Née en région Parisienne, Anne Lanci vit et travaille en Bourgogne.
Depuis trente ans, elle produit une œuvre protéiforme entre figuration, abstraction et art conceptuel. Dessin, peinture, volumes et installations et photographie constituent peu à peu l’ensemble de sa démarche artistique.
Elle propose dans le cadre des activités de La Haie Vive la découverte du Land Art à travers 4 séances.
La Galerie d'Art Espérance est un espace dédié à la présentation et à la vente d’œuvres d'artistes contemporains et abstraits (peintres plasticiens, sculpteurs, céramistes d'art, photographes...).
La galerie permet de découvrir des œuvres d'artistes divers dans un espace chaleureux et atypique au cœur de la Cité Médiévale pour une durée d'une semaine par exposant.
Saint-Gengoux-le-National est une charmante cité médiévale qui prit son essor à partir de 1166, date du traité de pariage entre le roi de France, Louis VII, et l'abbé de Cluny. Il permit de transformer le village d'origine en une cité fortifiée, augmentant la sécurité de la région. Dès lors, la vie économique pouvait facilement se développer grâce à l'installation de nombreux artisans et commerçants. Pendant près de 600 ans, la ville s'appela Saint-Gengoux-le-Royal. Aujourd'hui, les visiteurs qui rentrent dans le cœur de Saint-Gengoux-le-National, la cité médiévale, se retrouvent à une autre époque. En effet, il existe encore beaucoup de maisons témoins du XIIIe siècle et des siècles suivants.
On peut aussi admirer l'église, dont le clocher roman octogonal à 3 étages date de 1120. Une passerelle (appelée pontet) relie le clocher à la "Tour de l'Horloge", sorte de beffroi édifié en 1566 pour sonner l’heure. Le donjon, seul vestige du vieux château, est lui aussi toujours présent. L'image "médiévale" est attractive, mais ce n'est pas le seul atout, car la vigne et le vin tiennent ici une place importante depuis longtemps. Les visiteurs seront aimablement reçus à la cave coopérative pour déguster et acheter d'excellents bourgognes, y compris le Mâcon Saint-Gengoux.
La ville dispose de tous les commerces et facilités pour un agréable séjour.
Artiste Peintre / Techniques mixtes sur Toile - Peinture acrylique, pigments naturels, cendres.
Expositions régulières en période estivale, n'hésitez-pas à me suivre sur Instagram ou me joindre par téléphone.
La crémaillère, créée en 2004, encouragée et soutenue par la commune, accueille 11 artisans d'art, dans un cadre magnifique, au coeur du centre historique du village.
Ce lieu de qualité artistique rayonne au-delà des frontières du Clunisois.
Chaque année la Crémaillère invite 3 nouveaux artisans d'art à présenter leurs créations.
Le nom de ce village est immédiatement associé à la vigne et à ses vins blancs d'appellation Montagny.
Au milieu d'un amphithéâtre naturel s'ouvrant vers la plaine chalonnaise, Montagny-lès-Buxy est entouré de vignes (cépage chardonnay) plantées sur des coteaux bien orientés au sud-est. Si le Montagny, l'une des premières Appellations d'Origine Contrôlée reconnue dès 1936, fait la fierté du village, il n'est pas la seule ressource d'un sol qui fut autrefois exploité pour ses pierres à bâtir. " A Montagny, aussi bonne pierre que bon vin ! ". A proximité de la Voie Verte, traversé par la route des Grands Vins et le GR 76, Montagny-lès-Buxy offre de nombreux sentiers balisés. Au fil de vos balades, admirez le vignoble et son « petit patrimoine », notamment les cadoles (ne pas manquer la superbe cadole - cabane - isolée au milieu des vignes au lieu-dit Les Coëres, avec sa toiture en " laves " restaurée), les pelouses calcicoles sur Les Chaumes, classés site Natura 2000, le verger conservatoire (arbres fruitiers, haie mellifère, hôtel à insectes). Enfin ne manquez pas le sentier viticole du Montagny, sentier d’interprétation viticole de 4,5 km comportant 8 stèles expliquant les terroirs et vins de Montagny. Deux châteaux privés sont à découvrir au détour du paysage, le château de la Saule, ancienne maison forte remaniée, et le château de la Tour Bandin, propriété de la famille Valence de Minardière (famille dont la mère, Marie-Angélique, et ses deux filles, Marguerite et Antoinette, périrent tragiquement lors du fameux incendie du Bazar de la Charité à Paris en 1897).