Au parking de la piscine, longer le terrain de football, puis prendre à gauche toujours le long du stade. Traverser le ruisseau de la Baize, puis gagner une bifurcation.
S’engager à droite direction le Potet où se trouve la première table de lecture. Au terme de la petite route, poursuivre par le chemin qui monte à travers prés et bois. Parvenir à un croisement de chemins.
Tourner à gauche (sentier GR7) en direction du bois de Potet. Au niveau d’un replat, suivre la large piste de gauche qui monte doucement à travers le bois de Botte. Atteindre une bifurcation.
Tourner à gauche en quittant le sentie GR7. Le chemin reste à niveau quelques instants avant de redescendre et de se séparer en deux.
Poursuivre la descente en prenant à gauche. A la sortie du bois, longer la lisière à gauche pour atteindre les maison d’en Botte.
Passer devant les maisons et suivre le chemin goudronné. Aller à gauche et retrouver la bifurcation de l’aller.
Partir à droite pour regagner le point de départ de la balade.
Situé en moyenne montagne (de 320m à 640m), notre commune vous offre un panel de circuits pédestres régulièrement entretenus .Vous pourrez rallier les différents hameaux grâce à des sentiers ombragés en gravissant ses crêtes boisées et en empruntant les passages aménagés sur la Grosne.
Dans cette commune à vocation agricole vous rencontrerez différentes races bovines et espèces animales dans un paysage bocager verdoyant.
Après avoir observé notre paysage que certains comparent à une petite suisse n’oubliez pas aussi de découvrir notre patrimoine :
- Le bourg récent (1850 1900) dominé par notre église au clocher et transept d’origine romane, ses ponts et sa place ombragée,
- Au Nord Est le gros hameau d’Ecussoles fut le centre d’un doyenné clunisois (936 1790),
- Au sud est le manoir des Colettes (Xllème siècle) acquis par la famille Des Brosses au XVIIème siècle, Claude Brosses fut le premier à partir vendre du vin du Mâconnais à la cour de Louis XIV ,
- Des 5 moulins existants à St Pierre au XVIIème siècle subsistent aujourd’hui le moulin Mathy et le moulin Neuf,
- Les lavoirs aux architectures variées disséminées dans les hameaux étaient un lieu de rencontre des habitantes au moment de la lessive.
Parcours très boisé. La Gotale et le bois de la vallée, Présentin et le bois d'Argaud sont des refuges pour les chevreuils et sangliers. Après être redescendu de la Gotale sur pari gagné et avoir enjambé la petite Grosne, le chemin monte jusqu’à la Bussière. Ce petit hameau perché sur la colline vaut le détour. La ligne de crête offre une vue panoramique saisissante, d'abord sur les contre fort du beaujolais puis sur la campagne tramblyronne et le Clunisois. On peut alors s'aventurer dans les bois d'Argaud. Ses clairières sont un haut lieu de la cueillette du muguet
- De la Mairie, descendre par le bois au poteau « En Chauvet » emprunte l’étroit sentier ( en direction jouvencelle et le Mont Saint Roch)
- Peu après le croisement des routes, tourner à droite pour monter dans les vignes vers le mont Saint Roch. On traverse une plantation de cèdres de l’Atlas pour arriver au sommet. C’est là qu’en 1661, une famille de Saint-Gengoux-le-National fait le vœux de construire une chapelle dédiée à St Roch si elle échappe à la peste qui frappe la région, cette chapelle est érigée en 1662 à l ‘endroit ou se trouve actuellement la statue de la Vierge. De ce point de vue vous pouvez admirer la Cité médiévale de Saint-Gengoux-le-National.
- Redescendre vers le village, Dans la descente apparaît à gauche sur les hauteurs, le château de la Rochette, reconstruit au 16eme siècle puis très remanié au 19eme (propriété privée).
- L’itinéraire emprunte la route jusqu’à Saint-Gengoux, où il faut prendre à droite la rue de l’abattoir (direction Burnand) puis tourner à gauche (au niveau de la caserne des pompiers)
- 50 m après au poteau « Le Colombier », un chemin s’ouvre à droite passant non loin de la tour des Archers, ancienne tour de guet ; probablement construite au 14eme siècle.
- Après le ruisseau, le chemin remonte vers le Mont Péjus et domine Saint Martin de Croix avec sa jolie chapelle du 11eme.
- Arriver à la route, tourner à gauche pour retrouver la mairie.
- Départ sous les peupliers de l’aire de pique-nique de JULLY-LES-BUXY, dotée d’un point d’eau potable et de sanitaires.
- Couper la Voie Verte et traverser le village direction ouest. Passer devant la mairie et la salle d’activités.
- Dès la dernière maison, la route s’entoure de vignes. Couper la D981 et grimper le coteau du vignoble réputé du MONTAGNY en direction de Montorge.
- A 100m au-dessus de votre point de départ la vue s’est dégagée : au loin les vallées de la Saône et de la Grosne, au premier plan le village de JULLY-LES-BUXY bâti en amphithéâtre sur la pente d’un coteau et son église au sommet.
- Prendre à gauche la petite route conduisant à Collonges, hameau de SAINT-VALLERIN. De belles maisons vigneronnes vous accompagnent en direction du bourg.
- Passer devant le Pinacle, lieu de rencontres culturelles, à proximité de l’église et d’un magnifique lavoir couvert et suivre à gauche, la direction de La Guiche.
- Couper de nouveau la départementale et retrouver la commune de JULLY-LES-BUXY en suivant la rivière “La Corne”.
- Quitter le vignoble pour retrouver le bourg et l’église aperçue depuis le point le plus élevé de la balade.
- Le chemin balisé conduit, à travers de belles demeures, au point de départ.
La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite … Historiquement, le village a connu les influences directes de l'abbaye de Cluny, des Sires de la Bussière, des marquis de Foudras, sans être jamais longtemps inféodé aux autres. Ecologiquement englobé dans la vaste zone Natura 2000 du Clunisois, il concentre sur son petit territoire une population dense de crapauds sonneurs à ventre jaune. Ici règle une qualité de vie indéniable.
La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite ...
Nous voici en Côte Chalonnaise, prolongement naturel de la Côte de Beaune, au pays des vins à la robe couleur rubis. En chemin, le regard caresse un paysage où la vigne se marie à la pierre blonde et rose. Défriché il y a près de huit siècles par les cisterciens, le clos du Cellier aux Moines habille un coteau abrupt surmonté d’un moulin à la vue imprenable. Le vieux domaine bâti sur un promontoire en surplomb de Givry et son moulin sont aujourd’hui classés. Plus loin, le sentier reprend de la hauteur à l’abri des grands cèdres et des pins noirs dont les immenses cils battent au rythme du vent. Là-haut sur la colline de Varanges, sertie dans les grands arbres, la statue de la Madone bénit les bois et les clos alentour. Le retour par le vignoble traverse le hameau de Cortiambles où deux arrêts s’imposent : l’un au pied de la flèche ocre rosé du clocher de l’église romane et l’autre auprès de la margelle du très original lavoir à impluvium.
Avec en toile de fond les bois suspendus sur les collines et des nappes de verdure jetées sur les pentes et dans les vallons, la balade relie cinq lavoirs idéalement distribués sur le parcours. Et quels lavoirs ! Chacun de ces petits édifices du début du 19e siècle, qui évoque un mode de vie encore si proche, regroupe lavoir, fontaine et abreuvoirs, parfois à auges multiples. De l’un à l’autre, le sentier s’ouvre sur les panoramas clunisois et les haussements broussailleux de ses collines. Auprès de ce petit patrimoine rural, dans l’église de Lournand, à la chapelle de Collonges ou encore au pied de la tour de Chevagny, les haltes se font nostalgiques, contemplatives, méditatives, mais toujours récréatives.
Une balade entre patrimoine naturel singulier et petit patrimoine rural et populaire, richesse de nos campagnes bourguignonnes. Le four banal du pittoresque hameau de Russilly assurait la cuisson collective du pain. Conçu en 1829 par l’architecte de la belle Halle ronde de Givry, ce charmant édifice au toit de laves évoque un savoir-faire en désuétude : la taille des laves se faisait à la main et à l’oreille, toute pierre devant "sonner" correctement pour être utilisée. Des calvaires et des croix de chemin, pas un ne ressemble à son voisin et rares sont ceux qui conservent la mémoire de leur origine. La Croix de Chalut fut-elle protectrice ou commémorative ? Et la Croix de l’Ancienne Eglise : une borne, un ex-voto ? Elles enchantent aujourd’hui un parcours qui se hisse doucement vers les anciennes pâtures, là où la chaume a fait place à la pelouse calcaire et à ses faune et flore si particulières.
Voici la Côte Chalonnaise, prolongement naturel de la Côte de Beaune. La vigne a pris possession du paysage que souligne la pierre blonde et rose. Aspiré, le circuit part à la conquête des magnifiques coteaux plantés du vignoble classé "Givry 1er cru" dont le vin a des parfums de fruits rouges. Henri IV en raffolait ! Dans le frémissement des vignes, les cadoles, petits abris de pierre sèche utilisés par les vignerons, ajoutent leur note de charme. La lumière qui rebondit sur le clocher roman de l’église de Cortiambles éclabousse jusqu’au très original lavoir à impluvium. A l’instar de Notre-Dame-de-Varanges, la chapelle de Poncey bénit les clos alentour. Au retour sur Givry, la vigne cède la place aux cèdres et aux pins noirs, le vert gagne en hauteur et dans l’air flotte l’odeur des beaux résineux plantés sur les anciennes chaumes calcaires.
- Au départ, on peut admirer les maisons bourguignonnes avec leur pigeonnier. Sur une petite place se trouve un ancien puits public (1877).
- Quitter le village en direction du lavoir (1893), après “Les Chaumes”, quitter la route pour continuer à travers champs.
- Suivre à gauche par le chemin sinueux appelé “Le Poirier Budin”, après avoir traversé la D236, rejoindre par un sentier Saint-Maurice-des-Champs.
- Continuer sur le sentier où, de chaque côté, se succèdent prés et bois. Avant de redescendre vers Vaux-en-Pré, prendre le temps d’admirer le village.
- Arrivée au carrefour de la rue de la Grand’vigne et du chemin de la Belouse, soit prendre ce chemin jusqu’au cimetière et par la D236 rejoindre le point de départ; soit arrivé près de la croix routière (XVIIIe-XIXe), traverser le village par la rue principale (route de Genouilly). Une halte est recommandée pour visiter l’église romane avant de rejoindre la bascule.