Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Le Charolais reste un des derniers bastions du bocage français. Un relief vallonné et une multitude d’arbres animent ses vertes prairies bordées de haies basses. Nullement refermé sur ses parcelles, il prodigue à celui qui le traverse une succession de tableaux champêtres. La vie animale, omniprésente, est discrète : faisan, lapin ou chouette se méritent et se guettent. Au berceau de la race charolaise, connue sur toute la planète, la halte à la Maison du Charolais rend hommage au célèbre bovin ; poursuivant la balade, on ne jette plus le même regard sur la VIP des pâturages. A Vendenesse-les-Charolles, les fours à chaux à proximité des carrières évoquent avec émotion le passé industriel rural. Trois impressionnantes cheminées en brique apportent un témoignage architectural unique et rendent compte du dur travail des chaufourniers. D’hier et d’aujourd’hui, le chemin se fait l’écho de nos campagnes et de ses hommes, restituant la beauté des paysages à ceux qui l’ont modelé avec courage et opiniâtreté.
Un beau circuit pour ceux qui recherchent les chemins paisibles, à l’ombre ou au bord de l’eau. Les amateurs de patrimoine seront ravis de découvrir les belles maisons, une chapelle et l’église romane.
Départ du parc de Ruffey en suivant le GR76a (chemin des moines) jusqu'au col du Navois, dans la forêt agréable et ombragée à la faune et à la flore riches et variées.
Descente sur le village d'Etrigny, son clocher en pierres de taille, son vignoble. A Tallant possibilité d’abreuver les chevaux au lavoir.
Un petit crochet pour pique niquer à l'étang des Reppes, puis de grands chemins et une vue dégagée sur la plaine du Grison avec ses pâturages et cultures. Le pont du Grison est un lieu idéal pour une pause au bord de l'eau.
Traversée du hameau de Chalot avant de remonter vers l'église romane de Saint-Martin-de-Laives avec ses tables d'orientation et sa vue panoramique. Peut être même, possibilité d’apercevoir le Mont Blanc...
Il ne nous reste plus qu'à redescendre vers le parc du Ruffey.
Entre histoire locale et patrimoine naturel, ce parcours vous conduira de sous-bois en bord de Loire ; ainsi vous pourrez cueillir du muguet au printemps et admirer le bord de Loire au fil des saisons.
- Emprunter la départementale menant à SAINT-GENGOUX-LE-NATIONAL pendant 700m et prendre, à gauche, un chemin pénétrant dans un bois en direction de la ferme de La Sachette.
- Traverser le Bois de Saules jusqu’à l’imposant viaduc de Crainseny supportant l’ancienne ligne de chemin de fer qui reliait les gares d’Etiveau et de CULLES-LES-ROCHES.
- Passer sous le viaduc. En Noiseret, prendre à gauche le chemin qui conduit par le Moulin de Chatenay dans le bas du village de CULLES-LES-ROCHES.
- Vous apercevrez l’église romane, haut perchée, à rejoindre au prix d’une bonne grimpette. Le point de vue qui vous attend vous récompensera de votre effort. Prenez le temps d’admirer les maisons typiquement bourguignonnes et vieux colombiers.
- Redescendre par l’ouest, suivre la départementale pendant 200m et bifurquer à gauche en direction de l’Ormeau. A votre droite le Mont Bouzu 461m.
- Suivre le balisage empruntant des chemins bordés de pâturages en coupant 2 fois la D28. Descendre route et chemin, retrouver l’ancienne ligne de chemin de fer pour aboutir au point de départ de cette balade.
- Traverser la place, puis quitter la D125 en suivant la route à droite.
- 300 m plus loin, continuer à droite. Un arrêt s’impose à la source de la Guye : rivière poissonneuse qui s’en va rejoindre la Grande bleue suite aux rencontres avec la Grosne, la Saône et le Rhône.
- A la ferme, gravir le chemin à droite, suivre à gauche pour retrouver la route à Champroye.
- Prendre 2 fois à droite et grimper jusqu’au carrefour de la “Croix cassée”. Prendre le chemin le plus à gauche puis à nouveau à gauche au croisement.
- 500 m plus loin tourner à droite, traverser le hameau de Chaumont. A l’intersection suivre la route par la gauche.
- Au carrefour emprunter le chemin, en face, conduisant au bois de JAMBLES, passer à gauche de la cabane des chasseurs.
- Suivre le chemin ombragé qui descend vers l’Abergement, remonter à droite au lavoir puis à gauche pour sortir sur la D48.
- L’emprunter par la gauche sur 300 m. Prendre à droite direction MOREY et tourner aussitôt à gauche. Descendre la route menant aux Tâches d’en bas puis le chemin qui passe près d’un étang avant de remonter à gauche et retrouver la D48.
- Traverser cette route (attention danger) pénétrer dans le petit bosquet, suivre le chemin et le sentier qui longe un pré.
- Couper la D125 et descendre, en face, le chemin ombragé qui se rapproche plusieurs fois des virages réputés de cette route, théâtre de la course de côte annuelle des Clouneaux.
- Suivre toujours tout droit, retrouver une petite route puis à nouveau un chemin pour bifurquer à gauche avant le hameau de Vallerat.
- Descendre le chemin qui conduit vers la place du village et le point de départ face à la mairie.
- Descendre l’avenue face à l’auberge du Cheval Blanc et prendre à gauche la petite route devenant chemin.
- Suivre direction Boujolle, retrouver une voie goudronnée. L’église de MARCILLY-LES-BUXY placée sous le vocable de Saint-Vincent se situe tout près (aller-retour 400m direction cimetière).
- Descendre la route, la quitter au hameau de Volvin, s’engager à gauche pour rejoindre le bord du ruisseau La Malenne et le traverser.
- Emprunter la D977 par la gauche et bifurquer à droite 100 m plus loin.
- Prendre à gauche à l’intersection puis à droite le chemin conduisant à Boujolle.
- Suivre la route à gauche, passer devant une miellerie (visite possible). Descendre le chemin à droite conduisant au bord de la Guye.
- Prendre à droite (vous êtes sur le GR 7). Au moulin Rivon prendre tout droit la route jusqu’à la D977 aux Guénins. Vous êtes à mi-parcours.
- Suivre le chemin en face, prendre à gauche au croisement pour passer devant les bâtiments des Boisselets.
- A la voie communale tourner à droite. Traverser à nouveau la Malenne puis rejoindre la Guye 1 km plus au sud.
- Emprunter la route sur 600 m, la quitter à gauche au carrefour le long d’un bâtiment en ruine.
- Suivre chemin et route, tout droit, pendant 2,5 km jusqu’à la D236.
- Bifurquer à droite, direction SAINT-PRIVÉ, puis à gauche 300 m plus loin.
- Traverser le paisible hameau de Prêtement.
- Grimper le chemin à droite. Passer non loin du château de SAINT-PRIVÉ pour ressortir sur la D236 et retrouver l’avenue conduisant au point de départ.
- De la Mairie, descendre par le bois au poteau « En Chauvet » emprunte l’étroit sentier ( en direction jouvencelle et le Mont Saint Roch)
- Peu après le croisement des routes, tourner à droite pour monter dans les vignes vers le mont Saint Roch. On traverse une plantation de cèdres de l’Atlas pour arriver au sommet. C’est là qu’en 1661, une famille de Saint-Gengoux-le-National fait le vœux de construire une chapelle dédiée à St Roch si elle échappe à la peste qui frappe la région, cette chapelle est érigée en 1662 à l ‘endroit ou se trouve actuellement la statue de la Vierge. De ce point de vue vous pouvez admirer la Cité médiévale de Saint-Gengoux-le-National.
- Redescendre vers le village, Dans la descente apparaît à gauche sur les hauteurs, le château de la Rochette, reconstruit au 16eme siècle puis très remanié au 19eme (propriété privée).
- L’itinéraire emprunte la route jusqu’à Saint-Gengoux, où il faut prendre à droite la rue de l’abattoir (direction Burnand) puis tourner à gauche (au niveau de la caserne des pompiers)
- 50 m après au poteau « Le Colombier », un chemin s’ouvre à droite passant non loin de la tour des Archers, ancienne tour de guet ; probablement construite au 14eme siècle.
- Après le ruisseau, le chemin remonte vers le Mont Péjus et domine Saint Martin de Croix avec sa jolie chapelle du 11eme.
- Arriver à la route, tourner à gauche pour retrouver la mairie.
- Départ sous les peupliers de l’aire de pique-nique de JULLY-LES-BUXY, dotée d’un point d’eau potable et de sanitaires.
- Couper la Voie Verte et traverser le village direction ouest. Passer devant la mairie et la salle d’activités.
- Dès la dernière maison, la route s’entoure de vignes. Couper la D981 et grimper le coteau du vignoble réputé du MONTAGNY en direction de Montorge.
- A 100m au-dessus de votre point de départ la vue s’est dégagée : au loin les vallées de la Saône et de la Grosne, au premier plan le village de JULLY-LES-BUXY bâti en amphithéâtre sur la pente d’un coteau et son église au sommet.
- Prendre à gauche la petite route conduisant à Collonges, hameau de SAINT-VALLERIN. De belles maisons vigneronnes vous accompagnent en direction du bourg.
- Passer devant le Pinacle, lieu de rencontres culturelles, à proximité de l’église et d’un magnifique lavoir couvert et suivre à gauche, la direction de La Guiche.
- Couper de nouveau la départementale et retrouver la commune de JULLY-LES-BUXY en suivant la rivière “La Corne”.
- Quitter le vignoble pour retrouver le bourg et l’église aperçue depuis le point le plus élevé de la balade.
- Le chemin balisé conduit, à travers de belles demeures, au point de départ.
La balade débute au village de Suin, 593 m au-dessus du paysage. L’horizon sous contrôle, le lieu fut investi par les celtes avant d’accueillir Sedunum, l’un des plus importants camps romains de la région. Au Moyen Age, les Burgondes bâtirent une forteresse, aujourd’hui disparue au profit du beau clocher roman qui règne depuis dix siècles sur un océan de collines. Une table d’orientation légende un panorama ouvrant sur le Mâconnais, le Clunisois, le Brionnais et plus de 50 clochers. Le circuit vous entraîne au cœur de cette vue imprenable tout en ondulations, douces bosses et moutonnements, qu’habille sur une frange ombragée du sentier la forêt charolaise.
- De la Mairie descendre par le bois en direction « Réserve » (réservoir d’eau qui servait à l’approvisionnement des locomotives).
- Remonter vers le bois , arriver à une chicane, traverser le pâturage puis une autre chicane. Ce petit sentier vous conduira à la cabane des chasseurs. Le circuit emprunte le chemin du maquis pour arriver au lieu dit « les pierres piquées », nom sans doute donné à ces roches en raison de leur aspect plus ou moins spongieux (grès). Après le croisement de la route, il est important de suivre le sentier marqué « Simone Baudriot », très agréable par son sous bois.
- Continuer sur la voie romaine, dont il reste encore par endroit le pavement. Le chemin descend vers Saint-Gengoux-le-National, cité médiévale.
- Arriver dans la ville, prendre à droite la rue de l’abattoir, direction Burnand)
- Puis tourner à gauche ( au niveau de la caserne des pompiers).
- 50 m après au poteau « Le Colombier », un chemin s’ouvre à droite passant non loin de la tour des Archers, ancienne tour de guet probablement construite au 14eme siècle.
- Après le ruisseau, le chemin remonte vers le Mont Péjus et domine Saint Martin de Croix avec sa jolie chapelle du 11eme.
- Arriver à la route, tourner à gauche pour retrouver la mairie.