Du lavoir de Montagny-sur-Grosne, monter à l’église puis arriver à un four à pain. Monter à gauche, et encore à gauche après la mairie ; la petite route passe au-dessus du village . Devant une parcelle plantée de pins douglas, monter à droite. Après une maison, le chemin s’engage dans le bois d’Esmyards et redescend sur la D 289 ; la suivre à droite sur environ 50 m, puis emprunter à droite une petite route montant à une nouvelle plantation. S’engager à gauche dans un chemin herbeux qui traverse une prairie et rejoint une autre plantation. Redescendre à gauche ; à la D 289, prendre à droite sur environ 50 m, puis aller à gauche vers la Bombie. Dans le hameau, tourner à droite (on peut se désaltérer sous le marronnier de la fontaine au Loup). En montant, la route pénètre dans un bois de feuillus et parvient à une intersection, à moins de 100 m de l’orée. Prendre à gauche, puis, 500 m plus bas, encore à gauche. Avant la maison de Barricant, emprunter sur la droite un chemin en herbe qui longe des prairies, pénètre dans des taillis et passe en lisière d’une étroite plantation à gauche. Avant le hameau du Pas-de-la-Sue, tourner à gauche en contournant la plantation. Le chemin descend entre bois et pâtures à droite. Après un passage très humide, il remonte légèrement ; le suivre jusqu’à l’enceinte du parc du château d’Ouilly que l’on longe à droite jusqu’à l’orée de la forêt. Continuer à droite en descendant le long du mur retrouvé environ 200 m plus loin, menant à l’ancienne conciergerie reconnaissable à sa grille monumentale. Emprunter la route qui descend en direction de Clermain. Elle franchit le pont du Raverot. Peu après, remonter à gauche vers Montagny-sur-Grosne. A l’issue du premier virage à gauche, prendre un chemin de terre à droite (en montant, vue circulaire). Au bout, prendre à gauche une piste sableuse et atteindre un carrefour. Emprunter à droite un chemin à nouveau goudronné qui rejoint la D 289 ; la prendre à gauche, traverser le village et rejoindre le point de départ.

La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite … Historiquement, le village a connu les influences directes de l'abbaye de Cluny, des Sires de la Bussière, des marquis de Foudras, sans être jamais longtemps inféodé aux autres. Ecologiquement englobé dans la vaste zone Natura 2000 du Clunisois, il concentre sur son petit territoire une population dense de crapauds sonneurs à ventre jaune. Ici règle une qualité de vie indéniable.

La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite ...

Cet itinéraire a été conçu pour faciliter la rencontre des pèlerins avec les habitants avec des monuments majeurs comme la cathédrale d'Autun ou la Basilique de Vézelay et de Saulieu mais aussi de nombreuses églises et chapelles entre chemins et sources....Cette traversée du Morvan du Nord au Sud ou du Sud au Nord selon votre choix a été balisée pour vous en huit étapes pour une distance totale de 175km. C’est aussi la possibilité après Autun de continuer les grands chemins que sont « Assise » et « Compostelle » via Taizé, Cluny... Chaque fiche d’étape est attachée une présentation des sites traversés et vous permet de choisir et réserver à l’avance votre hébergement. Vous voilà prêts à vous laisser guider par le petit randonneur symbole du chemin pèlerin, qui identifie notre balisage, pour vous oxygéner, vous ressourcer, seul, en famille, en groupe... Randonneurs amoureux de la nature ou pèlerins en quête de spiritualité, vous êtes les bienvenus puisque nos chemins sont ouverts à tous pourvu que la nature et les autres y soient respectés.

Le sentier du Bois de la Roche chemine jusqu'à la crête du massif du vaste bois des Brûlées. Implanté sur un chaînon calcaire sculpté par l'érosion, ce relief résulte de l'accumulation de sédiments dans une mer jurassique il y a 170 millions d'années. Dans ce boisement inscrit à l'inventaire des Espaces Naturels Sensibles du département de Sâone-et-Loire, le sentier permet l'exploration d'un habitat forestier qui profite de la chaleur méridionale jusqu'en Bourgogne du Sud. Sur les traces du botaniste Émile Chateau, du sous-bois humide et moussu à la canopée brûlée de soleil, vous découvrirez les différentes associations forestières de ce haut-lieu de la biodiversité bourguignonne.

Un sentier de découverte, balisé et accessible à tous. Ponctué de bornes d'interprétation et d'une table de lecture du paysage, il révèle la diversité géologique du lieu. Roches volcaniques et granitiques formées il y a 300 millions d'années, roches sédimentaires témoins de la présence de la mer sur la région, gisement regorgeant d'empreintes des ancêtres des premiers dinosaures.

Sentier historique, pédagogique et culturel sur le rôle des résistants pendant la seconde guerre mondiale. Le parcours situé sur plusieurs communes (Brancion, Cruzille, Martailly-les-Brancion, Bissy-la- Mâconnaise, Tournus, Lugny, Blanot), se fait grâce à un livret (fourni dans les offices de tourisme et mairies du secteur concerné : clunisois et surtout le tournugeois). Le livret décrit les différentes interventions des résistants dans les villages. Sur place, une signalétique adaptée avec un numéro d'identification marque le lieu d'histoire.

Départ parking Pierre de Couhard. Face à l’église, prendre le chemin à gauche qui longe le bief et le suivre pendant 1 km jusqu’à la passerelle, que l’on traverse. Tourner à gauche, et 75 m plus loin suivre le balisage jaune et vert pour monter en zigzag les 100 marches jusqu’à la route forestière. Tourner à droite, et 100 m plus loin un sentier monte à gauche. Continuer 80 m puis rejoindre le sentier par les marches à gauche. Après 600 m tourner à droite. Descendre, traverser la route, prendre le chemin en face et 100 m plus loin prendre le chemin à gauche. Après 1 km tourner à droite sur la route que l’on suit par l’Etang des Cloix jusqu’à l’entrée du parc de Montjeu. Prendre le chemin à droite qui longe le mur pendant 2,25 km jusqu’à la route. Tourner à gauche puis 50 m plus loin prendre la route à droite jusqu’à la Croix de la Libération. Face à la ville, prendre le chemin qui descend à droite (balisage GR rouge et blanc). Après 400 m tourner à gauche puis 600 m plus loin suivre le chemin à droite, et après 750 m à gauche pour sortir des bois. Suivre le fléchage vers Couhard à gauche puis prendre la 2ème rue à gauche. 200 m plus loin, au portail du parc, suivre le balisage et descendre un petit goudron (la rue du Moulin Gamet) et continuer tout droit, au bout de l’impasse, emprunter un sentier puis prendre à droite. Monter le sentier et prendre le chemin à gauche et le suivre pendant 500 m en remontant le bief. Traverser la route et remonter la rue de la Cascade puis suivre le bief devant les maisons à gauche pour revenir au point de départ.

Itinéraire au départ de Autun (GR 131) via Saint-Sernin-du-Bois (GR 137) jusqu’à Nolay.

Bibracte Enfouie sous la "jungle" morvandelle, au sommet du Mont Beuvray, sommeillait l’une des plus puissantes villes gauloises. Réveillée au 19e siècle, la cité antique ressurgit peu à peu dans un écrin de 1000 ha de forêt classés au titre de Site naturel. Au départ de la balade sur ce Grand Site de France, la reconstitution de la porte d’entrée monumentale de l’oppidum donne la mesure des 6,5 km de remparts qui le ceinturaient. Sur ces lieux historiques où Vercingétorix fut élu chef des chefs, le mégalithe naturel de la pierre de Wivre en marque, dit-on, l’emplacement. Le décor sauvage et les étranges hêtres tordus dégagent une atmosphère propice aux légendes. Suivant le fil des anciens remparts, la balade en pleine nature alterne sites archéologiques et points de vue exceptionnels sur les paysages du Morvan.

Avec en toile de fond les bois suspendus sur les collines et des nappes de verdure jetées sur les pentes et dans les vallons, la balade relie cinq lavoirs idéalement distribués sur le parcours. Et quels lavoirs ! Chacun de ces petits édifices du début du 19e siècle, qui évoque un mode de vie encore si proche, regroupe lavoir, fontaine et abreuvoirs, parfois à auges multiples. De l’un à l’autre, le sentier s’ouvre sur les panoramas clunisois et les haussements broussailleux de ses collines. Auprès de ce petit patrimoine rural, dans l’église de Lournand, à la chapelle de Collonges ou encore au pied de la tour de Chevagny, les haltes se font nostalgiques, contemplatives, méditatives, mais toujours récréatives.

L’agréable grimpette qui mène jusqu’à la crête offre une position dominante sur un tapis de champs et de vignes piqué de hameaux épars, le plateau d’Hurigny. Dans ce paysage exquis qui respire l’harmonie, un beau clocher roman couve avec bienveillance un des villages typiques du Mâconnais dont le patrimoine bâti fait l’objet d’un autre circuit. Le sentier court le long des lignes de crêtes, coiffées de bois ou habillées de landes, encadrant le plateau. Sur les monts, les orchidées sauvages égayent au printemps la végétation rase et précieuse des pelouses calcaires. Depuis les hauteurs du Gros Mont, la vue embrasse les roches du Mâconnais (Solutré, Vergisson…) et l’immense panorama de la vallée de la Saône, de la ville de Mâcon et des premiers contreforts du Jura.