Voici la Côte Chalonnaise, prolongement naturel de la Côte de Beaune. La vigne a pris possession du paysage que souligne la pierre blonde et rose. Aspiré, le circuit part à la conquête des magnifiques coteaux plantés du vignoble classé "Givry 1er cru" dont le vin a des parfums de fruits rouges. Henri IV en raffolait ! Dans le frémissement des vignes, les cadoles, petits abris de pierre sèche utilisés par les vignerons, ajoutent leur note de charme. La lumière qui rebondit sur le clocher roman de l’église de Cortiambles éclabousse jusqu’au très original lavoir à impluvium. A l’instar de Notre-Dame-de-Varanges, la chapelle de Poncey bénit les clos alentour. Au retour sur Givry, la vigne cède la place aux cèdres et aux pins noirs, le vert gagne en hauteur et dans l’air flotte l’odeur des beaux résineux plantés sur les anciennes chaumes calcaires.
- Quitter MONTAGNY en découvrant le magnifique panorama. Couper la D983, emprunter la D977 avant de bifurquer à droite au petit bosquet de sapins.
- Suivre le chemin goudronné, passer tout près des carrières de pierre de Buxy de renommée mondiale.
- Prendre à gauche le chemin de l’Arboretum pour arriver au hameau de Davenay.
- A la voie communale, tourner à droite puis suivre à gauche la route panoramique avant d’emprunter à gauche un sentier à flanc de coteaux (passage délicat). Couper la D977 au Mont Cuchot, et descendre au Moulin Charles.
- Prendre à droite la voie communale puis tourner à gauche en empruntant un chemin viticole.
- Suivre à droite le balisage conduisant au milieu des vignes puis grimper à la Croix Saint Morille (possibilité de pique-nique).
- Emprunter un sentier à droite. Tout au bout une vierge vous accueille dans le village de MONTAGNY.
- Admirer les belles maisons vigneronnes et profiter à nouveau du panorama ouvert sur la plaine chalonnaise.
- Emprunter la rue de SAULES, grimper les rues du village, couper la D153.
- Avant d’arriver au Château du Thil, ayez la curiosité de découvrir le lavoir circulaire de la Fontaine Masson (à 200m) en prenant à gauche près d’une maison récente en bois.
- A l’entrée du château du Thil suivre la route de gauche.
- A la sortie du bourg de CHENOVES, grimper à gauche, passer devant l’église et le calvaire classé du XVIème siècle. Plus haut, suivre à gauche, le GR 76. Un beau panorama sud-est apparaît bientôt ainsi qu’une vue d’ensemble du village de SAULES et de son vignoble.
- Avant d’arriver dans le village de CULLES-LES-ROCHES, observez la grotte préhistorique sur la droite dans la falaise.
- Si vous le désirez, grimpez jusqu'à l’église de CULLES-LES-ROCHES où un beau panorama vous attend.
- Descendre dans le bas du village et bifurquer à gauche pour rejoindre le bourg de SAULES.
- Au village, contourner l’église pour découvrir les coteaux viticoles (vue d’en bas cette fois). Face à l’église se dresse la croix de 1572 des Seigneurs du Tartre. Couper la Départementale 153 pour redescendre tranquillement à SAINT-BOIL.
- Prendre à gauche, passer devant la mairie, près de l’église et retrouver le point de départ.
Une balade au cœur des "petites montagnes" du Charolais, sur des sentiers boisés bondissant d’une colline à l’autre : Mont Botey (561 m), Corne d’Artus, Mont des Carges... Les parcours en vallée croisent étangs et ruisseaux, ou encore un site mégalithique et une fontaine, avant de céder aux caprices du sol qui se hisse joyeusement vers quelque panorama. Les ruines d’un château fort auréolent le sommet de la Corne d’Artus. Sur le Mont des Carges, le mémorial de la Résistance rappelle les heures glorieuses du maquis de Beaubery et du bataillon du Charollais ; une esplanade offre là une vue magnifique.
Situé sur les hauteurs du territoire, ce circuit vous conduira jusqu’à la table d’orientation, où vous profiterez d’un magnifique panorama sur le Charolais-Brionnais.
- Au départ, à 400 m d’altitude, découvrez le panorama offert depuis la statue de la vierge posée sur la falaise dominant SAINT-VALLERIN, JULLY-LES-BUXY et au loin la plaine chalonnaise.
- Suivre plein Sud, direction CULLES-LES-ROCHES, le chemin (GR 76) descendant tranquillement au milieu des buis et murets en pierre.
- La végétation se dégage sur votre gauche pour vous offrir une belle vue du village de SAULES entouré de son vignoble.
- Plus bas, à droite dans les rochers, vous pouvez distinguer l’entrée d’une grotte préhistorique habitée dès l’époque moustérienne (40 000 ans avant J.C.).
- Prendre à droite en arrivant sur la départementale (vous quittez le GR 76) pour grimper vers le bourg de CULLES-LES-ROCHES. Imposez-vous un petit arrêt pour une visite de l’église romane et la découverte du très beau panorama qui s’offre à vos yeux.
- Retrouver la départementale pendant 200m, prendre un sentier à gauche qui vous conduit à l’Ormeau.
- Suivre le chemin de droite, couper la départementale, longer une haie - à votre droite le Mont Bouzu 464m - traverser un petit bosquet pour ressortir sur la route menant à FLEY.
- Traverser ce beau village par la droite en passant entre l’église de style roman, construite par les moines de la Ferté et la mairie.
- Quitter le village en suivant la direction “Les Ministres” et suivre les chemins serpentant à travers les pelouses calcicoles très présentes dans cette partie de la Côte Chalonnaise et riches en orchidées.
- A la Roche, retrouver la direction de la vierge dominant le village de SAINT-VALLERIN et le point de départ.
Entre les verdoyantes prairies du Charolais et les premières collines du Morvan, s’étend un territoire vallonné semé d’étangs et de forêts, dominé par le Mont Dardon. A ses pieds, rassemblé sur une butte, le petit village d’Uxeau vit paisiblement, à l’écart des grands axes. De là débute une balade pittoresque motivée par l’ascension du Mont et la perspective de son exceptionnel panorama. A 506 m d’altitude, le Mont Dardon dévoile une vue spectaculaire sur les hauts lieux de la Bourgogne du sud : le Mont Beuvray, Uchon, le Mont Saint-Vincent… et, par temps clair, à l’est jusqu’au Mont Blanc. Fréquenté durant des siècles, le site a révélé une chapelle du 10e siècle mise à jour en 1978 lors d’une campagne de fouilles.
- Au départ, vous découvrez le château qui a vu naître Pontus de Tyard en 1521. Il fût évêque de CHALON-SUR-SAONE, astronome et un des sept poètes de la pléiade.
- Traverser le village, direction Sud, pour emprunter, par la gauche, la D28.
- Prendre, à droite au niveau du cimetière, une route jusqu’au pont enjambant l’ancienne ligne de chemin de fer SAINT-GENGOUX-LE-NATIONAL / MONTCHANIN près du hameau de Champagne.
- Emprunter le chemin qui descend sur votre droite - clin d’œil à gauche où l’église de SAINT-MARTIN-DU-TARTRE se détache fièrement à 430 m d’altitude.
- Passer devant l’ancienne maison de garde-barrière, et prendre à gauche le chemin qui conduit à Maizeray où un petit ruisseau et de belles maisons vous accueillent.
- Traverser ce hameau sur toute sa longueur et prendre à droite, près d’une croix, la direction de GERMAGNY.
- Arrivé sur la D80, prendre à droite puis à gauche 200 m plus loin un chemin à travers des cultures.
- A GERMAGNY, emprunter la route principale puis prendre à droite la direction de l’école, passer devant la salle des fêtes et monter en direction de la Chaume.
- La vue se dégage à gauche : vallée de la Guye, Bois Rougeon, village de SAVIANGES.
- En fin de montée, bifurquer à angle droit sur la droite. Un chemin bordé de buis, de murets en pierres sèches et de noyers conduit au point de départ.
- Ne quittez pas BISSY-SUR-FLEY sans flâner de nouveau dans ce petit bourg et découvrir les maisons bourguignonnes bien groupées autour de l’église romane.
Amer dans l’océan des Monts du Mâconnais, l’église romane de Saint-Martin-de-Laives découvre une vue imprenable. Deux tables d’orientation légendent le panorama sur le Chalonnais, la Bresse et le Jura. Village typique de l’architecture rurale bourguignonne, Laives abrita longtemps des dynasties de tailleurs de pierre. De nombreuses et charmantes curiosités subsistent, comme une croix bouteille et le porche des Antonins avec sa statue de Saint Antoine. Ici, les tuiles plates coiffent les maisons et d’anciennes fermes cossues. Depuis ce pittoresque et agréable village, la balade se faufile sans effort au pays des sources et des perrières (carrières) où poussent ici la vigne, là l’orchidée sauvage. En été, prévoyez la baignade au lac de Laives ou un parcours aventure dans les arbres. Au pays de la pierre et de l’eau, vous reviendrez à votre point de départ par un ancien lavoir et la surprenante rue des fontaines.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Le hameau de “La Madeleine” est situé à quelques kilomètres au sud-est de Saint-Martin-en-Bresse. Il fût le théâtre d’évènements tragiques qui se sont déroulés les 8 et 9 mars 1944.