Circuit en boucle permettant de découvrir le village de Rully, à faire en famille. Passage par le Château de Rully et découverte du patrimoine de Rully et de ses vignes. Entre lavoirs, cadoles et murs en pierre.
Ce circuit à l'intérieur du village est accessible à tous, y compris à de jeunes enfants.
Il permet de découvrir les charmes du village, sa richesse architecturale, ses deux châteaux, la diversité de son habitat, ses ruelles étroites, sa rivière (la Thalie), ses lavoirs... Il offre également de belles perspectives sur son environnement. N'oubliez pas votre appareil photo.
Point de départ : parking de la Salle Polyvalente, un panneau descriptif présente le circuit (RIR). Le premier poteau indicateur se trouve contre le mur du parc du château, côté village.
- Partir en direction du hameau des Valottes, prendre à droite un chemin de terre qui conduit sans difficulté (attention à la traversée de la D981) au Château du Thil. Le contourner sur deux côtés avant de prendre à gauche la direction du bourg de CHENOVES.
- Grimper, à gauche, pour passer devant l’église et son calvaire (classé) du XVIème siècle. Emprunter plein nord le GR 76. Le quitter, 1 km plus loin, pour rejoindre à droite Lacassine : beau panorama.
- Descendre le sentier étroit et pierreux au bout de la maison et traverser le hameau de la Tour situé sur la commune de SAINT-VALLERIN. Suivre le balisage dans les vignes, couper la D981 pour rejoindre le hameau de la Guiche, commune de JULLY-LES-BUXY.
- Direction le bourg de JULLY-LES-BUXY, prendre le chemin à droite qui peut se révéler boueux par temps de pluie.
- Après avoir coupé la Voie Verte, retrouver le bois des Valottes et terminer la randonnée à l’abri des chênes et des charmilles.
- Départ du Prieuré, une petite visite s’impose : ce monument du XIIe siècle a été classé monument historique en 1973. En quittant le monument, prendre à gauche à l’angle de la maison.
- En descendant la petite route vicinale à droite, le calvaire, puis une maison à colombages. Continuer sur la gauche. Dans la 2e rue à droite, le lavoir, alimenté par une source abondante.
- Revenir sur vos pas et continuer jusqu’au Château et, avant de continuer le chemin des vignes, vous apercevez un magnifique platane qui se situe à l’entrée du village, sur la départementale n°28 côté Est. Avant de passer sur le pont du TGV, vous pourrez vous asseoir sous l’arbre de la Liberté.
- Passer le pont, tourner à gauche et longer la ligne. Traverser le pont à gauche. Après la pancarte Le Puley, dans le virage, prendre à droite le chemin de l’école.
- A l’entrée de ce chemin, dans le pré de droite, un exploitant agricole a découvert en 1975, une croix sculptée, d’un côté Marie tenant son enfant dans ses bras et de l’autre le Christ. A voir dans le cœur de l’église. Au bout du chemin, tourner à gauche au lieu-dit La Malterre. Passer le petit pont du Brénon et tourner à gauche en direction de la gare.
- Continuer au centre du village en passant devant l’Auberge. Traverser de nouveau le Brénon et remonter vers l’église.
Loin du brouhaha des cités, partageant le flanc de la même montagne, deux hameaux se sont soudés. Et dans le petit village perché, le temps aussi fut suspendu. De vieilles maisons, la fontaine, le lavoir, conservent leur toit de laves et la mairie son muret. Trop petit pour être une paroisse, le village possède sa chapelle, construite au XVIIe, et des calvaires. Autour, il y a les prairies, la pelouse sèche, les buis et la forêt, qui joue avec ses charmes et déploie ses grands chênes. A l’orée de la forêt, la balade nous attend au théâtre de verdure, si bien nommé, qui magnifie une ancienne carrière. Peu à peu le sentier botanique nous révèle les secrets du paysage et son histoire, l’abandon des cultures, l’emprise éteinte de la vigne exécutée par le phylloxéra, le retour des bois… Des panneaux nous interpellent, sur la faune et la flore, et l’horizon nous appelle, depuis la plaine de la Saône, depuis la Côte Chalonnaise, depuis la Bresse et jusque, par temps clair, depuis les Alpes.
Le village souriant aux belles maisons mâconnaises conserve de son important passé clunisien d’autres bâtiments classés et une tradition d’accueil vivace. La balade s’échappe du bourg aux pierres dorées, laissant en chemin prairies et mégalithe, pour s’enfoncer gaiement dans la forêt des Trois Monts. Cet univers boisé aux nombreuses essences d’arbres offre un habitat naturel préservé au gibier, sangliers et chevreuils. La lumière joue sous les ramures et les sentiers embaument. Deux haltes s’imposent sur le parcours : à la maison forestière de Jalogny et à la fontaine Cébée. Celle-ci abrite au cœur de la forêt la source qui alimenta longtemps le village en eau potable.
La région a conservé un bocage dense et bien entretenu qui découpe le paysage en une multitude de parcelles. Cet environnement protégé favorise le développement d’une flore et d’une faune abondante. Dans les bois de Crozan alternent les essences de conifères et de feuillus très diverses.
Du sommet de la Grande Roche vous découvrirez un paysage remarquable sur la vallée de la Grosne mais aussi sur le Mont Saint-Rigaud ou le Fût d’Avenas.
La région a conservé un bocage dense et bien entretenu qui découpe le paysage en une multitude de parcelles. Cet environnement protégé favorise le développement d’une flore et d’une faune abondante. Dans les bois de Crozan alternent les essences de conifères et de feuillus très diverses.
Du sommet de la Grande Roche vous découvrirez un paysage remarquable sur la vallée de la Grosne mais aussi sur le Mont Saint-Rigaud ou le Fût d’Avenas.
La région a conservé un bocage dense et bien entretenu qui découpe le paysage en une multitude de parcelles. Cet environnement protégé favorise le développement d’une flore et d’une faune abondante. Dans les bois de Crozan alternent les essences de conifères et de feuillus très diverses.
Du sommet de la Grande Roche vous découvrirez un paysage remarquable sur la vallée de la Grosne mais aussi sur le Mont Saint-Rigaud ou le Fût d’Avenas.
- Descendre par la route face au joli lavoir de Lys. Vous êtes sur le GR 7.
- A l’ancien moulin de Ballat, tourner à gauche, traverser, à gué, la rivière Guye née 4 km plus au nord à SAINTE-HÉLÈNE et suivre le chemin bordé de pâturages.
- Au Moulin Rivon suivre tout droit et emprunter aux Guénins, la D977 par la gauche. Vous quittez le GR 7.
- Traverser le bourg de CERSOT en découvrant l’église romane du XIIème siècle, l’ancien château fort du XIIIème siècle et le lavoir au bord de la Guye.
- Gravir, à droite après la mairie, un chemin puis une route rectiligne pour atteindre Neuilly. Vous êtes à mi-parcours.
- Prendre à gauche, face à la croix monolithe et suivre le chemin traversant les pelouses calcicoles typiques de la Côte Chalonnaise.
- Couper la D977, emprunter sur 400 m le chemin de l’autre côté avant de bifurquer à gauche.
- Grimper vers le point culminant du circuit. Couper la route, suivre le chemin longeant le bois qui conduit vers l’étonnant éperon rocheux de Lys.
- La descente, courte mais raide, vous surprendra par le décor inattendu de cette gorge sombre conduisant aux premières maisons de ce paisible et accueillant hameau.
- Ne pas quitter cette commune sans une halte dans son bourg à la découverte de son église romane du Xème siècle dédiée à Saint Fiacre et son château du XVIIIème siècle érigé sur l’ancienne maison forte des Seigneurs de SASSANGY.
Du lavoir de Montagny-sur-Grosne, monter à l’église puis arriver à un four à pain.
Monter à gauche, et encore à gauche après la mairie ; la petite route passe au-dessus du village .
Devant une parcelle plantée de pins douglas, monter à droite. Après une maison, le chemin s’engage dans le bois d’Esmyards et redescend sur la D 289 ; la suivre à droite sur environ 50 m, puis emprunter à droite une petite route montant à une nouvelle plantation. S’engager à gauche dans un chemin herbeux qui traverse une prairie et rejoint une autre plantation.
Redescendre à gauche ; à la D 289, prendre à droite sur environ 50 m, puis aller à gauche vers la Bombie. Dans le hameau, tourner à droite (on peut se désaltérer sous le marronnier de la fontaine au Loup). En montant, la route pénètre dans un bois de feuillus et parvient à une intersection, à moins de 100 m de l’orée.
Prendre à gauche, puis, 500 m plus bas, encore à gauche. Avant la maison de Barricant, emprunter sur la droite un chemin en herbe qui longe des prairies, pénètre dans des taillis et passe en lisière d’une étroite plantation à gauche.
Avant le hameau du Pas-de-la-Sue, tourner à gauche en contournant la plantation. Le chemin descend entre bois et pâtures à droite. Après un passage très humide, il remonte légèrement ; le suivre jusqu’à l’enceinte du parc du château d’Ouilly que l’on longe à droite jusqu’à l’orée de la forêt. Continuer à droite en descendant le long du mur retrouvé environ 200 m plus loin, menant à l’ancienne conciergerie reconnaissable à sa grille monumentale.
Emprunter la route qui descend en direction de Clermain. Elle franchit le pont du Raverot. Peu après, remonter à gauche vers Montagny-sur-Grosne. A l’issue du premier virage à gauche, prendre un chemin de terre à droite (en montant, vue circulaire). Au bout, prendre à gauche une piste sableuse et atteindre un carrefour.
Emprunter à droite un chemin à nouveau goudronné qui rejoint la D 289 ; la prendre à gauche, traverser le village et rejoindre le point de départ.
La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite … Historiquement, le village a connu les influences directes de l'abbaye de Cluny, des Sires de la Bussière, des marquis de Foudras, sans être jamais longtemps inféodé aux autres. Ecologiquement englobé dans la vaste zone Natura 2000 du Clunisois, il concentre sur son petit territoire une population dense de crapauds sonneurs à ventre jaune. Ici règle une qualité de vie indéniable.
La beauté sereine de ces paysages a laissé penser à un jeune amoureux, Léon de Bruys, ami de Lamartine, qu'il suffirait d'y installer une spacieuse demeure "à l'italienne", largement ouverte sur la vallée, pour qu'un belle italienne vienne s'y exiler : l'amoureux s'étant ruiné dans l'entreprise, la belle n'a pas donné suite ...