C’est entre bocage, étangs et fleuve Loire que vous mènera cette balade. Vous pourrez admirer la faune du territoire : grenouilles, oiseaux, vaches charolaises… sans oublier l’église romane du village.

Entre les verdoyantes prairies du Charolais et les premières collines du Morvan, s’étend un territoire vallonné semé d’étangs et de forêts, dominé par le Mont Dardon. A ses pieds, rassemblé sur une butte, le petit village d’Uxeau vit paisiblement, à l’écart des grands axes. De là débute une balade pittoresque motivée par l’ascension du Mont et la perspective de son exceptionnel panorama. A 506 m d’altitude, le Mont Dardon dévoile une vue spectaculaire sur les hauts lieux de la Bourgogne du sud : le Mont Beuvray, Uchon, le Mont Saint-Vincent… et, par temps clair, à l’est jusqu’au Mont Blanc. Fréquenté durant des siècles, le site a révélé une chapelle du 10e siècle mise à jour en 1978 lors d’une campagne de fouilles.

Dans un écrin de verdure, Fleury-la-Montagne vous livrera ses trésors : de magnifiques points de vue, une église romane et plusieurs chapelles.

Au fil de ce parcours, vous pourrez admirer un magnifique panorama qui s’étend de Dun aux Monts de la Madeleine, cheminer le long du Bézo, affluent du Sornin et découvrir le patrimoine : le château de Montcelly (18ème siècle), la chapelle de Saint-Amable et bien évidemment l’église en partie romane.

Tout au long de ce parcours, vous pourrez admirer l’Arconce, affluent de la Loire. Les méandres de cette rivière rendent le paysage encore plus pittoresque.

Au départ du parking de l’église et de la mairie, cette balade vous fera passer par les hauteurs du village. En continuant, vous franchirez les bois qui le bordent. Pour finir, vous retournerez au point de départ en passant au bord de l’aérodrome de Saint-Yan, et en passant au-dessus de l’Arconce par le biais d’une agréable petite passerelle.

Dans un écrin de verdure, Fleury-la-Montagne vous livrera ses trésors : de magnifiques points de vue, une église romane et plusieurs chapelles.

Une balade au cœur des "petites montagnes" du Charolais, sur des sentiers boisés bondissant d’une colline à l’autre : Mont Botey (561 m), Corne d’Artus, Mont des Carges... Les parcours en vallée croisent étangs et ruisseaux, ou encore un site mégalithique et une fontaine, avant de céder aux caprices du sol qui se hisse joyeusement vers quelque panorama. Les ruines d’un château fort auréolent le sommet de la Corne d’Artus. Sur le Mont des Carges, le mémorial de la Résistance rappelle les heures glorieuses du maquis de Beaubery et du bataillon du Charollais ; une esplanade offre là une vue magnifique.

Philibert COMMERSON (1727-1773), médecin naturaliste, brillant intellectuel, botaniste infatigable Jeanne BARET (1740-1807), jeune paysanne morvandelle, cueilleuse de plantes et domestique pour les époux Philibert COMMERSON et Antoinette Vivante BEAU, avant de devenir la première femme à réaliser le tour du monde sur un navire de la Marine Royale. En 1764, avant le départ de Philibert COMMERSON et Jeanne BARET pour Paris, ils ont résidé à Toulon-sur-Arroux. Ce circuit arboré et fleuri va vous permettre de marcher sur les pas de ces deux aventuriers. Rendez-vous au Bureau d'Information Touristique du Moulin des Roches.

Le « sentier de la p’tite maison » parcourt environ 5 kms à travers bois sur les chemins communaux de Maltat et Seine-Seine, à cheval sur les deux départements de la Saône-et-Loire et de la Nièvre et formant une boucle à partir du stade de foot-ball de Maltat. Il traverse, au nord-est de Bourbon-Lancy, une zone boisée facilement accessible à partir de la route Maltat-Cronat, ou à partir de la route Maltat-Saint-Seine, il est indiqué sur les deux routes. Il se trouve à proximité immédiate du GR 3 d’où on peut le rejoindre également et à partir duquel on peut en faire la boucle. Il a été créé à l’initiative de l’association de « La p’tite maison » qui, depuis le début des années 2000, s’attache à mettre en valeur l’histoire et le patrimoine de la commune de Maltat et de ses environs. Il s’agit là du patrimoine végétal de la région, dont le sentier permet de découvrir la diversité en même temps que son homogénéité, due à la géologie locale : un terrain alluvial composé de sables, d’argiles, de marnes et de petits galets, qui s’est formé à l’époque tertiaire il y a plus de dix millions d’années. Chênes sessiles, hêtres, charmes, bruyères, mousses, mais aussi épervières, piloselles, digitales, pervenches, véroniques selon les saisons, peuvent se repérer au moyen des panneaux numérotés qui jalonnent le sentier. On y apprendra aussi ce que c’est qu’une tourbière, ou encore un crôt, comment se forme un hameau, comment on travaillait le bois jadis, comment on l’exploite aujourd’hui, comment les essences résistent ou non aux aléas climatiques, comment on peut se soigner par les plantes... Un fléchage permet de s’orienter le long du parcours. A l’entrée, un panneau donne des renseignements généraux sur le sentier et sur la réglementation. Des tables de pique-nique accueillent les promeneurs aux carrefours, des poubelles permettent de respecter la propreté des lieux traversés. La communication se fait par des affiches et des dépliants (où est décrit le parcours) distribués dans les mairies et offices de tourisme les plus proches.

Au fil de ce circuit, vous partirez à la rencontre du patrimoine local : l’église en partie romane, le château de Maulévrier, la stèle Jean Moulin sans oublier le paysage avec ses points de vue sur les Monts de la Madeleine, la Loire et le canal.

Cet itinéraire vous conduira des bords de Loire au chemin de halage du canal de Roanne à Digoin. Au lieu-dit les Brenons, ne soyez pas étonnés de croiser une famille de cigognes, celles-ci reviennent nicher chaque année…