La ville d’Autun, Ville d’art et d’histoire, est dotée d’un patrimoine remarquable de plus de 2000 ans. Vestiges antiques ou monuments médiévaux structurent l’urbanisme de la ville actuelle.
Destination Autun est un lieu unique d’information, d’accueil et d’organisation pratique pour les visites, installé face à la cathédrale Saint-Lazare, à quelques mètres du Musée Rolin. L’accès est libre et gratuit et des outils numériques permettent de comprendre la ville et son patrimoine : une maquette en relief et avec projections pour expliquer l’urbanisme, un film en 3D Révélation expliquant le tympan de la cathédrale, un programmateur d’itinéraires touristiques.
Seule la rive droite est autorisée à la pêche à deux cannes maximum, une réglementation qui permet de ne prélever que deux carnassiers par jour. Les sandres y sont présents et la pêche au posé est reine. Les carpistes y trouveront de « belles mémères » qui mordent à la bouillette et même à la graine. Toutes les carpes de plus de 5 kg doivent être remises à l'eau.
L'Arche du Temps
Escape Rooms, Jeux pour enfants, Parcours découverte, Sentier d'interprétation
AUTUN
Vous êtes passionné d’Histoire et d’énigmes ? Vous êtes de passage dans notre belle ville et souhaitez découvrir de façon originale un moment historique d’Autun ? Vous êtes Autunois et voulez vous amuser ? Plongez dans le passé d’Autun ! Au beau milieu d’une scène de crime, faites toute la lumière sur cette affaire ! Au cœur d’Autun, cité multi-millénaire, sur les traces d’une communauté de chanoines, dans la Chapelle des VII Dormants, vous et votre équipe aurez une heure pour résoudre l’énigme de la disparition d’un des membres. Qui est le coupable ? Quel est le mobile ? Profitez de vos vacances pour vous amuser et découvrir la riche histoire d’Autun !
L'église Saint-Léger est une église paroissiale du XIIe siècle située à Couha. Édifiée au XIIe siècle, elle est remaniée aux XVIIIe, XIXe et XXe siècles. Le chœur et les boiseries actuelles sont du XVIIIe siècle et le clocher du XXe siècle. L'église subit une restauration en 1980 et 19811. Une statue de Léger figure sur la façade, au-dessus de la porte d'entrée. Le clocher est décoré de quatre gargouilles, représentant un chien, un loup, un animal fantastique et un animal. Les principaux éléments sont une cloche en bronze et deux statues en bois du XVe siècle.
Ce bâtiment construit dès 1709 par Jean-Baptiste Caristie pour accueillir les Jésuites est composé d'une chapelle dont la façade s'inspire de l'église du Gesù à Rome.
À l'intérieur, elle est ornée au premier niveau, de colonnes doriques ainsi que de larges baies ouvertes qui éclairent le sanctuaire. Vous pouvez y observer les statues en pierre de la Vierge et de sainte Anne, ainsi que celles en bois de saint Crépin et saint Crépinien, datées du XVe siècle.
Après le départ des Jésuites en 1763, cette chapelle revient au culte catholique en 1803, sous le vocable de Notre-Dame. Le collège devient lycée en 1960. Il porte le nom de Bonaparte. Si Joseph, Napoléon et Lucien y furent élèves, c'est Joseph qui laisse son nom à l'établissement.
La grille en fer forgé date de 1772. Elle est ornée de grecques, guirlandes, sphères et Lyres ainsi que des armes de la ville sur le fronton central.
Situé à Couhard, à 2 km du centre-ville et en lisière de la forêt de Montmain, ce chaos de blocs et de falaises granitiques entouré de chemins de randonnée VTT et pédestres balisés est à côté du site touristique de la Pierre de Couhard. Garez-vous sur le parking de la Pierre de Couhard et emprunter le chemin de randonnée jusqu’à la cascade. Ce chemin qui mène à la Cascade de Brisecou suit l'ancien aqueduc romain de Montjeu, réutilisé au XIXème siècle pour alimenter des moulins.
Au XVIIe siècle, il est donné aux propriétaires des espaces attenants au rempart, la possibilité d'abaisser ce dernier. De nombreux hôtels particuliers voient alors le jour dont celui de Millery qui réunit plusieurs anciennes maisons canoniales. Ce corps de bâtiment met en évidence l'escalier en fer à cheval. L’organisation du bâtiment permet de dégager la vue sur la campagne avoisinante, par-delà le rempart. Vous pouvez lire sur la grille, la devise de la famille en lettre de bronze "Vaincre ou mourir".
Site granitique au portes du Morvan. L’escalade se pratique ici dans un cadre bucolique, sur des secteurs un peu éparpillés dans un forêt domaniale très jolie. Cependant le potentiel grimpable est assez limité, avec à ce jour, une quarantaine de voies équipées. Le niveau des voies à Brisecou est plutôt abordable. L’escalade est souvent courte et pas toujours très homogène. La grimpe est souvent entrecoupée de vires. Le secteur ’Dalle des Celtes’ est propice à l’initiation au terrain d’aventure. Le granite se prête bien à la pose de coinceurs. Rappel du haut possible (Attention prévoir corde à double de 2*50m). On ne grimpe pas à Brisecou pour faire de grosses performances, mais on vient ici plutôt pour profiter du cadre agréable et de la sérénité du lieu.
Le Ternin est une petite rivière venue des montagnes boisées du Morvan (né du lac de Chamboux et du Ruisseau de Conforgien, à la limite des communes de Saint-Martin de la Mer et d'Alligny en Morvan, donc à la limite des départements de la Côte d'Or et de la Nièvre, à une altitude de 480 m), et son bassin, comme son cours, s'étend dans les départements de la Côte-d'Or, de la Nièvre et de Saône-et-Loire. Il coule généralement en direction du sud et reçoit les eaux de multiples ruisseaux fort abondants, avant d'arriver en plaine. Il se jette dans l'Arroux après un périple de 48 kilomètres, à Autun.
Le Ternin (dénommé "Torondam" au Moyen-Age, Tavernay en 1659, cette rivière fut aussi appelée la Tarenne, la Terrene, La Taraine. Lai Taraigne en Bourguignon-morvandiau.) est le tributaire le plus considérable de l'Arroux (d'une longueur de 120 kilomètres et affluent de la Loire, le plus long fleuve français) , dans lequel il se perd. Gamins, c'est ici qu'on allait se baigner l'été dans ce que l'on appelait sans vergogne "la piscine".
Au Moyen-Âge, l'évêque exerçait, dans la rue des Bancs, ses droits seigneuriaux sur la boucherie. Les bouchers y vendaient leur marchandise sur des bancs d'étal qu'ils installaient sur la voie publique. C'est donc en relation avec son activité commerciale que la rue est nommée rue des Bancs au XIVe siècle. La porte des Bancs, était l'une des deux tours rondes qui encadraient la porte principale de la "ville haute".
Elle était à l'origine composée de deux tours rondes encadrant l'entrée, surmontée d'un poste de garde et fermée par un pont-levis. De cette ancienne porte qui fermait la ville haute, il ne reste plus qu'une tour à gauche. On peut encore apercevoir la gorge où s'appuyait l'axe de rotation et la rainure où se dressait la poutre du système de pont-levis.
C'était, jusqu'au XVIIIe siècle, le seul accès à la ville haute depuis le nord de la ville.
Des toilettes sont disponibles pas loin, du côté du musée Rolin. Des animations temporaires ont parfois lieux dans les Hauts-Quartiers y compris la rue des Bancs, comme des braderies.
Saint-Jean-le-Grand était une abbaye de femmes fondée à l'époque mérovingienne. Les bâtiments romans ont disparu. Les façades et les toitures des bâtiments conventuels subsistant, construits entre la fin du XVIIe siècle et le 1er quart du XVIIIe, sont protégés au titre des monuments historiques.
Hôtel Arbelet, de style néo-Renaissance (dernier quart du XIXe siècle).