Au départ du bureau d'information touristique, descendre la rue Gambetta. Sur votre droite point N°1 « Espace Culturel du Brionnais ». En bas tournez sur votre gauche Avenue Van de Walle et arrivez au point N°2 « L’étang du château ».
En longeant l’étang, en fond, vous pouvez apercevoir le château de Chauffailles. Au boulodrome tournez à gauche puis à droite direction Belmont de la Loire, à Monnay prendre Conforchon jusqu’au point N°3 « Pirot ». Vous êtes dans la vallée du Botoret, rivière de 1ère catégorie, sur votre gauche Le Viaduc de Villon s’offre alors à votre vue.
Montez jusqu’au point N°4 « Le Bois », tournez à droite et emprunter un moment la D71 puis tournez à gauche et montez en longeant le bois.
Poursuivre votre chemin sur 2,5 km environ en direction du point N°5 « Point IGN 514 ».
Au point N°6 « Les Lards », vue à gauche sur le village de Tancon, entrez dans le bois, traversez-le sur 500 mètres pour rejoindre le point N°7 « L’Hermitage ». Vous avez la possibilité sur votre droite, hors circuit, d’aller voir la Chapelle du Sacré Cœur (vue et coin pique-nique).
Pour poursuivre votre balade descendez à gauche sur Chauffailles. Traversez le Botoret, Longez l’étang, et retourner en direction du bureau d'information touristique.
Ce parcours situé dans le berceau de la race charolaise est l’endroit idéal pour admirer le bocage, les vaches charolaises mais aussi le bâti, témoin de la réussite sociale des éleveurs.
Grâce à cette randonnée, vous pourrez admirer le riche patrimoine de la commune : lavoir, croix, maisons à galerie et plusieurs beaux châteaux.
Ce parcours porte le nom de "Chemin de l'Orbandale", en référence à l'appellation moyen-âgeuse et poétique qui était donnée à la Ville de Chalon-sur-Saône. L'historien Léonard Bertaut, qui a publié en 1662 un livre intitulé "L'Illustre Orbandale, ou l'histoire ancienne et moderne de la ville et cité de Chalon-sur-Saône", cite plusieurs sources le mentionnant. Selon lui, ce nom tirait son origine des trois cercles d'or (orbes en vieux français) qui ornent les armoiries de la cité, symbolisant les trois rangs de briques dorées qui apparaissent sur les anciennes murailles qui ceinturaient la ville.
Au départ de Coublanc, passez devant l’église dédiée à Sainte Marie Madeleine, l’ancienne jugée trop petite et malsaine fut détruite vers 1850. En 1852 une nouvelle église était donc édifiée conçue par l’architecte réputé André Berthier. Elle fut consacrée le 5 octobre 1869. De l’autre côté de la rue, admirer l’ancien presbytère et école des filles, aujourd’hui habitation privée, la maison « Auclair » du XVIe siècle.
Passez ensuite devant la mairie, l’école, laissez la route principale en allant tout droit en direction du point N°2 « Montbernier ». Après avoir traversé un charmant ruisseau continuer à gauche puis à droite en direction du point N°3 « La Favrie ». Admirez la vallée et au loin le Montrond où siège l’oratoire de la Sainte Famille érigé en 1875, y siègent donc un Saint Joseph barbu, tête nue portant au creux de son bras droit une branche de Lys. L’enfant Jésus dont les pieds reposent sur un globe terrestre et une vierge Marie drapée dans un long voile.
Au point N°3 « La Favrie » obliquez sur la droite et quittez la route goudronnée pour prendre un chemin de terre, longer le bois, la vue porte loin sur le village de Tancon et même plus loin encore sur celui de Saint Julien de Jonzy. Vous entrez dans le Bois Gauthay. De nombreuses coupes sont effectuées dans ce bois d’épicéas. Vous apercevez entre quelques arbres le clocher de Coublanc. Arrivée au point N°4 « les quatre chemins » tournez à droite, en descendant, sur votre gauche, de superbes vues sur le village de Villers dans le département de la Loire. Les points de vue de cette balade sont extraordinaires, sur le Roannais face à vous.
Empruntez la D259 puis tournez sur votre gauche au point N°5 « la croix du lièvre ». Poursuivre votre chemin entre les haies de houx, de charmilles, noisetiers, refuges des oiseaux jusqu’au point N°6 « les justices ». Tournez à droite puis à gauche, traversez le bocage et découvrez des paysages plein de douceur et de sérénité. De là vous apercevez le hameau de La Place appartenant à la commune de Coublanc qui à l’occasion de sa fête de quartier élit son maire, cela donne lieu à de joyeuses festivités.
Descendre doucement ce charmant chemin jusqu’à un petit étang, et remontez sur le plateau. Au point N°7 « Point IGN 405 m » tournez sur votre droite plus loin passer devant le cimetière et retour au village.
A l’instar du Blandenan qui coule au milieu du bocage où broutent quelques belles charolaises, la balade s’en va serpenter dans l’herbe appétissante des pâturages. Le parcours croise plusieurs étangs qu’alimente la petite rivière. Le bucolique étang de Beauchamp est aussi le rendez-vous de carpistes passionnés dont les prises sont toujours prétextes à de jovials échanges. Poursuivant sa route à travers l’éclatante verdure du paysage, la balade rencontre au creux d’un vallon ou à l’orée d’une forêt des fermes isolées ou encore un château et offre quelques superbes panoramas sur une marqueterie de prés et de bois. Au retour à Neuvy-Grandchamp, le musée du machinisme agricole et ses 500 machines anciennes en état de marche clôture la balade par une amusante remontée dans le temps, jusqu’à la Belle Epoque.
Loin du brouhaha des cités, partageant le flanc de la même montagne, deux hameaux se sont soudés. Et dans le petit village perché, le temps aussi fut suspendu. De vieilles maisons, la fontaine, le lavoir, conservent leur toit de laves et la mairie son muret. Trop petit pour être une paroisse, le village possède sa chapelle, construite au XVIIe, et des calvaires. Autour, il y a les prairies, la pelouse sèche, les buis et la forêt, qui joue avec ses charmes et déploie ses grands chênes. A l’orée de la forêt, la balade nous attend au théâtre de verdure, si bien nommé, qui magnifie une ancienne carrière. Peu à peu le sentier botanique nous révèle les secrets du paysage et son histoire, l’abandon des cultures, l’emprise éteinte de la vigne exécutée par le phylloxéra, le retour des bois… Des panneaux nous interpellent, sur la faune et la flore, et l’horizon nous appelle, depuis la plaine de la Saône, depuis la Côte Chalonnaise, depuis la Bresse et jusque, par temps clair, depuis les Alpes.
Situé au cœur du bocage brionnais, Anzy-le-Duc saura vous charmer grâce à cette balade entre coteaux, prairies, forêt domaniale, rivière. A la fin de votre randonnée, vous pourrez découvrir l’église romane, l’une des plus belles du territoire avec ses décors sculptés et ses peintures.
Idéalement placé au sommet d’un coteau, le bourg de Mailly vous offrira une magnifique vue sur le bocage brionnais. Puis, au hameau des Chavannes, vous profiterez d’un panorama qui s’étend de la vallée de la Loire aux Monts de la Madeleine.
La romancière Irène Némirovsky, auteure à succès dans la France des années 1930 mais oubliée après la Seconde Guerre Mondiale, est le seul écrivain à qui le prix Renaudot sera décerné à titre posthume en 2004 pour son roman inachevé "Suite française". Elle passa deux années à Issy-l’Évêque entre 1940 et 1942, avant de mourir en déportation à Auschwitz et marqua le village par deux manuscrits écrits sur place, la Suite Française et Chaleur du sang. Deux sentiers sont dédiés à sa mémoire, celui-ci dans le bourg, balisé en rouge (580 m), l'autre en bleu infiltre la campagne (8 km) où l'auteure aimait se rendre pour écrire. Il est jalonné de panneaux informatifs nourris d'extraits d'œuvres, de notices historiques.
- Descendre par la route face au joli lavoir de Lys. Vous êtes sur le GR 7.
- A l’ancien moulin de Ballat, tourner à gauche, traverser, à gué, la rivière Guye née 4 km plus au nord à SAINTE-HÉLÈNE et suivre le chemin bordé de pâturages.
- Au Moulin Rivon suivre tout droit et emprunter aux Guénins, la D977 par la gauche. Vous quittez le GR 7.
- Traverser le bourg de CERSOT en découvrant l’église romane du XIIème siècle, l’ancien château fort du XIIIème siècle et le lavoir au bord de la Guye.
- Gravir, à droite après la mairie, un chemin puis une route rectiligne pour atteindre Neuilly. Vous êtes à mi-parcours.
- Prendre à gauche, face à la croix monolithe et suivre le chemin traversant les pelouses calcicoles typiques de la Côte Chalonnaise.
- Couper la D977, emprunter sur 400 m le chemin de l’autre côté avant de bifurquer à gauche.
- Grimper vers le point culminant du circuit. Couper la route, suivre le chemin longeant le bois qui conduit vers l’étonnant éperon rocheux de Lys.
- La descente, courte mais raide, vous surprendra par le décor inattendu de cette gorge sombre conduisant aux premières maisons de ce paisible et accueillant hameau.
- Ne pas quitter cette commune sans une halte dans son bourg à la découverte de son église romane du Xème siècle dédiée à Saint Fiacre et son château du XVIIIème siècle érigé sur l’ancienne maison forte des Seigneurs de SASSANGY.
Au départ de la place, devant le restaurant, longez le boulodrome et terrain de foot, à gauche, puis à droite et traversez le Sornin, sur votre gauche s'étend le Lac de la mine. Juste après, à gauche, l'emplacement de l'ancienne mine de charbon fermée en 1960. Après "les Perrières", à droite, empruntez le chemin de "La Plantée". Traversez la route et continuez sur le chemin de gauche, dit du Puits Neuf. A droite, vestiges de l'entrée du puits neuf, après une petite côte, route de "La Côte d'Or", prenez à droite, vue sur le village de Saint Laurent en Brionnais traversez "Les Chaffauds", à "Fromental", à droite en direction de "La Sarrandière", en descendant, beau paysage : la colline de Dun, le Vieux Bourg, la Carrière... Plus bas, à gauche, le chemin qui vous conduit à "La Place" pour rejoindre le chemin des "Crottes" que vous descendez pour arriver à la cascade de Gothard près de l'ancienne pisciculture. Revenez sur vos pas jusqu'à la route de "La Sarrandière" et continuez la descente jusqu'aux "Coptiers". Chemin à droite et passez côté de la ferme encadrée de 2 étangs. Regagnez le bourg par le même chemin qu'à l'aller.