Saint-Sernin-du-Bois, classé Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté, est le témoin de plusieurs siècles d’histoire : vestiges de la voie romaine d’Autun à Mâcon, prieuré du XIe siècle, donjon du XIVe, barrage du début du XXe siècle. Cette balade « Nature et Patrimoine » fait la part belle aux panoramas et à l’observation, offrant une diversité
écologique et architecturale. À ne pas manquer : la zone humide du marais de Fontaine Sainte permet d’observer depuis son ponton de nombreuses espèces de plantes.
Montchanin, né en 1854 au cœur d’un bassin houiller exploité essentiellement au 19e siècle, se situe à un nœud de communication. Le canal du Centre et le chemin de fer ont contribué à son essor incitant les Schneider a y implanter un pôle sidérurgique. Parallèlement, l’argile a fait de la ville la capitale de l’industrie de la tuile et de la céramique.
À ne pas manquer : l’imposante fonderie Henri-Paul, à proximité du canal du Centre.
Un itinéraire facile qui vous entraîne à la découverte de la campagne de la Saône-et-Loire, le long des champs, en passant par des villages de charme et bourgs ruraux.
Après avoir passé le pont de Bragny où la confluence du Doubs et de la Saône s'opère, cet itinéraire vous emmène le long de la Saône jusqu'à l'écluse d'Ecuelles, empruntée à la fois par les plaisanciers et la navigation commerciale. Puis vous rejoindrez le cours de la Dheune sur le retour, rivière qui se jette dans la Saône.
- Descendre l’avenue face à l’auberge du Cheval Blanc et prendre à gauche la petite route devenant chemin.
- Suivre direction Boujolle, retrouver une voie goudronnée. L’église de MARCILLY-LES-BUXY placée sous le vocable de Saint-Vincent se situe tout près (aller-retour 400m direction cimetière).
- Descendre la route, la quitter au hameau de Volvin, s’engager à gauche pour rejoindre le bord du ruisseau La Malenne et le traverser.
- Emprunter la D977 par la gauche et bifurquer à droite 100 m plus loin.
- Prendre à gauche à l’intersection puis à droite le chemin conduisant à Boujolle.
- Suivre la route à gauche, passer devant une miellerie (visite possible). Descendre le chemin à droite conduisant au bord de la Guye.
- Prendre à droite (vous êtes sur le GR 7). Au moulin Rivon prendre tout droit la route jusqu’à la D977 aux Guénins. Vous êtes à mi-parcours.
- Suivre le chemin en face, prendre à gauche au croisement pour passer devant les bâtiments des Boisselets.
- A la voie communale tourner à droite. Traverser à nouveau la Malenne puis rejoindre la Guye 1 km plus au sud.
- Emprunter la route sur 600 m, la quitter à gauche au carrefour le long d’un bâtiment en ruine.
- Suivre chemin et route, tout droit, pendant 2,5 km jusqu’à la D236.
- Bifurquer à droite, direction SAINT-PRIVÉ, puis à gauche 300 m plus loin.
- Traverser le paisible hameau de Prêtement.
- Grimper le chemin à droite. Passer non loin du château de SAINT-PRIVÉ pour ressortir sur la D236 et retrouver l’avenue conduisant au point de départ.
- De la Mairie, descendre par le bois au poteau « En Chauvet » emprunte l’étroit sentier ( en direction jouvencelle et le Mont Saint Roch)
- Peu après le croisement des routes, tourner à droite pour monter dans les vignes vers le mont Saint Roch. On traverse une plantation de cèdres de l’Atlas pour arriver au sommet. C’est là qu’en 1661, une famille de Saint-Gengoux-le-National fait le vœux de construire une chapelle dédiée à St Roch si elle échappe à la peste qui frappe la région, cette chapelle est érigée en 1662 à l ‘endroit ou se trouve actuellement la statue de la Vierge. De ce point de vue vous pouvez admirer la Cité médiévale de Saint-Gengoux-le-National.
- Redescendre vers le village, Dans la descente apparaît à gauche sur les hauteurs, le château de la Rochette, reconstruit au 16eme siècle puis très remanié au 19eme (propriété privée).
- L’itinéraire emprunte la route jusqu’à Saint-Gengoux, où il faut prendre à droite la rue de l’abattoir (direction Burnand) puis tourner à gauche (au niveau de la caserne des pompiers)
- 50 m après au poteau « Le Colombier », un chemin s’ouvre à droite passant non loin de la tour des Archers, ancienne tour de guet ; probablement construite au 14eme siècle.
- Après le ruisseau, le chemin remonte vers le Mont Péjus et domine Saint Martin de Croix avec sa jolie chapelle du 11eme.
- Arriver à la route, tourner à gauche pour retrouver la mairie.
- Départ sous les peupliers de l’aire de pique-nique de JULLY-LES-BUXY, dotée d’un point d’eau potable et de sanitaires.
- Couper la Voie Verte et traverser le village direction ouest. Passer devant la mairie et la salle d’activités.
- Dès la dernière maison, la route s’entoure de vignes. Couper la D981 et grimper le coteau du vignoble réputé du MONTAGNY en direction de Montorge.
- A 100m au-dessus de votre point de départ la vue s’est dégagée : au loin les vallées de la Saône et de la Grosne, au premier plan le village de JULLY-LES-BUXY bâti en amphithéâtre sur la pente d’un coteau et son église au sommet.
- Prendre à gauche la petite route conduisant à Collonges, hameau de SAINT-VALLERIN. De belles maisons vigneronnes vous accompagnent en direction du bourg.
- Passer devant le Pinacle, lieu de rencontres culturelles, à proximité de l’église et d’un magnifique lavoir couvert et suivre à gauche, la direction de La Guiche.
- Couper de nouveau la départementale et retrouver la commune de JULLY-LES-BUXY en suivant la rivière “La Corne”.
- Quitter le vignoble pour retrouver le bourg et l’église aperçue depuis le point le plus élevé de la balade.
- Le chemin balisé conduit, à travers de belles demeures, au point de départ.
De 1851 à 1859, les 2/3 du village de Longepierre ont été détruits par 25 incendies criminels, incendies injustement attribués à l’instituteur Pierre Vaux et à son ami Jean-Baptiste Petit qui seront condamnés au bagne.
Un parcours dans le village retrace toutes les étapes de ce "crime judiciaire".
- De la Mairie descendre par le bois en direction « Réserve » (réservoir d’eau qui servait à l’approvisionnement des locomotives).
- Remonter vers le bois , arriver à une chicane, traverser le pâturage puis une autre chicane. Ce petit sentier vous conduira à la cabane des chasseurs. Le circuit emprunte le chemin du maquis pour arriver au lieu dit « les pierres piquées », nom sans doute donné à ces roches en raison de leur aspect plus ou moins spongieux (grès). Après le croisement de la route, il est important de suivre le sentier marqué « Simone Baudriot », très agréable par son sous bois.
- Continuer sur la voie romaine, dont il reste encore par endroit le pavement. Le chemin descend vers Saint-Gengoux-le-National, cité médiévale.
- Arriver dans la ville, prendre à droite la rue de l’abattoir, direction Burnand)
- Puis tourner à gauche ( au niveau de la caserne des pompiers).
- 50 m après au poteau « Le Colombier », un chemin s’ouvre à droite passant non loin de la tour des Archers, ancienne tour de guet probablement construite au 14eme siècle.
- Après le ruisseau, le chemin remonte vers le Mont Péjus et domine Saint Martin de Croix avec sa jolie chapelle du 11eme.
- Arriver à la route, tourner à gauche pour retrouver la mairie.
Entre terre et eau, Saint-Eusèbe domine le canal du Centre, la Bourbince, l’étang Berthaud et sa réserve. En 1316, le village prend nom de Saint-Eusèbe-des-Bois et une église romane est construite dans le bourg ; un cimetière construit en «circulade» la complète. Particularité locale : Montchanin-le-haut est bien une commune de Saint-Eusèbe et non de Montchanin !
À pied ou à vélo, accompagnez les deux amis, Jack la Panouille et Max Decoop, dans leurs aventures à Saint-Maurice-en-Rivière ! En laissant traîner leurs oreilles Max et Jack ont entendu parler d’un trésor d’une grande richesse. Il paraîtrait que le Graal se trouve dans le village. Voilà peut-être l’occasion pour les deux épis de devenir riches et de prendre la clé des champs pour de bon ! Mais nos deux aventuriers vont avoir du pain sur la planche...Aidez les sur leur parcours !
Jack la Panouille a passé de longues années de son enfance à Allériot. Il en garde le souvenir d’une jeune fille de Bey dont il est toujours secrètement amoureux. Avec l'aide de Max, Jack décide de prendre son courage à deux mains et d’aller déclarer son amour à la belle Adélaïde. Des énigmes jalonnent le parcours pour aider les deux amis à atteindre leur but.