Le sentier Saône et Doubs longe les rives de ces deux rivières et traverse Verdun-sur-le-Doubs, paradis des pêcheurs et capitale de la pôchouse ainsi que le charmant village de Saunières. Le parcours traverse des pâquiers, aussi appelés pâturages où paissent de nombreux chevaux et bovins.
Sentier de découverte accessible en permanence (sauf en période de crues) où le fil conducteur du fléchage est un martin-pêcheur. Cheminement dans un site remarquable et protégé qui abrite une faune ornithologique et une flore diversifiées : plus de 160 espèces d'oiseaux (martin-pêcheur, guêpier d'Europe, gorge bleue à miroir…). La saison la plus favorable pour observer les oiseaux se situe au printemps et à l'automne. Il faut cependant veiller à ne pas déranger les oiseaux pendant les périodes de reproduction. Equipements : bonnes chaussures ou bottes, prévoir des jumelles.
Du parking du camping des Meuniers, se diriger vers le centre de Dompierre-les-Ormes. Arriver sur la D 41 (rond-point).
Tourner à gauche et aller en direction de l’église. Monter à droite comme pour y entrer, la contourner et prendre à droite en direction du hameau des Ormes ; descendre tout droit ; après le hameau, le chemin plonge vers l’ancienne voie ferrée.
En bas, avant le pont, prendre à gauche la petite route qui rejoint cette ancienne voie, à suivre tout droit en traversant l’ancienne gare. Après avoir longé une carrosserie industrielle, avant un nouveau pont, plonger vers la droite pour rejoindre l’étang de Pézanin. Traverser la digue et tourner immédiatement à droite pour le longer sur environ 200 m.
S’avancer à gauche sur un petit chemin herbeux et ombragé. L’itinéraire oblique à droite pour longer un bois, puis franchit un ruisseau à droite. Monter alors par un raidillon pour atteindre et traverser une imposante ferme. Par sa route d’accès, rejoindre Frouges.
Bifurquer à gauche, puis à droite à l’intersection suivante. Le chemin rejoint une route à prendre à droite.
Au croisement de Bois du Lin (croix), continuer dans la même direction. La route franchit un ruisseau puis remonte pour passer près d’une zone artisanale. Garder la direction et déboucher sur la D 41 ; la suivre à droite et rejoindre le rond-point des Meuniers.
Par la gauche, retrouver le point de départ.
Cette boucle à travers champs et bois vous conduira à Farges-les-Chalon, commune située dans la vallée de la Thalie et jouxtant l’aérodrome de Champforgeuil. Vous pourrez y découvrir l’église de Farges du XIXe siècle avec réemplois romans des XIe et XIIe siècles.
Max a trouvé dans son grenier un ancien album photo de son grand-père. Les vieilles photographies prises à Saint-Didier le charment : des fermes typiques, de beaux étangs de pêche, des volailles appétissantes. Ni une, ni deux, Max entraîne son ami Jack sur les traces de son aïeul, mais les choses ont bien changé depuis les années 1950.
Depuis le château, l’itinéraire rejoint les calmes prairies de la vallée de la Saône. Le site de Varennes-les-Mâcon, a été très tôt fréquenté ; de nombreux silex datant de 11 850 avant notre ère et les vestiges de deux villages ont été découverts lors de la création du lac. On chemine, ici, sur les pas de nombreuses populations qui, jadis, suivaient la rivière par la Via Agrippa.
Jack la Panouille a passé de longues années de son enfance à Allériot. Il en garde le souvenir d’une jeune fille de Bey dont il est toujours secrètement amoureux. Avec l'aide de Max, Jack décide de prendre son courage à deux mains et d’aller déclarer son amour à la belle Adélaïde. Des énigmes jalonnent le parcours pour aider les deux amis à atteindre leur but.
Une douce grimpette ouvre progressivement la vue sur le plateau d’Hurigny. Ourlé de ciel et festonné de crêtes, le plateau étale la couleur au couteau, en épaisseur irrégulière. Bien visibles, les maisons du village typiquement mâconnais d’Hurigny papotent autour du clocher roman. Les bois, les champs, les vignes brossent la toile ondulée d’une campagne organisée en un soigneux désordre qui semble avoir fait provision de sourires. Cheminant sur la crête, l’œil part à la cueillette de points de vue charmants comme d’un patrimoine rural attachant semé aux limites d’un champ, en lisière ou au cœur d’un hameau : croix de fer forgé, lavoirs mais également puits. Il fallait, sur le plateau, aller capter l’eau qui ruisselle en coulisse. A Salornay, l’ancien château féodal au dessin tourmenté embellit le premier plan du panorama qui s’agrandit ici vers la plaine de la Saône et la Bresse.
Le village souriant aux belles maisons mâconnaises conserve de son important passé clunisien d’autres bâtiments classés et une tradition d’accueil vivace. La balade s’échappe du bourg aux pierres dorées, laissant en chemin prairies et mégalithe, pour s’enfoncer gaiement dans la forêt des Trois Monts. Cet univers boisé aux nombreuses essences d’arbres offre un habitat naturel préservé au gibier, sangliers et chevreuils. La lumière joue sous les ramures et les sentiers embaument. Deux haltes s’imposent sur le parcours : à la maison forestière de Jalogny et à la fontaine Cébée. Celle-ci abrite au cœur de la forêt la source qui alimenta longtemps le village en eau potable.
Cet itinéraire, entre bois et vignes, mène à la découverte des carrières de gisement calcaire de La Salle et Saint-Albain et sur les terres de l’appellation Viré-Clessé. Sur le retour, on aperçoit les vestiges du château de La Salle et sa chapelle, édifiés au XIIe siècle au bord de la Mouge, sur le passage de l’ancienne route allant de Mâcon à Tournus.
Le hameau de “La Madeleine” est situé à quelques kilomètres au sud-est de Saint-Martin-en-Bresse. Il fût le théâtre d’évènements tragiques qui se sont déroulés les 8 et 9 mars 1944.