Au départ du charmant village de Saunières, le sentier Saône et Doubs longe les rives du Doubs puis de la Saône. Vous passerez à proximité de Verdun-sur-le-Doubs, paradis des pêcheurs et capitale de la pôchouse ainsi que de l'île du château, espace naturel sensible. Le parcours traverse des pâquiers, aussi appelés pâturages, où paissent chevaux et bovins.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Un beau circuit pour ceux qui recherchent les chemins paisibles, à l’ombre ou au bord de l’eau. Les amateurs de patrimoine seront ravis de découvrir les belles maisons, une chapelle et l’église romane.
Sentier de découverte accessible en permanence (sauf en période de crues) où le fil conducteur du fléchage est un martin-pêcheur. Cheminement dans un site remarquable et protégé qui abrite une faune ornithologique et une flore diversifiées : plus de 160 espèces d'oiseaux (martin-pêcheur, guêpier d'Europe, gorge bleue à miroir…). La saison la plus favorable pour observer les oiseaux se situe au printemps et à l'automne. Il faut cependant veiller à ne pas déranger les oiseaux pendant les périodes de reproduction. Equipements : bonnes chaussures ou bottes, prévoir des jumelles.
Entre histoire locale et patrimoine naturel, ce parcours vous conduira de sous-bois en bord de Loire ; ainsi vous pourrez cueillir du muguet au printemps et admirer le bord de Loire au fil des saisons.
Cette boucle à travers champs et bois vous conduira à Farges-les-Chalon, commune située dans la vallée de la Thalie et jouxtant l’aérodrome de Champforgeuil. Vous pourrez y découvrir l’église de Farges du XIXe siècle avec réemplois romans des XIe et XIIe siècles.
Max a trouvé dans son grenier un ancien album photo de son grand-père. Les vieilles photographies prises à Saint-Didier le charment : des fermes typiques, de beaux étangs de pêche, des volailles appétissantes. Ni une, ni deux, Max entraîne son ami Jack sur les traces de son aïeul, mais les choses ont bien changé depuis les années 1950.
Jack la Panouille a passé de longues années de son enfance à Allériot. Il en garde le souvenir d’une jeune fille de Bey dont il est toujours secrètement amoureux. Avec l'aide de Max, Jack décide de prendre son courage à deux mains et d’aller déclarer son amour à la belle Adélaïde. Des énigmes jalonnent le parcours pour aider les deux amis à atteindre leur but.
A l’instar du Blandenan qui coule au milieu du bocage où broutent quelques belles charolaises, la balade s’en va serpenter dans l’herbe appétissante des pâturages. Le parcours croise plusieurs étangs qu’alimente la petite rivière. Le bucolique étang de Beauchamp est aussi le rendez-vous de carpistes passionnés dont les prises sont toujours prétextes à de jovials échanges. Poursuivant sa route à travers l’éclatante verdure du paysage, la balade rencontre au creux d’un vallon ou à l’orée d’une forêt des fermes isolées ou encore un château et offre quelques superbes panoramas sur une marqueterie de prés et de bois. Au retour à Neuvy-Grandchamp, le musée du machinisme agricole et ses 500 machines anciennes en état de marche clôture la balade par une amusante remontée dans le temps, jusqu’à la Belle Epoque.
Idéalement placé au sommet d’un coteau, le bourg de Mailly vous offrira une magnifique vue sur le bocage brionnais. Puis, au hameau des Chavannes, vous profiterez d’un panorama qui s’étend de la vallée de la Loire aux Monts de la Madeleine.
Dans le drapé des douces collines brionnaises palpite le village de Coublanc. De là, le chemin part à travers champs sur les joues rebondies d’une campagne exquise, frôlant les ruisseaux, enjambant les rivières, se rassasiant d’insaisissables instants créateurs de bien-être et de mille ravissants tableaux d’une simplicité champêtre. Les vaches au pré. Un pommier. Quelques barrières hérissées qui ne retiennent pas l’herbe. Un petit monde animé par l’humeur du vent, par les oiseaux, par un chevreuil parfois, question de chance. On se sent bien au pays de la blondeur des pierres qui habillent les veilles fermes traditionnelles, les hameaux et le cœur du village. C’est la rusticité du patrimoine dans sa vérité solide et nue, harmonieuse, sans austérité. Mais d’où vient le supplément d’âme de cet attachant terroir ? La réponse est dans l’air ou peut-être devant l’émouvante réplique de la grotte de Lourdes édifiée en 1935.