsard pour rejoindre Bussières et les leçons de l’abbé Dumont. Ce dernier repose derrière l’église classée du village. Du Monsard (407 mètres) et de la montagne de Cras (505 mètres), l’horizon ondule sur le paysage si familier au poète.
Depuis le bourg de Sancé, où l’on admire quatre beaux lavoirs et l’église romane Saint-Paul du XIIe siècle, cet itinéraire nature parcourt la campagne en arc de cercle autour d’Hurigny, alternant entre bois, prairies et vignes. La légende raconte qu’un soldat serait venu se perdre au bois de La Grisière durant la guerre franco-prussienne en 1870 près de la fontaine et du lavoir, rebaptisé le lavoir du soldat perdu.
Depuis Milly, Lamartine, enfant, dévalait les pentes du Monsard pour rejoindre Bussières et les leçons de l’abbé Dumont. Ce dernier repose derrière l’église classée du village. Du Monsard (407 mètres) et de la montagne de Cras (505 mètres), l’horizon ondule sur le paysage si familier au poète.
À l’est, c’est la vigne. À l’ouest, le bocage. Cette belle et longue randonnée à la lisière des bois demande que l’on prenne son temps. Que l’on savoure aussi bien les paysages que le bâti des fermes et du petit patrimoine. Sous le massif de Rochebin, se déroule tout un monde fantastique et insoupçonné, celui des Grottes d’Azé.
Jambles d’un versant à l’autre vous fera découvrir des paysages variés. Installée entre les versants nord du Mont Avril et les versants sud de la chaume de Givry, cette balade vous demandera quelques efforts qui seront récompensés par de multiples points de vue. Un chemin de traverse offre la possibilité d’un raccourci ou de parcours en huit.
Circuit varié, bien équilibré assez long mais sans difficulté. De hameaux (Agneux et les grottes - petite incursion possible en suivant les indications du GR) en villages (Nantoux, Aubigny), de vallées en collines, il vous permettra de découvrir les paysages viticoles. Vous vous promènerez du nord au sud et du sud au nord entre les vignes, sur des chemins bordés de murets et de buis et en lisière de forêts.
Commune pittoresque dont les maisons s'étagent sur le versant est de la Vallée des Vaux, à 9 km
de Givry. Saint-Mard-de-Vaux est dominée par le Montabon, colline boisée de châtaigniers, chênes, charmilles, robiniers (variété d’acacias). Outre l'activité viticole, le village a longtemps vécu de la forêt, dont la superficie recouvre les deux tiers du territoire. De cette tradition forestière est issu le surnom de ses habitants, les "Loups". Au cours des siècles, la paroisse changea plusieurs fois de nom : Saint-Médard, Saint-Marc, Montabon durant la Révolution, puis définitivement Saint-Mard-de-Vaux au XIXe siècle, "Mard" étant la contraction de "Médard", évêque de Noyon du VIe siècle.