Dans la région des vignobles, les deux parcours s'étendent sur 250 hectares de bois, de vallons et d'étangs, autour d'un château du XIXème siècle, offrant de belles perspectives et quelques dénivelés. 18 trous par 71 - 9 trous par 27.
Restaurant sur place.
Hôtels "Partner" à proximité.
Le GreenFee 18 trous est à 67€, GreenFee 9 trous 45€, GreenFee étudiant 35€, l’accès au parcours Compact est à 22€, l’accès FootGolf à 22€ également, les locations de voiturettes 9 trous à 26€ et 18 trous à 36€, et le seau de balle est à 3€.
La restauration est disponible 6 jours sur 7 du mardi au dimanche.
Sur réservation, il nous est possible d’effectuer un service en continu d’assiettes froides tout au long de la journée.
NB :
Lors de la compétition des Internationaux de France (du 24 au 27 juin 2021), les visiteurs sont les bienvenus mais ils devront se garer dans le centre de la ville de La Salle car le parking sera réservé aux joueurs. Le restaurant est privatisé mais le bar sera accessible à tous (11h à 18h).
Ces énormes masses granitiques oscillent aujourd'hui encore entre légendes et preuves scientifiques. Le "gros caillou" de 47 tonnes est toujours un mystère que chacun essaie de faire "crouler". Au milieu du XIXe siècle, la Pierre qui croule suscitait curiosité, mystère et divertissement. Pour les habitants, cette pierre relevait du surnaturel. Elle était consultée comme un oracle et ces derniers avaient fini par la transformer en juge spécialiste de la fidélité conjugale. Il est dit que les maris jaloux y amenaient leurs femmes, leur laissaient toucher la pierre et ainsi la mettre en mouvement. Le nombre de mouvements donnait alors, et sans erreurs possibles, félicité ou disgrâce à l'époux qui se questionnait sur la fidélité de sa femme. Lassés des malheurs que la pierre pouvait causer, des jeunes gens ont essayé en 1869 de la déplacer. Ils ne réussirent qu'à la faire glisser de quelques centimètres. Mais désormais, la pierre est parfaitement immobile et l'oracle ne répond plus.
Ce lavoir (dénommé lavoir fontaine) date du 19° siècle, décrit comme édifice de plan rectangulaire, ouvert sur deux côtés.
Le bassin rectangulaire en pierre de taille est couvert sur la totalité. Le gros œuvre est en pierre de taille.
Il a été versé à l’inventaire général du patrimoine culturel le 17 novembre 2005.
Anciennement appelée Saint-Sébastien, l'église Saint Roch daterait du XIIe siècle. Posée sur un important rocher, l’église maintenant placée sous le vocable de saint Roch est l’ancienne chapelle castrale des seigneurs d’Uchon. Les armes royales de France composées de trois fleurs de lys figurent au-dessus de la fenêtre du clocher. C’est un petit édifice de 21,50 m x 10 m, au plan barlong, très simple. Une nef rectangulaire romane non voûtée se prolonge par une croisée de transept plus étroite qui ouvre, par un large arc doubleau en plein cintre, sur un chœur légèrement oblong à chevet plat accosté d’une sacristie. Le chœur a été construit en 1347 par la reine Jeanne de Navarre, fille de Louis X le Hutin et de Marguerite de Bourgogne; il offre un couvrement intéressant, sur croisée d’ogives, dont les larges arcs sont creusés en cavets et reposent aux angles sur des culs de-lampe. Une large ouverture en lancette à remplage flamboyant éclaire le chevet. Les fenêtres en plein cintre de la nef ont vraisemblablement été agrandies. Le mur pignon de la façade occidentale est percé d’une porte surmontée d’une fenêtre très étroite, mais l’entrée de l’église se fait actuellement par une porte latérale. Un clocher rectangulaire s’élève au-dessus du transept. Il est, comme le reste du bâtiment, couvert d’ardoises et percé au niveau supérieur d’ouvertures en plein cintre avec abat-sons . D’épais contreforts à glacis soutiennent les murs de la nef et du chœur. L’autel du chœur et ceux de la nef sont décorés d’arcatures gothiques ouvragées. À gauche de l’autel une petite niche à décor gothique renfermait autrefois un reliquaire contenant les restes de saint Sébastien, objet d’importants pèlerinages à la suite des épidémies de peste de 1502 et 1652.
Les Rochers du Carnaval se situent à 684 mètres au sommet du massif d'Uchon. Ce site naturel de lande est parsemé de nombreux blocs de granit aux formes étranges. Un sentier fait le tour des trois chaos "le nez de chien, le Carnaval, le mammouth". Superbe panorama sur le Morvan.
Ce centre fondé par le hiéromoine et iconographe Père Luc Devoisin-Lagarde est ouvert à la visite et présente une chapelle et un réfectoire avec fresques, une salle d'exposition, un atelier d'art religieux byzantin et un magasin de produits naturels, livres, icônes, cartes…
L’oratoire a été implanté directement sur un bloc granitique. Il est ouvert vers l’Est. On y accède par quelques marches en granit. Il est couvert d’une coiffe élancée surmonté d’une croix métallique. La maçonnerie est faite de blocs de granit assisés, peut-être issus du château qui était déjà en ruine lors de la construction de l’oratoire.
À l’intérieur, un calvaire surmonté d’une Vierge à l’Enfant est posé. Il est en grès, finement sculpté. La Vierge n’a été ajoutée que récemment, entre 1920 et 1950. La maçonnerie à l’intérieur ne présente pas de détail ou décor particulier hormis la présence d’une pierre traversante (façade Ouest) formant un chapiteau sculpté et une croix en bas-relief à l’extérieur.
À partir du XVe siècle, Uchon connaît un développement important, lié au pèlerinage autour des reliques de saint Sébastien (déposées dans l’église Saint-Sébastien, aujourd’hui dédiée à Saint-Roch, par le seigneur de Chateauvillain à son retour de croisade au XIIe s.). Face à l’afflux de pèlerins, l’église s’avéra trop petite. Un autel à l’extérieur est alors construit afin de réunir les fidèles lors de cérémonies. C’est ainsi que l’oratoire fut édifié. L’autel a été remplacé par un calvaire. Il fait partie, avec l’église et les ruines du château, d’un site classé en 1940.
L’église, à son emplacement actuel, a été construite en 1820 sur les plans de l’architecte départemental Vaillant de 1816, en pierres roses de La Salle. Dès 1861, il est envisagé de remplacer l’énorme charpente qui écrase la nef. En 1900, des contreforts sont construits, sur les plans de l’architecte A. Pinchard de 1896, destinés à consolider le clocher. Les vitraux ont été restaurés en 2013 par l'atelier "Vitrail Saint-Georges" de Lyon.
La situation géographique du village de LA SALLE est très intéressante. Il est traversé du Nord au Sud par les grandes voies de communication : la Saône qui coule paisiblement le long de 80 hectares de prairie, la route départementale 906 (ex RN 6), la voie ferrée Paris-Lyon-Marseille et l'autoroute A6.
Celle-ci enjambe la départementale 586 et la Mouge par un viaduc d'une longueur de 120 mètres et d'une hauteur de 17 mètres au lieu-dit "La Roche".
La commune présente des atouts au plan économique avec des entreprises performantes (carrières RGV, ATI export, EN'GO, TECHNO PIEUX et artisans) et au plan touristique avec trois bars-restaurants et le golf de MÂCON-LA SALLE.
De nombreux visiteurs dont 50% d'étrangers sillonnent les deux parcours du golf dans un magnifique écrin de verdure de 70 hectares.
LA SALLE est un village où il fait bon vivre.