Cette petite balade furète au cœur du village d’Hurigny, typique du Mâconnais, doté de maisons vigneronnes à galerie au charme intemporel. Serrées autour de places, elles font bon voisinage avec l’habitat plus récent, enfoui sous les fleurs et la végétation. Lavoir, puits patinés, porches des cours fermées, croix émoussées des chemins illustrent un patrimoine rural attachant hérité du 19e siècle. Le château, élégante bâtisse ornée d’un parc aux arbres remarquables, s’accompagne d’un tinailler (où se fabrique le vin), de communs et d’une curieuse chapelle rectangulaire datant de la Renaissance. Construit à la fin du 17e siècle par un oncle de Lamartine, le château accueillit fréquemment le poète à l’allure élancée dont l’église couronnée d’un clocher octogonal, sur la place du bourg, garde aussi la mémoire.

Une douce grimpette ouvre progressivement la vue sur le plateau d’Hurigny. Ourlé de ciel et festonné de crêtes, le plateau étale la couleur au couteau, en épaisseur irrégulière. Bien visibles, les maisons du village typiquement mâconnais d’Hurigny papotent autour du clocher roman. Les bois, les champs, les vignes brossent la toile ondulée d’une campagne organisée en un soigneux désordre qui semble avoir fait provision de sourires. Cheminant sur la crête, l’œil part à la cueillette de points de vue charmants comme d’un patrimoine rural attachant semé aux limites d’un champ, en lisière ou au cœur d’un hameau : croix de fer forgé, lavoirs mais également puits. Il fallait, sur le plateau, aller capter l’eau qui ruisselle en coulisse. A Salornay, l’ancien château féodal au dessin tourmenté embellit le premier plan du panorama qui s’agrandit ici vers la plaine de la Saône et la Bresse.

Prendre la rue à droite de la place (direction mairie, roseraie). A la fourche, monter à gauche. Au croisement perpendiculaire, tourner à gauche. Lorsque la rue fait un coude à droite, la quitter et prendre le chemin légèrement à gauche. Le suivre tout droit. Il descend vers la rivière la Canche. A la rivière, tourner à gauche, emprunter la passerelle. Continuer jusqu'à la D978 route de Château-Chinon. Tourner à droite, passer devant la scierie. A 50m traverser la route et prendre le chemin en face. Après 300m de forte pente, le chemin fait un coude à gauche et grimpe jusqu'à une petite route. Suivre cette route par la gauche pour arriver au Grand Mizieux. Dans le hameau, après la 2ème maison à gauche (long bâtiment) descendre par la ruelle pour rejoindre une petite voie goudronnée. La suivre par la gauche. Au puits, continuer tout droit par le chemin herbeux qui descend vers la Celle-en-Morvan d'abord gentiment puis rapidement jusqu'à une place de dépôt de bois. La traverser pour trouver une voie goudronnée qu'on prend à gauche jusqu'au cimetière. Venir devant le cimetière et longer le mur par la droite pour retrouver l'ancien chemin creux (éviter la place de bois souvent boueuse). Continuer tout droit le chemin parallèle à la rivière. A la Planche St Agnan, on peut, en empruntant la passerelle à gauche, traverser la Canche et rejoindre directement le bourg. Sinon, continuer tout droit en suivant la vallée jusqu'à la ferme des Mériaux. Passer dans la cour et prendre la voie goudronnée. A 200m, prendre le chemin à gauche. Il conduit à la D978 près de la boulangerie-épicerie. Traverser la D978 et suivre la route D2, direction Anost. Après quelques mètres, tourner à gauche devant l'école. Au 1er carrefour, prendre encore à gauche, longer la Roseraie et la Mairie. Tout droit rejoindre la place du 19 mars 1962.

Depuis Berzé-la-Ville, le sentier prend son envol, à la conquête panoramique du Val Lamartinien. Sur des chemins où la roche affleure, l’horizon dessine avec douceur des pleins et des déliés. Des sommets, les bois coulent dans une mosaïque de prairies parsemée d’habitations. De vastes prés habillent les vallons fertiles, le buis règne en hauteur sur les pierriers. Le petit patrimoine révèle un lavoir, un calvaire ou encore un curieux puits à deux étages. A mi-parcours, la forteresse de Berzé-le-Châtel prend possession d’une vue imprenable. Le retour sur Berzé-la-Ville réserve la découverte des exceptionnelles peintures romanes de la chapelle des Moines et de rares fours à gypse du 19e siècle. Témoins des débuts de l’industrialisation, ces derniers assuraient la transformation en plâtre du gypse extrait sur place. Suivre le balisage jaune.

Sortir du parking en prenant la direction du totem et emprunter le goudron sur la gauche, au bout de 700 m au premier carrefour se trouve la fontaine de Charas. Continuer tout droit sur 100 m puis prendre à gauche le chemin jusqu’au carrefour de Corcelles et vous continuez encore tout droit jusqu’à la route en passant devant le lavoir de Corcelles. Traverser la route et continuer sur le chemin en suivant le balisage sur 1.1 km avant de rejoindre la route de Mesvres au carrefour prendre à droite et faire quelques mètres sur la route avant de basculer à gauche sur un petit goudron, en contrebas se trouve un carrefour (Les Hauts de Trêt), la suite de la randonnée est sur la gauche Pour aller visiter le lavoir les hauts de Trêt suivre le balisage de ce dernier sur 300 m à droite. Au carrefour les Hauts de Trêts poursuivre à gauche en direction de Corcelles, continué tout droit sur 900 m entre goudron et chemin, sur la gauche apercevez le lavoir « Les Levées » A la sortie du sentier, prendre à droite et parcourir 100 m sur le chemin utilisé à l’allé, puis au carrefour continuer à gauche direction Montagny sur 500m, juste avant de rejoindre la route de Mesvres prendre à droite le chemin qui descend. En bas du chemin emprunter le goudron à droite. Au carrefour * continuer tout droit par route des Mouillons en passant par les Chaintres pour un retour au parking de départ env1.4 km. *Au carrefour pour visiter le lavoir de Montagny prendre à gauche sur 100m puis le chemin à droite, le lavoir ce situe au bout du chemin. Au retour retourner jusqu’au carrefour.

- Départ Beurey (où sont situés les le panneaux RIS), descendre le sentier jusqu’au GR7, prendre à gauche le GR7. Tourner à droite au croisement des chemins. - Traverser la route, continuer sur le chemin en face et prendre le premier chemin à gauche qui traverse le champ. - Tourner à droite et suivre le chemin qui monte au sommet du Mont de Rème. (balisage jaune) - Longer le bord du plateau à gauche puis, suivre le sentier qui commence à redescendre, tourner à gauche puis, à droite pour revenir sur un chemin qui va à Viécourt. - Dans le hameau tourner à gauche puis prendre la rue à droite. - 300 m plus loin à la patte d’oie, bifurquer à gauche, traverser la route et prendre la petite route en face. Retraverser une route et continuer sur le chemin qui monte en face. - Traverser le croisement des chemins tout droit et continuer pendant 750 m. - Tourner à gauche et prendre le chemin qui traverse la Grande Chaume entre les champs. - A l’étang, prendre la route à gauche pendant 900m puis au carrefour prendre le chemin à gauche (direction Saint-Gervais). - Après 500 m vous êtes revenus au point de départ.

Départ Place de l'église à Roussillon (parking) Revenir au carrefour en passant devant l'ancienne auberge. Prendre à droite la D277, la suivre en direction d'Aigreveau. Après l'étang, à la fourche, monter à gauche pour rejoindre ce hameau. La route forme un coude vers la gauche, la suivre encore sur 200 m jusqu'à l’embranchement où il faut prendre à gauche le large chemin de terre qui monte sur la crête. A 800 m environ, prendre à droite une ancienne voie gauloise. Elle descend puis monte sur le plateau du Haut des Ruets. Là, tourner à gauche dans le chemin perpendiculaire, le suivre sur 500 m. Tourner à droite dans le chemin en face d'une maison isolée du hameau de Jeusot. Il traverse un petit bois et rejoint une autre voie gauloise aujourd'hui goudronnée. Prendre à droite cette voie sur 300 m. A la fourche, la quitter en prenant à droite encore pour descendre dans le hameau des Barbeaux. Tourner encore à droite entre les maisons. Le goudron disparaît bientôt au profit d'un chemin empierré qui descend rapidement jusqu'au gué du ruisseau des Ruets (ou Bruets). Traverser le ruisseau et prendre à gauche un bon chemin qui amène au moulin des Viollots au bord de la Canche. Emprunter la route D277 à droite et la quitter rapidement après le moulin pour prendre sur la gauche le chemin qui longe le bief et le ruisseau. Ce chemin grimpe assez rudement au début. A mi-parcours (côte 511), à la fourche, continuer tout droit la montée pour revenir au bourg de Roussillon, et tout droit à la Place de l'église.

- Traverser le parking derrière la mairie en oblique vers la droite pour prendre un chemin de terre qui rejoint le tracé de l'ancienne voie de chemin de fer. La prendre à droite. - Traverser le pont du chemin de fer et prendre immédiatement sur la droite le sentier qui redescend sur la rue Roger Salengro. Continuer tout droit sur la D43 direction « La Drée », et prendre la première à droite vers le camping. - Passer devant l’Office de Tourisme, continuer tout droit le long de la rivière, passer le pont à droite juste avant le camping et continuer sur la gauche. Longer la rivière, jusqu’à la prochaine passerelle à gauche. (Attention passerelle très glissante). Suivre le chemin jusqu’à la route goudronnée, prendre à gauche. - Au stop, traverser la départementale, continuer sur la gauche et prendre la première rue à droite « Rue Jean Diot », et la première à gauche « Rue Barlibeau ». Tout droit sur environ 1 km (vue sur la tour Malakoff), prendre un petit chemin à gauche qui descend entre deux prés (attention ne pas aller jusqu’au carrefour de la nationale). Tout droit, passer un petit pont en fer gris, continuer jusqu’à la route. - Prendre tout de suite à gauche, le petit chemin « Promenade de Monestoy », tout droit pendant 800 m, passer devant l’ancienne gare, tout droit sur un petit chemin, puis une route (repère tour sur la gauche). - Au stop, traverser et prendre en face l’Allée François Mitterand, continuer jusqu’au parking de la mairie.

Nous sommes au cœur du Val Lamartinien, où s’élèvent le château de Montceau et le pavillon de la Solitude ayant appartenu à Lamartine. Le village du vieux Saint-Sorlin a été façonné par la vigne. Les carrières de la Lie, Colonge et son lavoir complètent les richesses culturelles d’un circuit également très nature.