Que l'on parte d’un sens ou de l’autre, cette variante GTMC entre Autun et La Tagnière promet un parcours sportif sur des chemins agréables avec de beaux paysages à découvrir en Autunois-Morvan. On retrouve Autun bien sûr, avec sa cathédrale magnifique et ses vestiges gallo-romains à ne pas rater. Le plan d’eau du Vallon, d’où démarre la GTMC, est parfait pour un moment détente et farniente avant de partir à l’aventure. Sur le parcours, gravir les monts de l’Autunois comme le Tronchet ou le Montet où évidemment, on en prend plein les yeux tant les paysages sont impressionnants. Entre les forêts, on aperçoit Mesvres, village typique plein de charme où il est possible de faire une petite halte pour se restaurer. Autre arrêt mémorable, le signal d’Uchon connu aussi comme "la Perle du Morvan", envoûte de ses chaos granitiques uniques. A La Tagnière, autre village pittoresque du coin, on admire les deux impressionnants châteaux. L’ancienne forteresse de Trélague, dont le donjon carré est toujours visible, est une propriété privée qui permet cependant la visite de son parc. Le château de Champignolle, lui, ne se visite pas mais un coup d’œil suffit pour apercevoir son jardin remarquable et sa façade classée Monument Historique. Une véritable aventure ponctuée de curiosités !
A 15 minutes à pied de l'ancienne école de Perrigny, le sentier forestier du Long Bois a une double vocation pédagogique, et de loisirs. Il s'adresse au public scolaire tout comme au promeneur, averti ou amateur et constitue un lieu privilégié d'observation et de découverte de la faune et de la flore. Plusieurs métiers de la forêt y sont présentés sous forme de reconstitutions.
- Traverser la place, puis quitter la D125 en suivant la route à droite.
- 300 m plus loin, continuer à droite. Un arrêt s’impose à la source de la Guye : rivière poissonneuse qui s’en va rejoindre la Grande bleue suite aux rencontres avec la Grosne, la Saône et le Rhône.
- A la ferme, gravir le chemin à droite, suivre à gauche pour retrouver la route à Champroye.
- Prendre 2 fois à droite et grimper jusqu’au carrefour de la “Croix cassée”. Prendre le chemin le plus à gauche puis à nouveau à gauche au croisement.
- 500 m plus loin tourner à droite, traverser le hameau de Chaumont. A l’intersection suivre la route par la gauche.
- Au carrefour emprunter le chemin, en face, conduisant au bois de JAMBLES, passer à gauche de la cabane des chasseurs.
- Suivre le chemin ombragé qui descend vers l’Abergement, remonter à droite au lavoir puis à gauche pour sortir sur la D48.
- L’emprunter par la gauche sur 300 m. Prendre à droite direction MOREY et tourner aussitôt à gauche. Descendre la route menant aux Tâches d’en bas puis le chemin qui passe près d’un étang avant de remonter à gauche et retrouver la D48.
- Traverser cette route (attention danger) pénétrer dans le petit bosquet, suivre le chemin et le sentier qui longe un pré.
- Couper la D125 et descendre, en face, le chemin ombragé qui se rapproche plusieurs fois des virages réputés de cette route, théâtre de la course de côte annuelle des Clouneaux.
- Suivre toujours tout droit, retrouver une petite route puis à nouveau un chemin pour bifurquer à gauche avant le hameau de Vallerat.
- Descendre le chemin qui conduit vers la place du village et le point de départ face à la mairie.
Cette boucle à travers champs et bois vous conduira à Farges-les-Chalon, commune située dans la vallée de la Thalie et jouxtant l’aérodrome de Champforgeuil. Vous pourrez y découvrir l’église de Farges du XIXe siècle avec réemplois romans des XIe et XIIe siècles.
Max a trouvé dans son grenier un ancien album photo de son grand-père. Les vieilles photographies prises à Saint-Didier le charment : des fermes typiques, de beaux étangs de pêche, des volailles appétissantes. Ni une, ni deux, Max entraîne son ami Jack sur les traces de son aïeul, mais les choses ont bien changé depuis les années 1950.
Au départ de Bibracte, ancienne capitale des Eduens, élancez-vous pour un circuit en boucle à travers le Morvan et ses chemins balisés pour découvrir un patrimoine riche, un environnement naturel où la nature est omniprésente ! Dévalez les pentes du Morvan avec votre VTT. Sur votre chemin, vous croiserez des villages typiquement morvandiaux avec leurs curiosités patrimoniales, comme Saint-Léger-sous-Beuvray et son église néo-romane. Véritable mix entre une église et une basilique, ses piliers vous rappelleront ceux de la cathédrale Saint-Lazare d’Autun. Plus loin sur le parcours, profitez de l’étang de Poisson pour faire une pause pique-nique et reprendre des forces avant de terminer l’aventure. Sachez qu'il est aussi appelé "étang des gaulois". Il est prisé des pécheurs pour ses carpes et sa vue imprenable au pied du Beuvray. Admirez les paysages forestiers ainsi que les petits hameaux avant d’arriver à ce dernier, dernière ligne droite du parcours. Faites chauffer les mollets, le retour à Bibracte se mérite ! Culminant à 810 m, le Mont Beuvray offre un magnifique panorama sur le Morvan. Encore un petit effort, l’ancienne capitale des Eduens n’est plus très loin et se laisse apercevoir au fil de votre avancée. A votre arrivée, profitez-en pour visiter le musée, le site de fouilles archéologiques et la magnifique forêt de hêtres aux arbres si étranges.
Depuis le parc de Ruffey, c’est parti pour un parcours exigeant pour l’ascension du Chemin des Moines en passant par le col du Navois : direction Brancion et son château médiévale du XIIè siècle, une descente avec un point de vue sur la vallée de la Grosne pour arrivée au hameau de Balleure, fontaines, lavoirs et son château du XIV siècle.
Direction Hameau de Corlay, haut lieu de la résistaint-Martin et admirer l'église romane récemment restaurée. Profiter du belvédère sur la vallée de la Saône et de la Grosne.
Commune pittoresque dont les maisons s'étagent sur le versant est de la Vallée des Vaux, à 9 km
de Givry. Saint-Mard-de-Vaux est dominée par le Montabon, colline boisée de châtaigniers, chênes, charmilles, robiniers (variété d’acacias). Outre l'activité viticole, le village a longtemps vécu de la forêt, dont la superficie recouvre les deux tiers du territoire. De cette tradition forestière est issu le surnom de ses habitants, les "Loups". Au cours des siècles, la paroisse changea plusieurs fois de nom : Saint-Médard, Saint-Marc, Montabon durant la Révolution, puis définitivement Saint-Mard-de-Vaux au XIXe siècle, "Mard" étant la contraction de "Médard", évêque de Noyon du VIe siècle.
Circuit varié, bien équilibré assez long mais sans difficulté. De hameaux (Agneux et les grottes - petite incursion possible en suivant les indications du GR) en villages (Nantoux, Aubigny), de vallées en collines, il vous permettra de découvrir les paysages viticoles. Vous vous promènerez du nord au sud et du sud au nord entre les vignes, sur des chemins bordés de murets et de buis et en lisière de forêts.
L’Espace Naturel Sensible du Pont du Roi est situé aux portes du Morvan, sur la commune de Saint-Emiland, à l’extrême sud de la retenue d’eau potable.
L’immensité de la retenue d’eau se mêle à la densité des forêts offrant un intérêt écologique exceptionnel sur l’ensemble de ce secteur.
La « forêt de Ravin et landes du Vallon du Canada, barrage du Pont du Roi » est d’ailleurs intégré au réseau européen Natura 2000.
Ainsi, le long d’un parcours aménagé (panneaux pédagogique, plateforme bois, palissade d’observation…) d’environ d’1 km, vous découvrirez de nombreux milieux naturels aussi riches que passionnants alors…en route pour le voyage !
La partie inondable de ce parcours de découverte est accessible uniquement lorsque le niveau de la retenue est bas.
Accès libre et gratuit toute l’année.
Des visites, accompagnées d’un animateur nature sont organisées au printemps et en été.
Saint-Sernin-du-Bois, classé Cité de Caractère de Bourgogne-Franche-Comté, est le témoin de plusieurs siècles d’histoire : vestiges de la voie romaine d’Autun à Mâcon, prieuré du XIe siècle, donjon du XIVe, barrage du début du XXe siècle. Cette balade « Nature et Patrimoine » fait la part belle aux panoramas et à l’observation, offrant une diversité
écologique et architecturale. À ne pas manquer : la zone humide du marais de Fontaine Sainte permet d’observer depuis son ponton de nombreuses espèces de plantes.
Montchanin, né en 1854 au cœur d’un bassin houiller exploité essentiellement au 19e siècle, se situe à un nœud de communication. Le canal du Centre et le chemin de fer ont contribué à son essor incitant les Schneider a y implanter un pôle sidérurgique. Parallèlement, l’argile a fait de la ville la capitale de l’industrie de la tuile et de la céramique.
À ne pas manquer : l’imposante fonderie Henri-Paul, à proximité du canal du Centre.